> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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\ »Quand ils dessinent, les enfants commencent par le soleil et les éléments naturels les plus frappants pour eux. J\’essaie aussi de choisir des éléments simples un œil, un nuage, des planètes. (…) On va tous puiser dans le patrimoine culturel commun comme dans la nature. L\’art part de la nature et retourne à la nature.\ » Jean-Michel Folon est un artiste belge, né le 1er mars 1934 à Uccle et mort le 20 octobre 2005 (à 71 ans) à Monaco des suites d\’une leucémie. Il a travaillé sur de nombreux matériaux et créé sous diverses formes : aquarelle, gravure, sculpture, tapisserie, peinture, timbres-poste, décors de théâtre. Pendant près de 10 ans, de 1975 à 1984, à l\’ouverture et à la fermeture de la chaîne Antenne 2 (aujourd\’hui France 2) sur une douce musique de Michel Colombier, un soleil en forme de 2 se levait le matin et se couchait le soir. Alors, de drôles de bonhommes venus on ne sait d\’où, en pardessus avec un chapeau, planaient les bras ouverts sur l\’écran, dans un ciel délavé couleurs d\’arc-en-ciel. peinture, belgique, illustration,
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LT CR en CT RES Je souhaitais, avec lui, cueillir des champignons.
Et non sans réticence, le coin étant secret,
Il voulut me bander les yeux pour ignorer Le chemin et l'endroit, sa seule condition. L'herbe est encore humide en ce petit matin.
Sur un tapis de feuilles, je pose mon panier,
Puis j'ôte mon bandeau, renifle la forêt, OUT OS UE TT NS TU Devant moi de beaux pieds, sous des têtes bien pleines,
CETTE TEE TT EE LOTS TEE
Bien tendus sur leur queue, que je taille ma foi, Je hume leur parfum d'herbe et de marjolaine.. Je n'avais jamais vu spécimens aussi rares
ET OC ETS
Qu'un baiser je posais sur la joue de l'ami Rougissant de plaisir, sa flamme me déclare. CCC TU IT UT OT LUTTER L'appel de la forêt nous rendit un peu sourds. Nous tremblions de froid, ses gestes étaient gourds L'OROECTICER ER COSETECE CIE CEE CUT Dans les bois de «Germain» sous un chêne complice
Mon cueilleur me cueillit aux portes de l'automne?
Au regard de l'aurore sauvage polissonne Je remplis mon panier sous les meilleurs auspices. CLBF
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Querd'ijoue avec se queue Qu'il fient entre ses deux pattes Ce belencier à ses yeux Fit de lui ur acrobate.
à Fier, de ce bel appendice L'eninel je vous le dis, Le redresse sens ertifice Hreste des heures ainsi. TT Sous des ceresses de chette
Hronronne d'un doux ploisir,
Sort ses griffes, les rétracte, De contentement s'étire. H démontre avec horreur
Que d'un coup de griffe il peut
Vous montrer sa belle ordeur A persister dns ce jeu. ee Gerdez-vous trop d'y toucher
Si poilu qu'il soit en sorime,
A ceresser un minef Veudreit mieux qu'c'soit ur horme. CLBF 7463/20n
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EE CE OT A TITES E) 10
Que vous me grignotiez juste du bout des lèvres.
Je vous mangeais des yeux, vous pour être pol ARTE TA ET ETS Ce EAU 2 Je brûlais chaque jour, de vous voir un peu plus, A LT TT EL TE AS LT ON ET OS AT AT RCE TITI PET TEA TT TON El
RTE A AT a D LATE
Vous, encor hésitant, tâtiez mes ronds tétons
Tâtonnant de concert, nous clamions des vers sots VORITOE CETIECAE DPTELOEEET NE
VE TE TO A OU TT TT) ET TE AA LL AT
POTERIE AA) D LOT IE D OT TA o LACS OI Ô vieillesse ennemie,
DATE NEC Ne a a 2)
AUTRE ELA ALT 2000 OS DS CAL CECI CLBF
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D'or et de pourpre sont les prés,
Sous les beaux jours ainsi parés
Ce chier printemps père des roses Chasse les nuages moroses. La fleur virginale s'entrouvre
Le matin de rosée recouvre
De larmes leurs jupes de nuit Én mille perles de soucis. Demeure 6 ma douce saison
D'amoureuse et tendre émotion,
Lorsoue l'abeille en mon calice Vient se gorger de mes délices. de ne sais par quelle folie
de suis la rose tant chérie,
Mon cher printemps père des roses Tes douces filles sont ecloses. CLBF
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no PTT 4 lun JENMC SES Î AUPIÈT ES.
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Le ciel s'assombrit lentement
Le volet claque en contre-bas,
J'ai un mauvais préssentiment
Le temps s'apprête au combat... L'air est si lourd, brûle la peau,
La nuit se pose sur les champs
DIT IC TC AUTRUI UT
Nous vient de loin comme un écho. Les oiseaux regagnent leur nid
DCE UCI UCI UT Le ciel si bas coiffe leur lit La peur s'installe brusquement Au-dessus des nues on entend
L'orage aux gammes atonales.
L'édredon de nuages s'étend
ARTE OL RAA LT AA L'air n'est plus qu'épaisse moisson
La colère du temps ségare D'un souffle lourd en tourbillon
Branches et tuiles vont au hasard... CLBF
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C'est un petit jardin sans grande prétention,
C'est un petit jardin sans rime ni raison.
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. Des arbres dissipés comme une cour d'école
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
Dès que le vent soulève les fragiles ramures, Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| CA ANT EEE CCE C0 RE TA ET A C7 7 Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. Et puis la véranda, caverne aux souvenirs CTP ART NICE ACER UICUCIR CAE TIC ON CRETE ETC CEE AT OT EENCCIEES CLBF
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Cette ombre dé blancheur légère s amoncelle, SDans la soirée d'hier sur le toit sur le puits
Ses milliers de flocons sont tombés autour d'« Ælle ». es murs enracinés dans le cœur de la terre <a maïson silencieuse «à mis sa pêlerine,
CKE parait que son nes qui fume de colère es tuiles endimanchées recouvertes d'hermine . froid à le silence sont d'humeur éloquente,
@ui veut s aventurer sur x blanche toison ?
Alors qu'à l'intérieur des braises incandescentes
ŒRougcoïent au cœur de l'être, pétillent à foison. Len vent glacé s'attarde en la vielle demeure
oulevant en rafales de délicats cristaux,
SOscrètement voyez, la vieille dame pleure
Aussitôt qu'un rayon lui caresse la peau. Tout appartient ce soir à monsieur Bd Grer;
c champ, l'étang, les bêtes , les boïs sont abandon,
SSans la vie souterraine cachant tant de mystères nc lucur soudain! Quand chante le grillon! Rampille
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Bus mon élite moi où mot esprif paresse, ons restes à lnniais wire ombre qui éeille & reflet de rivages, int appel de détresse, 5) : ; ; i ;
bre maine qui mie cherche ant nrilien dir sommeil. aimerais de vos mains en nnteffes douceurs,
Be frissons de silence, cicafrices danour,
De jouant de La foule, en recberehe de soeur Sn re : ;
ar luion retrouvée se froissatt de velours.
Se 505 doigls caressattts, facfile fenillaison, Sictair de mes orages électrisettt lintstant, & Lot dut corps ainte soure leMoraisot, Saimais ce Lo désir iartoré d'autres qetts.
Éonatenps et plus encor absence re poursuit,
LS arour serait-il oeil que te te puisse vivre,
Que vous laissant lisser an chagrin de nes rite Sans avoir put fermier Les pages de mon livre.
ELBT
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LE PORTE-PLUME Percée d'un petit oeilleton
PUS RC UNE Le
Qu'offre une plume de Dagron LUCE LEON CSN CUT Entre ses dents, le porte-plume,
ATOS TE 00
CE TT TUE CLARA ET) AE L'objet ne vaut que dix centimes
Est le début de bien des mots
Mont St Michel, sainte Maxime L'inspiration lui fait défaut. Violette est l'encre des regrets NOTA EEE Fe CLONE ROUE Elle disait qu’elle Vous aimait Qu'elle pouvait en faire un Volume... C-LBF
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Où Buef ect Le printempo après P'hives oi fon,
Quand fes Baiser de P'aube par un gfaciaf matin,
Sont sangfotez fes cimen, emperfer Len jardine
De cruelle ro06e, mordante de frissons. Gngourdies de Soufeurs oux feux tige gfacée
SL écfot un Ballet de jupons de dentelle.
Le feuiflage Lranvil, piqué por un sagon
Simide maio 006, encor jeune d'aurore,
D'un vai Bien malicieux lentement évapore
Une farme de nuit suspendue aux Boutons. Le jour prend son enrof sous un sofeif radieux
CNE s’égosifle,
Ce AE
SL tente une enaofée battant L'air, Lef un dieu |
Le printemps à Le cœur percé de quis nuages
CON
Quel ent soudainement celle triole oraivon,
Qui fui ôte fa sie et von plus beau fangage. ŒBF
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PS MrrHMmH< LEDESSI Car moi aussi LECOC TUE UE (1 RUN AUS ENTTtS EE
PA plus [An CALE OC PATES
Abandonnaïis ramures au fluide des courants
[aissais tous les soleils caresser mes tourments.
J'allais confiant, sans aucun soucis apparent L'automne avait permis malgré la crue des âges Aux feuillus argentés de CE illusion.
Quand redressant le mât habité de voyages
Le tronc de belle allure dans l'onde se glissait.
Ïl y eut des canicules et des vents ascendants DÉC préparée aux CRETE te A Voyant passer au ETES qu'autrefois aimais
ALES CENTRE VETE CRT NT
Mais l'hiver emporta ma CES espérance.
NE UE eee EU désespérée, A vivre dans l'oubli sur des rives asséchées, L'arbre mort n'eut d'envie que d'aller se noyer. Mais les rives gardaient le rameau en son lit, sm Sachant tout des douceurs ou stagne encore la vie,
Pourrait sans un remord s'il ne se voulait mort Réver encoreun COTE TNT TTL ETS ES TETE EE BF
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È
3 imaginer aénéi sous le poids de L'eubli, À) Maïs je vous reconnais, comme amant, comme tel.
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Je lézarde au soleil, Couchée dans l'herbe. Des cris d'enfants heureux, Le chant des oiseaux Que demander de mieux... J'ai retiré mon pull, je coince la “bulle”. Mes petits doigts de pieds en bouquet de violettes
ECO OSEO TR Je compte les pâquerettes, À deux pas l'océan. Il n'y a pas de vent. Quelle belle journée ! Combien je regrette de ne pouvoir ici
Profiter de la fête, La fête du printemps, avec vous mes amis.
L'odeur de la sardine me chatouille le nez,
I TT ET 1 1 Un verre de clairet dans l’une de vos mains,
ECS BTIETNEO CN Et chacun s'en “allant” de son petit refrain. Laissez-vous donc tenter!! CLBF
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«Je (OT Promets rs Je voudrais vous rejoindre, le temps nous sépare,
Un voile ténébreux recouvre l'horizon, Mon village m'est cher mais je suis en prison,
Mon amour se morfond quand parfois je m'égare. La chanson de mon corps a effacé les gammes, Et quel que soit le lieu j'attendrai sur le port,
Détachez ces amarres qui vous retiennent encore,
A tant vous espérer mes yeux n'ont plus de larme. Je voudrais des oiseaux tout au bout de mes doigts,
Qu'ils vous sifflent le chant de l'espoir qui renait Et à vous parcourir chacun de leurs baisers Serait invitation à courir dans les bois J'habillerais ma vie de feuillages légers Qui glisseraient sans bruit de cette page blanche,
Pour que vous saisissiez le contour de mes hanches,
Et que sur notre peau nos désirs soient gravés. Je vous promets l'aurore d'une belle vieillesse,
Le crépuscule enfin de nos mains enlacées, Les nuits chères à mon cœur que nous n'aurons jamais,
Les espoirs sans regret qui font notre tendresse.
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Je trébuche sur une phrase, Sur un pied qui D A
Le redresse quand ildé d se,
= Je vous lis! Enfin , quand je” Le Mes joues rougissent quelques fois,
Voir la bête qui monte monte,
Déchiffrer vos sens en émoi, Parfois on est bien loin du Co Vous écrivez l'incontournable,
Vu à la une des journaux,
L'amour, là haine, l'impensable, Tout est une question de mots. Je lis, Car j'aime la “poétique”
L'idée que derrière les maux
Se cache autrement que phallique, Le cri qui nous envoie si haut... Chacun de vous est un prè Vert
L'idée Vous lance un défi,
La mine s'invente des Vers! Et la nature lui sourit. On se plaît à l'accomoder
Ce poème qui nous ennuie;
Lui mettre un/pied/ledéchausser, on { Tant pis! Moi j'ai trouvé des baladips. TE
Shi Ma farandole de poètes, Votre inspiration c'est certain M'enthousiasme, me met en fête. Ma muse est Comme une hirondelle
Elle Va et vient et se promène,
Au milieu des ils et des elles Tissant souvent son bas de laine.
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eux pieds de érands voyages. ge sais! Mais savez-vous ce que les jeurs m'ent fait ? LTÉE LEUR TS ENT CEE UT ONE TES
Tel un ruisseau d'aréent éonflé par les orages
Mon coeur se languissait à toujours vous porter. BRES Chaque jour immebile dressait ses fiers épis,
AÉROUTRERETONL CLTSR ET CECTTETTESS
g'ai écouté le chant de l'or au vent velage, Sur ces Vagues meuvantes se dessinait l'ennui.
Gé ECOUTER CT RIT RUE CET SENS Même le ciel sur lui refermait ses nuages, À mon cou suspendait le fil de l'esclavage, RECU ORCLOETCUTE EN TAC LUS
bé) gai vu et j'ai compris l'absurde vérité, D'être ainsi près de Vous ne serait éuère sage, Çe que j'aimais sans doute est le bruit du feuillage Que murmuraïent Ves mots, dans lesquels je plongeais…
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ESA ITA 27708 4 nuit vient de chausser ses pantoufles d'hiver,
OUTRE TE TE EE 1
7/20/0201 CLARA 1711 allument des boutons de lumières bleuïes. es longs soirs de décembre ont des réves accrochés
COTE TE LE AT LL 2/
Sans des poux éblouïs, innocence comblée QE EL EN ET EE LL 172 OL RC ET AE 8
GCroiser, dun cocur joveuz, un gros monsieur joufilu,
Œéréillant lx mémoire dun si lointain passé CPR UT ET AT ET ET 7 PRéleur COLLIER 07)
horizon bleu glacier affiche un air de drame.
Ci la ville éblouie, belle comme un mois d'août CcHait naître vains soupirs dens le cocur dunc damc. Ce soir, jai respiré un vicil air d'insouciance, LA 28 TUES j'OS6 GHCOTE TÉVET, Œ@uun père CLEAN 2101 cnfancé (CT CE AT ELU EL ET ET 7 (GR
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L'hiver à déserté sa saison de froideur Et décembre réchauffe encore nos prairies,
Le temps est bien clément. Forts de cette douceur Les arbres ont des bourgeons, ils se font du souci. Les grues dans le ciel bleu ont un vol hésitant,
D'habitude ici-bas les barthes sont gelées
De ses pattes glacées l'oiseau gratte en tremblant
Le sol givré de glace, la clairière embrumée…
Sans doute ai-je rêvé, longeant le bord de mer
Sur le sable douillet les enfants rient, s'amusent
En cette fin d'année j'interroge la terre
-Pourquoi terra amatta cette trompeuse ruse?
J'ai vu dans l’hémicycle des gens forts haut placés
Faisant de longs discours se rejetant les torts.
A subir la folie des hommes sans pitié
ils étouffent & vie, leur usine est ta mort.
Que revienne le temps où tu pouvais sans peine
Nous offrir le printemps, l’automne puis l’hiver
Dans la juste saison paisible et sereine Mais décembre au soleil! Le monde est à l'envers CLBF
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L'hiver quitte Le ciel Dénouant son écharpe,
Au son clair d'une farpe Gouttes rondes ruissellent. Tu grondes, tu querelles
Souvenirs de tes fugues
Le printemps se confague
Fntre rayon et gel Sur Les branches humides
Se fane ta saison,
Les mois auront raison Des orages timides. Les rayons du soleil
Piguent L nez ds fleurs Tu restes beau joueur Retenant tes réveils. Sous mon toit si fragile Couvert de mousse tendre,
Se consume Les cendres D'un bonheur en éxil.…. CLBF
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£es arbres sont transis aux flancs de mes collines,
£es nuages se brisent en milliers de flocons. Sur Le [ac lisse et froid une barque étranglée
Prise dans un linceul de glace, agonise
Sous un manteau de givre encore inviolé Telun chat qui se glisse reniflant une proie
£a bise de ses griffes déchire Les roseaux,
Æt suspend aux gouttières des racines de froid.. Patinant sur le (ac, quelques feuilles raidies
Dansent sur le miroir faisant fuir Chorizon,
Poussées par on ne sait quel fantôme maudit. Ænveloppée de blanc en voile de silence
£a vague de l'hiver gantée de solitude
A peint un beau tableau en de blanches nuances. CLBF
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DETTE EE CERN TT 7772
Ze TR LE LE al
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7772 AUsST Je VA
CPE Je Luche votre coeur !
Le mien se met au Sapason,
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Ze L vers se Jai aSuicheur.
ce suis un arbre &e l'automne
O7 RE EAP TI E72
ET EL 0)
7772 AT 77007770
ce ERA IT 277772 dk CETTE TE 72
L'aquarelliste E277777
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CRETE TEEN EE
TES fait ami
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CETTE T7
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ETC TTE 0
Au beau milieu de son sourire,
DANCE NAT UN TA LEE €2
Jamais visage ne Le sut sesssess
Elle était cette poupée russe
Ce TETE CONTE CRT 7 17]
On ne voyait d'elle jamais
Qu'un sombre regard bleu qui fuse. Ses pieds comme deux tourterelles
Fouillaient le sol avec lenteur,
Sous sa djellaba de couleur
Vivaient deux ailes d'hirondelfe SSSR CAO RTE TI PNT TT 7 Qu'elle n'avait jamais vécu, De ses yeux jamais on ne sut Qu'elle pleurait dans son silence.
CLBF
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Des mots à la brocante... TA T7 77 A
Unepensée, un vers
CPL 0 Vote vers l'univers
EPL CT 52
272777777777 772
Qu'aucun aër de tango- 002707272077 772 EPL ACL a LA 2
LATE Re 02
Jront sans plus d'histoire Chez un vieux brocanteur…. PER PTE
LL CE A ee
IT 227 2072
NEPAL LEA CPP LT 7e 2
LPS APR PT ATP
LT CT TT 70
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Vois l'automne s'enfuir, là-bas parmi les arbres,
1! cache ses brûlures sous un Ciel tourmenté,
Quand l'hiver le sournois s'approche lamenté Avec de gros sanglots en nuages de marbre. Octobre empressé comme à son habitude
Aidé par on ne sait quel petit plaisantin, De poser ses Couleurs de soleil et Cartmin Poussé par quelques Vents, archet d’un doux prélude! NoVembre le suivra sous un tapis de feuilles,
Dénudant chaque jour les ramures pudiques,
Ne restera alors sur leurs bras squelettiques Qu'une peau argentée d'écorchures en deuil. Alors tout doucement d'aubes en CrépusCules,
Décembre glissera Vers la nouvelle année,
Comme une mer d’opale les Cieux seront fanés, Laissant tomber au sol des flocons minuscules. C-LBF 04/11/2011
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Une saison désemparée,
Un toit pentu couvert de givre, Le soleil pâle plisse son nez, Furent les eaux de vapeurs ivres.
Sous son bonnet de laine blanc, La cheminée souffle sa peine En cumulus gorgés de vent
Poursuivis par deux tourterelles. Et ce manteau d'épais brouillard
Pareil au ciel couleur de neige,
D'ombres e:: jupons flous de dentelle
Tournoie au gré d'un vent frisson.
Mon corps s'habille de décembre,
Mon écharpe de lettres vole, Pose sur les sapins géants Les mots frileux de nos hivers.
Phrases rondes en boules de neige
Bulles de soie douces aux lèvres
Posées en flocons sur ia langue, Je bois ta fraîche poudre blanche Pampille 01/12/2010
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ROUTE TRUE Que l'air est donc mélancolique,
e M Ce soir le printemps est heureux, IL se parfume de musique Enivrant les cœurs amoureux. Il est un lit d'herbe et de mousse
Dans le petit bois ombrageux,
Pose tes mains brülantes et douces
Sur mon corps orageux. Laisse ma muse ! Ne füuis pas !
Mon esprit s'envole en murmures
Ecrire où rêver n'est-ce pas,
Epouser un peu la nature | Gours la plaine cheveux aux vent
Reviens me dire les mystères,
d'écouterai encore longtemps Le vent soupir de dame terre. (si tü t'en viens briser mes ailes,
\Laisse-moi dans le petit bois, Ya chercher mon amour fidèle ae Dis-lüi ! Non ne dit rien, laisse-moi .
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Je rime sans raison
Cherchant le corps-à-co-ps
Je coule entre +es mots
Pour +rouver un +empo.
Te mettre sur le do
Caresser +a mysiqpe,
M'envohir de +on +
Avec l'R en cavale...
Je Vois à ma Façon
Sans rime ni raison
J'enjambe l'épithète
Me fous de l'anathème.
Dans de pieux +ête-à-+ête
Qui n'ont ni queve ni
Être le +ète à aueve
L'Y de mon doux vœu
Qui se sent retourné.
En un sens es+ aveu! Je roule sur l'arche De +on violon magiaue Dont les notes ludiques Me sont un réconfor+..
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nn NE: *
sssssennt ETS. OUT ssssssssssssses
Hi LELCCECECECECELELCELELCELECELCECEN BE FFE FEBSEEFESSEFEFESSEEEFESSEEEFESSEEEFESSEEEESSEEEESSEEEESEEEEESEEEEEEFESEEFETES)
BB FESEE FE FEES FEFESEESSEEEEESEEEEFESEEEEFESSEEEFESSEEEESSEEEFEESEEEESSEEEESSEE Nous voilà de retour prêt à me faire un drame Pour cctte liberté dont j'ai été privé,
Gr m'enfermer là-baut telle une gente dame (tte idée mon ami n'était pas de mon fait. Coycz-vous mon très cher que L' infâme ferraille,
fait la garantie à ma fidélité.
J'ai su sans clé OUVTiT, AVEC une tenaille C sacré vieux carcan que vous aviez boucle. fai couru quilledou, volant de l’un à l'autre, Séduisant cavaliers ou nobles de [a cour. Vous, absent tant d'années quelle vie que la nôtre, À dépérir d'amour j'en perdais mes atours.
L'on troussa mes fupons plus souvent que Le vent
Jffendant [e retour de mon Seigneur et (QKaître.
SL fallait que j'occupe mon temps élégamment,
fe fus fort bien payt , j'avoue fe dois l’admettre! Nous pouvez bien burler, faire votre baderne Dans un français courtois fort de votre bon droit, ais vous revenez vieux ct fe vous sais en berne Nous disiez mon ami ? 56 il vous reste un doigt ! (07 doigt! ais VOUS AVEZ la réplique tactile
Gr ce gant me cachait votre unique bijou, (tte bague au mafeur serait donc vibractile ?
essire votre Gras, dirigez-moi INers où ? CLBF
BEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE Maaaaadtanaaddaaanaaddaanaaadtanaaddanaaaddtanaaaddtanaaadtaaaaaddtanaaaddtanaaddaaaaaaddtanaaaddtanaaddaaaaaadddaaaaaddaaaaaaddaaaa dada aaaa dada aaaaAdIANaAIAAINNIIIAIINNIIANNNANANIAINNNAIANNNNININNNNNNININNINANINNINNANNNNNNANNNNNNNINNINNNINNNNANNNNNNNNNNINIANNNNNNNNNNINAANNNINIAIANIINIIIAIIAIASLIIINNL SEESSEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE EBEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEESEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE)
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J'aimenaio Bien écnine quelques chose de dnéle |
Ect-ce ce tempo de jhuie, de neige ou de enachin,
J'en mass qué ft ge es pau oume machin,
Efira ne pénal qu me non flle Etre plié en deux, leo cêteo en délires, Se manner , rigoler, comme on dit s'éclater.
Mio voilà j'ai le Blues, ça n'aide pas à nine,
Alono vous jencez bien, à gonge déployée. Je ne ouio quo la seule à avoir la nauvée, Le coeur en bandoulière plutst mal accroché,
Panait qu'en écrit pas lonoqu'on eot trop heureux, EE si L'on à des nous des nous lalla itou,
C'eot pâle j'en convienc, enfin que voulez vous
Que na muse o'en fout. EDLe e cache où ?
EU eot où la dnélesoe, elle me pompe l'ai, Je te dio que je L'aime, le nedio dans meo vero Mio je me venge en ‘come ; Vous dine oi je couple. CLBF
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Robe grise et jupon de pluie sempiternelle,
Une écharpe de vent un chapeau de gisaille,
cf prolonger la vie d'une saison cruelle se prend poux l'hiver, ce printemps qui bataille. cveil au garde-à-vous ne s'était découvert.
Ne quitte point tes fils! arde tes vieux habits!
Cu sais bien que souvent, le froid est un pervers.
Le mois a écouté ce que les autres ont dit.
Dans leur robe de laine à la maille épaisse
Venues des monts voisins et des courants sauvages,
Let nues nous ont maudit sans beaucoup de noblesse
a terre vomitsait un trop plein de messages.
Œuis arriva Le lai un peu à cloche:pied,
U ne fut qu'un éclat de terribles orages,
Œrédisant du bonheur à qui voulait aimer
6on onde fût un choc, qui noyât nos villages.
Vivement le Quin celui des chauds partages,
eniflaxd de sanglots sous un soleil top haut,
De juillet il voudrait avoit tout le plumage,
Q fera de son mieux s'il ne fait pas Le beau?
c'lais ou sont Les saisons qui fait quoi en ce monde!
caut-il le souvenir de ces années aussi?
La planète s'entète et les mois vagabondent
cour que je me souvienne... J'écoute Vivaldi. CLBF
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RAIS D'HIVER... Les matins étriqués de gelée recouverts Ng peuvent s'étirer tel un ehat sur lg mur. ASS Encore emmitoufléé dans la nait de l'hiver % L'aube frigorifiée se plaint de eourbatures. IN
Cest un champ de rosée. dg branches en glaçures
Gonfisgur attentif 1 froid fait son offieg fttache aux barbelés ses gouttes de gelure €t poudre de frimas les sarments au supplice. | Ang bise craglle s'acharng sur les haies L'air vigrag de senteur promèng sa fourrurg Pe brouillard tout mouillé que perec quelques rais €ntendez, écoutez soupirer la verdure. Mais voilà qu'il arrive, éeartant les nuages
Pénètre dans le bois glissg entre les ramures,
Et de ses flèches d’or timidgment s'engage
L'hiver tout printannier réchauffe la nature
C'est la fête de l'herbe des jardins çt des fleurs, Des allées de rosiers emperlés de cristaux. | Pu massif empoté d’un voile de pudeur Que la nuit était longug prise dans un étau. Les vapeurs de la terre emplissent l'air d'humus
Quelques eherehgurs d'ennuis piaillent sous 1gs buissons.
L'odorantg douegur au matin des eitrus ittirent les abeilles dressant leur aiguillon. CLBF
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CÉLETECET SR) J'aurais voulu de toi des milliers de secondes
RER ET EE ET EL TA
PRET A chien Aa
PT ET EN EC one À PAT EC QE AC
CETTE RIT CLR EEE ET
Ne bouge surtout pas, je l'en prie reste là,
Laisse-moi me blottir, m'enivrer de ta peau. PTT ee RQ ISA UE 00 CU CORP CRE CS OC TS La à
BCE QE A OA Je n'ai rien oublié de ce qui fût un jour. PARC le PC LC
Nous creusons le sillage à la proue d'avenir,
CRE EEE EC TE
PNR Li CU CLBF
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ättends | Attends encore, laisse la volupté Pénétrer dans nos yeux pour gardgr nos sgerets,
Dans eg lit ou tout dgux ng formgrons plus qu'un, Laisse eneorg nos corps s'enivrer de parfum. Dès qug l'amour sgra il segllgra nos lèvres
Halgtants et liés sous le joug dg la fièvre,
decrochg ton regard à et exil soudain Pans la beauté du temps suspendu gt divin. Jaste pour egt instant, pour eg plaisir fagaege
ax lignes dg ta main je prédirai l'zspacg,
Dans les soupirs plaintifs d'an fleuve torrentiel, Telle louve apaisée je rejoindrai ton eigl. Je songe à tous egs jours ou nous sgrons bign seuls,
Où nous rgtrouvgerons tous egs matins de deuil,
J'aimerais voir s'enfuir ma vig entre tgs mains, Mourir ainsi d'amour, mais renaître demain. CLBF
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nl Il CE22777777247722 El me faut pour combler mes vœux,
CAy mieu de vertes prairies, À Dusañon, CT
(C2 027700 Couver pour mon denier amour
LACET TL A 1202 277727777722
ÉFaime à goûter à cette enfance Ce cacherais là déchune (C17222 & printemps me plait, ant de hagin au vent mauvais.
CR ALT EET TRE LE CLBF
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L'atmosphère est un blanc désert.
Rien ne tremble, rien ne soupire.
La vache mâche sa colère Le mouton de laine transpire. L'herbe molle couche ses pleurs
Sous l'azur qui tombe en morceaux,
La canicule n'a pas d'heure
Il fait trop chaud, beaucoup trop chaudl
L'épais velours au triste hiver
Ferait bel effet dans le froid,
De beaux rayons bien droits, bien fiers,
A la saison des feux de bois.
En attendant quelle torturel
J'ai fermé la moindre persienne.
Pourtant dans le noir, je sature
Vite, que l'automne s'en vienne.
Et ses couleurs et ses odeurs,
L'été devient caricature,
Pauvre saison où tout se meurt. Vive octobre et ses peintures...
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Tu grinCes, Couines J'entends tes plaintes. Inutile !.. Je n'irai pas pleurer là devant ma fenêtre,
Tu as beau gémir; Non! Je ne viendrai pas
Adhirer l'horizon en pensant que peut être Si je regarde au loin ta nuit m’emportera. Silence !
arrête ton manège de tôle métallique; Automate indécis sur son axe lunaire,
Secoué de caprices, agonie de fer blanc,
La lune te regarde, Vois sa brillante sphère Cesse donc de tourner silhouette au Vent. Joue de ce madrigal
Qui te sert de musique mais laisse-moi dormir. Ne m'interpelle plus ! Le Ciel m'importe peu,
À moins que je ne flirte aVeC tous les nuages
Glissant mon insomnie dans Ce gris Cotonneux Afin dy voir flotter l'arpège de mes pages. Squelette désossé
Fais silence un instant,
Laisse ma nuit d'été Cliqueter de printemps.
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EN VOS OARDINS DE MOTS. En vos jardins de mots, du printemps à l'hiver
de parcourais le ciel, constellé de merveïlles,
Au creuset de l'histoire de Zeus à dupiter, de poursuivais le temps de l'Olympe au désert. Ainsi vous m'éveïlliez aux musiques des vers,
Aux chants des sources vives, aux blés mûrs en sommeïl,
Au bleu profond des mers, aux parfums de la terre Et de vous j'apprenaïs du monde ses mystères. J'aimais a écouter en fermant les paupières, Le chant du rossignol, le cri de la corneïlle. Aux cycles des saisons, fidèle Déméter
L'hymrie de vos récoltes enchantaït mon oreille. Dans ces vers éternels que je lisaïs naguère,
D'intemporels échos embellissaïent mes veïlles,
Solitudes humaïnes où dansent les chimères, Aux chevets de mes nuïts s'offraïent tous les soleïls.. CLBF
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Est-Ce que mes sources sont moins Vives,
Est-ce que je cesse de couler ? DE
Printemps eu m'as dit de chanter Alors je Chante...
Est-ce que mes vagues 5e lamentent
PLUIE Est-ce que le nuif est mon emente,
Hiver tes courants sont retors ? Alors je nords… Je sais que tu n'épies l'automne Le vent se voile ,voile de nonnes TT DE C'est moi qui balaie dans ta cour Souffleras-tu sur mes a C'esttoi le temps qui nous commande
parfois on en redemande Par tes humeurs d'adolescent 7
Tufais la pluie et le beau... CLET
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin. Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors Chant d'été L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane
Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu.
| Chant d'automne Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaint.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s‘impatiente ! Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Chant d'hiver Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent fe y
Le blanc de tes silences lentement se déploie. a
La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF
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€ mettre du ciel bleu sur de
Serait un Vrai bonheur! Rie b'ate TRÈS SALE de tant de cavalcades.. érs ne sonf pas moil| Îls sont de mon humeur,
invente des maux protégeant ses aveux,
eux-(i savent bien que dits aok le cœur e s'évanobit dès que l'en parle CUT e a =
L I ée erme une aventure
Li ss
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LISIERE D'AUTOMNE J'irai cueillir tantôt au champ qui s’abandonne
Tout un bouquet fané de ces épis couchés,
Ils sont les heures chaudes alors que vient l'automne
De tout espoir futur au chant des oubliés.
Déjà, quand je marchais sur la paille défaite,
La terre sous mes pas pleurait d'avoir souffert, Et l’on voyait la mort encore imparfaite
Recouvrir cette vie de ses effets pervers.
Le merle et le corbeaux révérencieux à souhait, Cabalent de concert en plumage de deuil,
Evincés par les cris d'étourneaux en cavale
Piaillant frondeurs unis volant en mille feuilles
Le vent fait s'agiter des brindilles légères.
Dans son souffle s'envole une poussière d'or
Quelques brins, quelques grains vont cacher leur misère L3-bas sur les collines où les attend la mort... Cette saison lumière aux changeantes couleurs
Apportera gaité sur les champs dévastés
La vigne encor’ debout se verra arrachée Au plus près de l'hiver amenant ses douleurs... CLBF
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Cs lignes au matin tremblent comme des ailes, Mirginale blancheur qui n attend qu'un seul mot, Ma muse es-tu là, que fais-tu donc ma belle ? orsqu un et mille oiseaux viennent prendre leur place. Tu murmure de l'encre , AUX tempêtes des mots,
Œcorcht sous la plume, le feuillet blanc grimace…
Les pages ont souffert de nombreuses ratures,
Œn voilà deux ou trois, froissées de liberté,
Jetées dans Le panier, en vilaine censure.
TIide-moi à quérir, toi qui vis dans [a lune,
Déesse de l'écrit, quel jardin te retient,
Que tu ne puisses aider ton amie d’infortune. l
Pose en mafuscule le tout dernier espoir
Sur l’envol de voyelles dont tu as le secret.
Pour que mon del soit bleu, f ‘ai besoin de Le voir. CLBF
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Octobre sait cela. Je LLC CRT ETES IE ET Te
a LS CT dijà PAT (Te Pr [PTE OS
Ft l'aube sortira du sein noir de la nuit OUT PU de froid, somme toute fort beau. Sois lente, sois prudente, TROT TI ET TA
NCA PTE ar le [US T's LA temps bénis
DE CTROTa TEETLLS pures, LE” PR TENCIETTE LOUER LEURS TT PA TR OLA cela,
P
and L'érable rougit tel un feu de bengale
4 él
CLEA ET LIL CE Te
y Jen {a terre PTT quant aux OUT ET TIRE OL 17: ETC CETTE (2) LILI OT LI
Der des reflets du Ir beau fil d LT
Qu'un vol cendré de PL CU in PTIT LT NOT: le matin, poussant voiles aux vents. D Cr LUE TU CE ART brocarde,
(Gr fu pourras afnsf dans ta forêt d’ éden A7: tous Les OITITE) d’une saison fuyarde, en voir CL 0R , Je retiendrai ma PLUIE CLBF
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On dirait que la plaine à l'aurore figée
Our lx moindre parcelle revêtu d'oripeaux,
CL£ne nuit de novembre Sést mise à grelotter, e sol transi de froid est pris dans un étau. < aube à peine levés, revétue de blancheur,
Sens sa brume traînant un ennui dépressif
Allait on ne sait où, déroulent sans pudeur, es volutes de nues jusque dans les massifs. Celle une catin titubant de besogns,
À l'approche du jour au visage masqué,
Sa nuit rase les murs du pans de COascogne @uélle cropait pouvoir retenir dans ses rets. CHeurtris par lx gelée, parsemés de ses pleurs,
es champs réfleuriront sous des rayons pourcuz,
ec soleil matinal daurifères langueurs érra notre terroir enrichi Par les cieus. a nuit va trépasser emportant Sa grand voile, c mélant aux nuages drapant son agonie,
Gt dans le ciel turquoise alourdi sc dévoile CKorembre éclairci d'une belle harmonie...
Rampille
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Restons chez nous, il ETS RCE NE re EEE ere rleles CNET CNE CLOS Où irions-nous avec nos peines?
Tentons une douce folie,
Nous pourrions aller là, tu vois
Sur cette carte, ce pays SV CU]
STE TEA rer ee CNT ET Toi qui écris, moi qui radote. C'est ce que j'aime cher Monsieur, Avoir des humeurs un peu sottes.
J'aimerais tant être avec vous,
DSTI EE Ca EC En TT ETS
Chez vous, chez moi, l'endroit est flou, Nous n'ayons jamais notre place.
Je ne cherche point de querelle L'idée se traçait un chemin
Entre vos bras comme deux ailes
J'aurais trouvé mes lendemains. LEtretlte
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Fruit défendu Ce banc au bord de l'eau quand fleurissait avril De mes jeunes amours en garde-t-il la trace?
De ma robe en corolle amidonnée d'espace De mes seize printemps savait-il le péril? De ces premiers émois la pierre solitaire
Me rappelle un visage ainsi qu'un noir regard,
Une main dans la mienne ef l'odeur de la terre, D'un baiser maladroit nous goûtions son nectar. Le banc près du platane a gardé ses marbrures,
Lettres sentrelacées cœurs gravés désuets,
De timides amours au parfum printanier, Fraîcheur d'une jeunesse courant vers le futur. Les souvenirs peuplent nos rêves de fantômes,
De ces secrets brodés, ourlés d'adolescences,
La mousse a revêtu le banc des souvenances Et du fruit défendu qu'à croquer on ne nomme! CLBF
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J'ai dans le noir des yeux un reflet qui, tremblant,
| Suit la noi de l'onde que trace le chaland,
Quand dans le calme plat sa lenteur m'ensorcelle, x EU ZA TR TUTO 7 TUE vol d'hirondelles. De UT EN voiliers de [a mer, RETZ TER Le blessures de guerre, AL. sur la 7 in'est d'heure Por tienne m'est un doux repos en mon âme sereine. Pre CEE TE TT TT TEL OT ET 72
n LES
[14
Es ée de clapotis que le tirant entraînent,
TRAIT algues entremélées se sur l'eau portant sa batelée RAT pleureur d'où s'égoutte la nuit,
‘Ma pensée s'évapore, ainsi le temps s'enfuit.
L 00) en vagabonde au fil de L'eau dormante. Avez-vous remarqué comme la vie s'invente ! CON ET PT TETE TA TT LE 112
on ventre lourd de blé aux entrailles serviles,
ti CNT TT ET OT LT ET DTA el Faisant fi de tous maux, elle en oublie les fieures.. CLBF
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GC? est Pan LR A PTE 1) fe FE, LITE TTR
CD un PT PA CT “P une dine,
Où je CAPE PE Ar Cy 2 Dr AT Cri 2 mettre de l'esprit dens mes zers ET
DK So j'étais LS 27 PACA 7724
C7 79 2322 dans mon ceryeau VE PA
CET Tant PTE À Lesbnfe”
SATI LIT IT AIT re PAPA MOTCEAL, TT
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ee Pr 71 PÆ LOT PRET) 7 consciente Grire 777) CL STE com
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Ce PA C7 de tourner en rond
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APT PATRATA Are fanale… SAT LT CPAS ET
2 end CTP PS té GATE T4 CELA
ASC CD RE, JP 72 CS 77 72177200 DÉUA DORE RUE regard.
(CET [ni il passait là ETC ST basard...
Oserait-il Braver l’interdit de mon père ! © ciel ! mais qu'ai-je fait pour gagner sa colère.
LIEU garde enfermée, prisonnière, à quoi [ITA
Gr ET connaît pas (PETER BTE t me cloîtrer tout en baut d’une tour
Rien ne m'empêcherait de vivre mon amour... Pourquoi PLU CTILT TEE LT mes chers PLUIE)
LATTC meilleur pour leur unique enfant. S CSC TT LL TE ignorant tout de lui,
rt TT CETTE TA CICR LT
ET ETC mal, CCC PTE Ce (0 J
Son TL ne ment pas, il n’a rien de futile. Pour lui mon coeur s'emplit d’une immense tendresse Du LUE CA re que mon propre tourment, DRE T CURE CE NE A TA Je ne LAIT CL LT quitter ce sentiment. ETC TE 177
CLBF CET LEE LEP
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J'AI TROUVE UN FIGEON J'ai trouvé un pigeon ! De nos jours partager est un mot à le mode, î D
rtatamn ecrans DUPONT ES ETC PE TSCUES EST) Trop de place, de temps (Pigeon sans domicile fixe ) F Encore un innocent vivant sa dernière heure
DÉCES CEE CETTE bobé a UP C7 Ë nt
CEE PAST EME RENTE EE Un mauvais jour de pluie Je devine son oeil, DEN DEPLEMETdCLUTS n se Et see À
CDR ÉCURIES Te ET IE PSN EE Eee ROLL CRC CCE Le fordeau d'une vie D 7 Un moral de lundi. LPS RP LE EURE NES
RTC LUC L'envie ne prend, bien sûr,
J'aperçois le minet, fapi derrière la roue 27 D'un vespa déglingué. LA D'un repas dont lui-même aurait été Île plat.
Mouillé jusqu'à le moelle, l'oeil noir du malhonnête. CRT NET M Moustaches frénissantes, les poils du dos dressés. (ERREURS. Un repas de Noël, X Et depuis ce jour-là, j'ai un co-locataire
Chic ! Le festin parait euit ! CLBF
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JEU D'AUTOMNE... Clairsemés de nuages que pénètre le ciel,
Les arbres des allées se meurent, dépouillés,
Décoiffés par le vent, perruque éparpillée, Dans là mélancolie d'un temps confidentiel. On les voit dégarnis sur un livre d'images, CONTE SE Tue STE TEE TAN Lee LITE Do) E Mêtant au jaune vif une traînée de rage, Des rouges safranés, des carmins de décor. Novembre printanier a de drôles d'idées.
BEIC ere TENTE CET EAST A
LEE UT A LU QE TUE CEE TC Des feuilles bariolées retombant sur sa tête. De ses branches amaigries, nues de toute splendeur,
SET EU da RAS Le
Courant après le Vent, pourCchassant des couleurs Dans des éclats de rire éveillant l'agonie. Valse des petits pieds hésitants, malhabiles.
Allant de l'une à l'autre sans pouvoir retenir,
DÉS ASE OUT OT LEA TE OI CA Les peintures d'automne au fuyant avenir. CLBF
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AUS OLEE CETTE) A vivre près de vous à l'ombre de poèmes,
Partageant votre amour avec celui des muses,
Cachées dans votre coeur, qui souvent s'en amuse J'effeuille vos pensées se jouant des je l'aime À l'aube d'une saison l'une d'elles vous emporte
Bien au-delà des mots dans un monde ignoré.
Déesse au corps d'argile, donnez-moi donc la clé De ce soleil divin qui m'ouvrira sa porte. J'aimerais m'endormir sur ce lit dépouillé
Mais vos muses lascives y prennent toute place,
Alors que mon amour comme un doux champ de blé Ne cesse de trembler sous le charme et leur grâce. Durant les soirs d'hiver cette fébrile flamme,
Qui brâle votre coeur de mille éclats de mots,
Faits de glaise pétrie, de marbre, d'albâtre ou eau, Elles sont le pouvoir et je ne suis que femme.
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J'aime Voyager le lundi! Mise sur mon trente et un, Je prends Chapeau et parapluie,
Comme ferait tout un ChaCUN. Partir pour forger sa jeunesse!
Hélas pour moi il est trop tard, En vérité plus rien ne presse Janais je ne quitte la gare.
Et quand la voix du haut-parleur \ Apnonce d’un ton Chagrin = Quai un! voie deux ! J'ai mal au Cœur !
Cacophonie et tintamarre Le parapluie à mon côté Ah qu'il fait bon Voyager Je vois souVent des gens bizarres Sans avoir les inconvénients Courir partout, se bousCuler.
D'une valise à traîner Avec l'âge on prend du bon temps... PAMPILLE
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T parles sentiment cœur ESS attitude,
ETS ECS ACER VIS PETER 2 J'ai bien servi +a cavse, Loan m'en Caum L'amour naissait en moi +el un ECC CL
PRES E EC DENCCECE 2770 LEO CCC ES Je +e bénis encor’ brasier de ma TC
Sous les cendres éteintes revivent des brülures, Germe de fantaisie égaye me vieillesse! Hélas ! Trois Fois hélas, mordu de cicatrices,
ES D ECTS je Ce LCA CO TC EE CP CSSS EC CCC CE MSC
Un pas sur qui le sien adop+erait l'allure, RESTE UE ECO CLBF
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Ce vous imagine, à votre main lx plurre,
otre regard sc perd au-delà du jardin,
Au travers des dentclles d'un rideau cristallin,
Aussi léger que l'air, aussi blanc que lécume. ous écrivez CMadame, et celx nous enchants,
és amours sont si belles quand Lx rime se jouc,
Gt qu'à tourner les pages votre âme est plaisante, @uand vos mots en collier sont de si beaux bijoux. Sans ma main votre vie s'écoule comme un fleuve,
Chaque page tournée est vague d'émotion
es feuillets sont jaunis, mais lécriture neuve Ravive leur fraicheur, enthousiasme le ton. | Cage, votre cœur laisse entrevoir vos failles.
À or voix est jardin, vous on tes la rose,
otre nom en bouquet chante Anna de ailes livre référmé, Comtesse, je vous pose … FEB
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Alceste à bicyclette... ST était Là morbleu | Cat acteur trublion
ans mentir je venais d'oublier tout le restc, C1 devant mon écran je menivrais de sons, Eucchini survolié s'appropriait Alceste. es mots étaient si beaux , parés de tant dé grâce.
CHolière est un génie, un homme vénérable. E alexandrin vibrait en maître dans lespace ec verbe jouissait détre aussi respectable. Comment |! Vous n'aimez pas, lacteur vous indispose ?
‘Leut étre dérangeant, maïs avoucs quand même
@uc son jeu le menait à étre virtuose. es mots fusaient ainsi de monème en phonème ous, qui lout comme moi, écrives sans relâche,
KE perdes pas de vuc quoiguen disent certains
@uc dousc pieds il faut dans un vers qui nc fächc, Ainsi lautcur comblé n éprouvera dédain.. KE prenes pas ombragé, là nest pas mon propos,
Came dens lécriture Le rime sans faus-cols
Caccorde je l'avouc un écart, un bémol es pieds, je les admire. Œcoutes leur tempo ! CLBF
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Je suis un jardin suspendu Serait-elle intelligente Un pru bancal, un peu fyrdu Bit le père de Ja « savante », Etouffé par des tas d'idées, Le frère reste abasourdi Mauvaises herbes d'un passé. Coranent se fait-il ! Elle écrit ? J'étais oublié, en jachère, Mais où va-t-elle chercher ça,
Pourtant j'ainois bien le gronnoire, Curieux! Elle était si banale,
Petite fête sans valeur, Et noi de répondre C'est là! J'avais des phrases pleinle coeur. Je puise 1à où ça fait mal.
La fonille s'en étonne, Bans son cœur percé de chardyns
Êt pataïi gt patata, Recyuvert de terre à gazon, Cornnent! Elle aligne des mots M germent quelques fleurs sauvages Toujours sun satané eulyt! Des mots qui poussent sur ses pages CLBF
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TUTO RTS LA TL OLA AU A)
CLIC CASE TETE @
CAP NORTON OO 1
IMAC ICONE TA A TC
CALE TNT LOT CAT AT D
Pareille la marnéequttant belleparure
DOTE ET NAT LION ET TE DT RTE CN TA COR PES ET ER EE TONI De
Ma muse s'est enfuie, frélant Les pâquerettes
TO EL 0 COTE TOITS TELE CICA
retiennent load OP OTET ECCS AATENCN
(OnGienrest cevune musequis'amuse de motà CLBF
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Je pose sur ta peau, juste au creux de ton cou
Dans ce pli si douillet où la chaleur se niche,
Je pose un baiser ! Laisse ! Mon coeur est fou ! Ecoute il ronronne, il a son oeil de biche. Je serai ton théâtre aux rideaux écarlates Seule pièce d'un puzzle rassemblant le décor, Dans le lac de tes yeux je signerai un pacte Qui fera de nous deux un seul et même corps. Les mots de la tendresse sont les cadeaux du temps,
I n'est pas de paresse dans le désir d'aimer,
Les sentiers de ta peau ont le goût du printemps Et par tous les chemins, je saurai les trouver. CLBF
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nn fruit de ta PEN BUT =.
SCI cueilli des 0 É + EH 5
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A) (5772 CP TE 17 12
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Sous ton CITE aimant … / ï
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st POELE UE 7:18 LC folle du temps. HA
De toutes nos folies Sous Le soc de ta lame
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AIO Ce (CRE
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ons mo (oeur... De toi, que vais-fe faire CCE OT seul.
Te roudrats DO pourtant avoir PAT RATIC ”
(CT une rise douce chante dans Le tilleul % ELLE UTILE CTIOE LDC LUE RTC LAS Un CELA pU10 TT CT rougi tes nuits. (ombten tu fus heureux au seul fait de son LT R D CAPOTE TETE quand RTE Ts
Ste rendait L'amour de bien belle façon. OUT st souvent, triomphant FA l'attente,
BETETE mon sein de battements fievreux,
(CUS imaginer qu ÉTAT peu afmante Viendrait un four troubler ces moments radieux. arr LT ITA OUT IETER 2 crépuscule PET
ACTU ETC ee PULL CARTIER
BEL un battement, pâle chemin de EU VB CTL ILE D PAUL INT) Te La Tir 1e
CLBF EL LI le ci BRUT: des matins et pITO CRT PAUL ER
TL EL DT Lis CIER
(C2 PO OT PT) de SUR Ie besoin, fe sais, de LIEU de POUATR
Magali
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Je voudrais des oiseaux comme vague de moire,
PORTE TENTE RTE TE EE TT Je voudrais que ton nom Au creux de ma mémoire Quitte mon horizon, Devienne fumée noire... Je voudrais des nuits blanches Tout au creux de mon corps, Des réveils alourdis éperdus de remords,
Des mots en avanlanche Aux flammes de l'envie, Qui brûleraient ma vie... Je voudrais tes espoirs AURAI EL A RULES Des photos en sépia Comme dans un boudoir, Et des jardins d'amour pour seul enchantement,
Alors ! j'arrêterais le temps. CLBF
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ET ET Cai monté” ce géleau pour mon anniversaire,
OT CA EL A
(O7 PTE OT RE 07
QE ETES
DOTE LA LL EL TT LL D
SLT ALL A EL 707 7 22
SOA TT A7 D 12 Les enfants seront là pour féter mes années. OUT ETS EEE TE PT AT LL AL 22 CL EET ETAT AT D ALL 2 Mais un beau jour viendra où navant plus de place Ce mc demande où je mettrai les bougies ? L a Non maïsl Ce vous entends, vous, grossiers personnages
(OT Er 7711
(OT TT CEE ACER
CLAIR EE 717772 D
Ce vais devoir étcindre tout cet éclairage, CPP LEZ NT RL TEE C1 0 OR T E 077 CNT0 COL TT ) AR El (OU ER RL 7 AR
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QT AR CIE ZE
CAL LCR ET 7 CE 1102
(CPR LIL TELE ET 2 EPP TITI
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SAULT EL TET 17 CODE CU EL LE 00 CAL LEE TEE ET EE CPC Y AT EN 7 7 LE Ce sais que l'heure existe où toute chose arrive
(CRE NT AE AIT LIN ETS
EVE TA LE CA ET ET ELA Ce voudrais les cucillir comme on cucille le vent. Ce scrai ce bosphoré, étroite passerelle
CNT ET 72
SA LATE ET 7 5 CAIN E TA SA CO RL EL EL ELLE T2 1270
Ou aimer tendrement sans lx douleur de l'autre. (Lln ropos mérité dun amour sans éclat, CAL CENT TT EE 7 ETC EE
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es Méches Blanches Passer mes mains dans fes cheveux
Qui ont la beauté de l'écorce, Dans l'arbre fou des vagues que,
Mes doigts saisissent avec force. Je sens l'odeur du cuir de peau,
OT PRE AT A A De la pluie fine au crépuscule
DIT ON TENTE TES
Crinière ondulante sauvage, Entre mes seins couleur de miel Ta tête dans mes mains sommeille
Comme un bouquet de mèches blanches.
Mon nez respire ton odeur,
PUNTO AE LA Ma bouche aspire ta chaleur,
CAT ANCIEN
Sous les soupirs d'une Carmen,
Trouve l'oubli dans ce linceul... CLBF ETAT T0)
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
En 7 Je eherchg an endroit où tgs pas sont allés
Où passent un soupir, un souvenir voilé,
Où je saurais trouver eg petit: -- Jg ng sais! Qui faisait dg mon cogur lg plus beau des bouquets. L'air paraissait léger, poussait notre aventure
Vers des mots familiers fissarant notre armure,
Sous couvert de pudgur nous eachions nos félâres, Ginsi sg faufilait l'amour dans nos blessures. Aux grand silences émus taisant nos lendemains,
S'aggripaignt des nuages quand vous tgnigz ma main
Si bign qug j'entendais an roulement lointain Qui semblait m'emporter au sommgt d'un destin. Ces langugurs, egs soupirs chantent eommg la mer
J'aimerais tant encore eg ehemin entr'ouvert
Qui mg mena vers vous gn vos jardins d'hiver, Où jg peignis en bleu lg moindre bout de terre. CLBF
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AUX PORTES PU 722274 Poargaoi tant dg silenec au désert saspenda,
DRE ES IE Te EE TE TOR) ZE UT EE
EAN ANTONIO RE NTI E Je coarais vers l'amant dans an monde d'oabli.. Ô 1 Temps. dis-moi encor’ ga’zst-il done devena,
T-t-il mis dans son eœar an pea de mon amoar.
Voit-il ces paysages gai m'avaient tant émue. LA AIT ARE HA ENT A TROT LE Voit-il le même ciel dans ses errantes nues,
&g laisse-t-il troubler par an mot, par an geste
Et s'il s'en soavenait, dis-moi, le saarais-fa ? J'entends encore le vent ct sa chanson céleste. OT ER AR OL TES ETES 1121101112
DATE ET EI O ANT AT ET 2002)
n solgil radicaux qai m'était bienvena LOUER RE EE AIO ET TE LUC PETITE A0 ee ER TER RCE RON AU ZA
C£lles-ei m'attendaient aux portes da réveil. Et je vogais alors foat eg temps révola C£ temps où dans nos nuits je goûtais au sommeil. CLBF
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Il y gat les soupirs dont j'ai nourri mon cogur 4 l'aube d'ang vie que le bel âge accuse
Mais lg bonhgur ng sait où gt quand il est l'heure Pe lui tourner Îg dos se ehgrehant ang exeuse. Il y gat 1g désir dont Îg corps sg souvient
€t puis qug l'on maudit fautg de l'oublier,
Que l'on met au passé pour sg faire du bien Qui vous collg à la peau. tatouég de regrets . Et puis imprévisible, emprisonnant les maux
Revient ang brâlurg comme an éelat d'obus,
GCommg un eigl de juillet qui nous faisait défaut €t l'on aimg d'amour jusqu'à sg mettre à nu. Aux nuits que l'on déchire à sg vouloir heureux
GS A TAROT CR EN ARTE UT ENST ER AT TA 2
Il s'ouvre un lit de vagugs à vous noyer les yeux Quand 1g cœur supplieié s'enlaidit d'ung absence. 71
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M'aimiez-vous, mon doux cœur ? J'hésite- je veux eroire
Je mêlais à mon rêve en ee candidg espoir
Un dessgin impudique, égoïste désir Comment encor’ doutgr quand jg vous vis venir. b'attente était l'avgu dg nos mugts accords
Nous étions egs saisons qui lasségs. sans remords
Faisaient un pigu receugil de silencieux soupirs Nous redoutions l'adigu sans jamais sg le dire. Longtemps songer à vous dans nos humbles déliegs S'offrir en solitude de flatteuses blandiegs,
Votrg chalgur en moi ng pourra gffaeer GCettg ombre que j'aimais gt qui m'a carcssée. M'aimez-vous rien qu'un peu? Je veux votre tendresse
Je n'ai besoin d'amour que dans vos maladressgs Qug votrg absenesg soit le revers dg la mienne
J'implorg votre main pour qu’elle me retienne. CLBF
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Ainsi mon cœur meurtri croit aimer davantéft, Crappé dune amnésie de ce qu'on le partage
CA s accorde souvent un semblant de bonté. Anesthésié d'amour il s'endort inspiré Se son dernier émoi dont il garde l'image
Retrouve les douceurs qui hantent son alcéve,
vant l'instant charnel de sa plus belle page CHGura corde à son cou avant qu'il ne se sauve. spérer ce désir que CHACUN CHVISAGE,
st ambition secrète de vous aîmer encore, Gt d'encorc vous plaire, de ça je m y engage. € inquiétude est humaïnc, je sais, demeurons sages.
Adrires le sonne, voyez, je l'édulcore,
Mais Mon Dieu dites moi, à quand l'autre abordage ? CLBF
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L£s yeux du printemps sont azur,
Cugillg done la belle violette,
Dans la mousse jolie fleurettg Conte l'amour à la nature. Les vers ng sont je vous l'assure
En souterraine floraison
Qu si vous trouvez d'aventurg Mille beautés dans les saisons. “lors j'écris de simples rimes
Couchée dans lg ereux de mon lit
Je suis la passagère intime De mes pensées de mes écrits €t ma violette direz-vous
Sgrait done prétexte à écrire ? Méa culpa ! Là je l'avoug Violette, est l'energ pour sourire. CLBF
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L hiver à des splndeus tout comme lu vieillesse, : ne ne
à © D rames Énbée oubliant 00 iuolncs
Éd À Le gent np pt bp
EC
3 sève d'amoux fai fin mon ancléé
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DU CAT LA S ÉTOr 00 UT IE Le PULL en vers
Ft COUR Veux PO aLTAECES
SAT TE CI CEE ELU) m'Q coeur et ma folie, ce qui en moi PTT (CT HET UC TETr CAT TETE UTC
A TTC TA CT OR TEUCL OL TUE
AT AE TE EOO TE) LUI EL vous dévoile Ai CUITE) pointillées sur un fapis I ÉTICTE Maïs je CNET TELUS IT (AOTCTA doigt
TNerbiage FA silence, impies alexandrins,
Se couche en CT fines feuilles d'émois CD 'impassibles CL TUE ouverts à tous desseins. 5 est dans mon désert ce mirage vainqueur
Qui me fait avancer sur de DEL LL Pit EN
MSC TE UT CLEO
er PT LT CARTE DAT CE lite. DUC le COLLE le dessine, Le CUT UTA
Je fais de CIC LÉ mélange savant,
PATES CN CR CETTE CO ALLO
CEA BRU pour moi tout un tableau vivant. CLBF
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Aveu… SDesaveu ST semble que les corps s'unissent par les peux,
Ce nc voulais rien croire, surtout tout ignorer.
Ce portaïs sans plier lc poids d'un désaveu
@uy «til d'impossible? Aveugle destinée! CA me fallait savoir, tactile concordance,
1 « toucher 14 peau sc confondaient mes songes,
c moyen de te fuir minfligeait pénitence KE Plus vouloir aimer saccordait au mensonge. c cœur ne sait mentir, il est d'unc arrogancel
7 me parlait de toi avant que d'oublier,
CHais comment oublier ce qui cst évidence, Car il battait déjà plus quà l'accoutumée. SDun tout premier baiser entre le ciel ct leau,
CA y eut cette vaguc, frisson dun champ de blé
Canaris plus dous instant nc m'avait condamnée À voir des papillons s'envoler aussi haut … CŸ veille, mc consume, dt celui qui me tuc
st bien celurlà méme dont Le regard si bleu
CHenvoñte, mc désarme plus que je n'aurais cru. SA nest plus brélent ciel qui permette un aveu.
CLBF
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| Tant de flacons jolis | Respirer ces parfums logés dans ma mémoire j
[Comme un très vieux refrain chanson d'un autre temp}, [Comme un sachet troué tout au fond d'une armoire | [Evcille l'impression d'un instant attendu, uns és édroir aiau tas détour printemps, | ( [3e recherche l'enfant qui courait presque nue. Il me vient à l'esprit, maligne butineuse,
| f la bonne odeur de miel, d'encaustique senteur,
|
D'humidité cachée derrière les pleureuses, Çes tentures velours aux motifs camaïeux Qui masquaient en leur temps la verdâtre laideur D'une porte-fenêtre au cache-cache heureux. [Mon coeur est érand ouvert, comme un ciel sans nuagd
[Où viendrait se mêler le sent -bon du dimanche, |
Entre d'autres senteurs dans mes nues de mirage [Ces arômes de vie font en bouquet latents | ant de flacons jolis d'où tombe en avalanche | lb'apaisante fraîcheur de mon contentement | be nez d'un (yrano ne pourrait y suffire Humer l'air d'autrefois, éouteuse madeleine, ge ne sais si pour vous? Moi j'aime encor’ le dire,
| 11 pleut des fantaisies quand mon humeur s'évade, Et quand je vois surgir au couloir de mes peines On papier peint fleuri aux bouquets bigarades.
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TT COUTANCES Les lupins, Le chiendent envahissent Les allées, COPA LES AN ER PEACE TT Jamais coiffé, l'oeil égaré, il sanwtille sans cesse CRT PET TA UT ERA DROITE PEER OR CPR PE A CU ÉPAROE TAC PA EUT ALEE7E Carottes à volonté, matin midi et soir. Le Martinet la haut sous La poutre du toit Refoit l'appartement, mainténant ils sont trois. DPI PIE EN ELU COPA ER 77 Elles; elles savent que passer La barrière CROP OR ER TE UT OR D CP PC DE PE I PP EPA A PERTE TA Quand au petit matin, d'un coup d'aile rapide A ET AAA A La nouvelle ici n'admettra aucun doute, EP TP RL TR
VAR ET Quand votre vie dépend d'un très bon casse-croûte CLBF
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C'était une riniène impavide d'été,
Où jouet quan le He a'ehone
eee
Chisoaient no eux amie turhulento d'snocence. Douce était l'henle fraiche étrangère aux sandales,
SR
DL
D
SE MR tn
Ek comme sabiafoit, Le vieil anne phoureun Nouo rendait invicillee, à no chagnine de filles. SRE EEE 200 rêves o'enfl HETE Ün ain s'y promenait de paioible long An,
l La brülune infinie d'un tout premier Baise. +
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% Bien alignées par deux, posées dans le placard
Souvent abandonnées, ne servant qu'au hasard.
Pour des soirées guindées, des rendez-vous manqués
Abimées par le temps, témoin de mes printemps.
Il y a la Richelieu, bénite par les dieux,
Elégante et racée, chaussures du passée. Plus bas c'est le nu-pieds, il ne sert que l'été,
Vos ongles écarlates et votre peau bronzée,
Lui font la vie facile, toujours prêt à draguer.
Ceux là sont des trotteurs, ils courent toute la journée
Des magasins bondés, des soldes acharnées
Des allées et venues, des trottoirs et des rues,
Une vie de labeur, aux pieds durant des heures.
Au coin là tout au fond, voyez donc le malin,
Jaloux il fait la gueule je parle du mocassin.
Ici ne vous déplaise c'est un petit bijou
Un escarpin verni, celui des rendez-vous,
Des soirées tête à tête, des amours pacotilles
Pointus et talons hauts, brides sur la cheville.
Non ne souriez pas celles là, vont et viennent
Déformées par le temps, écrasées mais sereines.
Mais Vous n'y pensez, pas jeter cette écossaise
Ell! fait partie de moi ma vieille charentaise.
Quand il me prend l'envie de changer de costume,
De faire un peu la Star, alors je les éxhume.
J'enfile de temps en temps une paire nostalgique,
J'improvise une valse d'un bal hypothétique.
Et pour aller marcher sans riques inutiles
Je remettrai encore mes tennis pathétiques CLBF
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REA CL le E iA
Une maison drôle et bossue, | À
ET RE TER A
La voilà sens dessous dessus...
Elle ne veut pas qu'on la touche,
| à LOSC EE EE ER
UCI ER LE ET TA Nous fait un sourire complice... C'est une maison solitaire DATA AE TES A perdre ses tuiles parterre, Comme les dents d'un vieil huissier. CIEL Ci Ce TE
Dès que l'hiver s'accroche à elle
DER CERTA
CNT ETeCETIE ACTU RC AE CV RIRE TI EA Nombreuse étaient les hirondelles OMR AO TETE C'était la maison de grand'mère Fr à Qui du poulailler jusqu'au bois, _ d
Taisait les maux de la misère.
ONE TOO EE CEE TES CLBF
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Détrates, Gpprétées bien sagement posées 7
Ën beaux souben vevris, socquetées et dentelle,
Robe de plumets aux vubans crié rois petits dablbins sont assis sans querelle. Leurs boucles d'or fisées où W lnière dev
(Gachent un fin ménois à le boucke cerise,
Peil à deux saphis, houblaré conne un näor
Dans buns immenses yeux se lé We goumendse.
e77 te lesprit fantasque,
uand à dur pas d'ici W campagne et magie
Les petites poupées buissent tomber & masque
(Gourené en se cachané vers Bassin fleur. 1777774 (Gkacune en se penchant, tendent son jet cou,
Térhiait bien attaper Le verte Ébelute, CËt bus mains potelées dans un yllme un peu fou
(Przppent leau qui s éveil en des millions de bulles cut CBbrs ls rires fasent, séchagpent ls grenouille
Ée sérfuient ls goujens cpeutrés par & buis,
Ces crois pets lutins sèn reotennent bredouills Lait, un peu plus jepeur, quand'aur robes! 677772 177774 CLBF 17/4
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On soir de RE lorsque vous m'apparûtes, Assis tout deux Sur la roue du moulin
Vous sifflotiez et jouiez de la flûte, A votre Cou suspendait un Vieux sac. Un voile opaque Couraït au fil de l'eau
Vous trottiniez sur Cette passerelle, Equilibristes d'un drôle de chemin Frélant d'un doigt la peau fine de l'onde Que vous froissiez en Clapotis de rondes. J'étais cachée derrière le vieux bouleau Au Clair de lune, Comme une pastourelle, Je vous épiais, VOUS, drôles de Laminak Bonnets au Vent Couverts de poudre blanChe.
Tour en rianc vous faisiez de tels bonds
J'avais si peur, on vous disafe malins, D'un caractère austère et furibond, Même méchants, Car les vieux du village
Faïsaient de Vous farfadets et lutins Pires voleurs de poules ! La belle image - C-LBF Les gens disaient, au bord de l'Uhabia Vie “Là sans crainte, famille de lamina,
Que ‘ Bassilour” suspendait du bon grain,
Le Vieux meunier l'aCCroChañc sous la grange
A là grand poutre ou dort le vieil hibou,
Et Chaque fois bougonnant Comme un fou
II replaçÇait le saC Comme ses pères, Des plaïsantins [ui Volant Chaque jour Ce qui devait le rendre plus prospère.
Mon Coeur battait Comme bat un tambour
Er daps le soir où plus âme ne Court, Ces petits êtres mi- génies mi-humains
Prirent ma main pour une farandole Oh! Je vous entends'Non je ne suis pas folle.
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Vous De. ? | Ay a Longtemps que je vous atme Pyesque un an me ve Vous A Cole me parait être hu, = vais écrire un poème. 4
JL Ne prenez pas cette peine ‘
rien mate dre Ce ne ferme plus mon térotr. Faites vous do une verveine... Cle
”
Déjà un an ! Vous trouvez long ?
À semble que c'était hier,
es avez une autre impression; Que D Soyez plus de dre ee FE a vrai paradis
Vous partez avec CMarie-« France
CRETE EN Vois nee contrartée,
BONES
pr
EE pas sur cs CLBF
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Ah! si Vous Connaissiez ma tristesse
Ma solitude en ces lieux
Vous poseriez touche d'ivresse
Celle qui manque à mes yeux. C 7 Si Vous deviniez mon Chagrin
Celui qui échappe au regard
Vous Viendriez dans mon jardin
Comme Ça par hasard! es DZ Si vous saviez Ce qui m'importe Croyez à ma fantaisie
Vous seriez là deVant ma porte
Assis! 9 7 Du lundi au samedi
Mon cœur sur Vous s'épanChe,
Je vous aime et je Vous le dis, Même le dimanche. CLBF
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£r k D LES 4 AL Sn À
# Je voudrais des amis, comme j'ai des tiroirs,
Pour y méftre dedans mes soucis mes déboires.
Les amis je Le crois, sont des ranges-histoires
Moi je n'en ai pas. mais j'ai de beaux tiroirs ! ULy a Le petit l'éproit Le délicat, il aime la lingerie
Qué glisse sous les doigts, dentelles ef rubans LL n'est pas très bavard, pas d'ami pas d'amant,
Cest Le firoir d'antan, celui des rêveries. Le second, pas l'amé, le firoir vous suivez ?
{L'est un peu bourru, sans aucun arfifice Le gentleman farmer, discret ef sans malice.
Souvent très renferme... Le firoir aux secrets. Le dérnier perd Le fond, il éfouffe, il grinee. SC trouve pêle-mêle, amis, amants, amours, Les cadeaux, les je Faime, les rubans, Les frujours
Les photos oubli£es, les ciseaux et Les pinces. Et pourtant sc un soir j'avais un bon copain,
Un amé tellement cher que j'ouvre Le premier,
Ma petite commore n'aurait plus de chagrin
Avec des jours heureux elle jetterait ses clés CLBF
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Je suis votre escalier, un peu tordu, vieux, dépassé
Vous caressez ma rampe, et grimpez quatre à quatre,
Car sans ménagement, mes marches Vous usez. Je grince, je rouspète, mais vous le savez bien LOC TEEC ÉE CU UC ET SLT LS LE TC J'en aurais vu descendre des pressés un peu fous,
De belles demoiselles en ruchers et froufrous.…
MERE A Eu E UTC ue Du EU ETC
Descendaient sans un bruit pour ne pas déranger. Aujourd'hui vous volez, courez, toujours pressés, De la fumée, des cris! Je dois le confesser,
Siune marche un jour vous mettait sur le cul “aus m'en verriez rate sans mal bien entendu. Je vous supplie encore, soyez donc raisonnables,
Descendez je vous prie en douceur estimable,
Mu eu ER CUT CU ES EE ETES Voulez-vous, SYP, m'emprunter plus légers. CLBF
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Je voudrais un amant
D'esprit un peu fou-fou;
Qui me prenne par le bras
Qui me prenne par le cou,
Qui ne soit pas trop dur
Maïs pas non plus trop mou!
Un langage facile,
L'écriture docile Des lèvres amoureuses Qui me rendraïent heureuse! Je devrais préciser -J'adore les baisers qui furètent partout Sur le front, le menton AL Sur le nez, sur la joue Faudra-t-il suppler? Me mettre à vos genoux? Mais je peux aussi Gien, descendre un peu plus bas!
- Voulez-vous remonter!!! Sans me prêter ici une intention fubrique Sachez futurs amants je ne suis pas de celle Dont le genou se plie pour une bagatelle. J'ai quelques courbatures qui souvent se révèlent. Sur Le galbe d'un sein C'est là que j'autorise! N'envisagez méprise! Ce poème décide de ce qui me plairait. Je voudrais un baiser, juste derrière l'oreille. CLBF
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If | Carte du lit de la solitaire désabusée… Comme on fait son lit on se Couche
L'adage étant bien vrai, pour que je ne découche J'ai entrepris matin toilette de mon lit.
Les draps sont sous la main, les taies sur la Commode. J'ai pris mon déjeuner avec ses vitamines,
La matinée m'inquiète mais je m'en accommode.
Il faut Changer les draps, l'affaire est assassine.
Apparemment simplet le duel reste vrai
La Couette dans la housse, c'est si simple pardit
Et nous Voilà partis! Soudain je disparais
Le fessier bien en l'air, bras en Croix sur le lit.
Et je reste coincée en soufflant Comme un bœuf
Cette housse P….... je vais lui faire sa fête
Chaque fois c'est pareil, mettre le lit à neuf Demande autant d'effort qu'un sérieux tête à tête.
Elle Va m'épuiser. C'est qui qui se ramasse? Boudine dans le centre, échappe à mes coins
Se refuse à mes mains dans un dur face à face Pensant être arrivée au tagada tsoin tsoin… Cinquante fois j'ai fait le tour du matelas...
Je suis passée dessus, autour, même en dessous ?
Parfois j'ai pris mon pied. pffff.. pour CoinCer Ce fatras J'ai “mal à la guegna” et si mal aux genoux ! Enfin, j'ai réussi, n'est-elle pas jolie
Bien à plat, étirée, lisse Comme mes fesses,
Avec sa taie à fleurs et Carrés assortis Quand je vous dis qu'au lit, moi je fais des prouesses...
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770 DE MAUX Ah, cher Monsieur! Que notre vie DER OM EN NOT OE ET ITLR
Chose ordinaire et banale Que l'on peut voir dans le journal. TT CU OUT CE TS
AUTONET 7)
Votre humeur soudain nécessite
Que nous écourtions la visite. COUT CRIE A TT Par quelques jets de vilains mots ? Seriez-vous donc le narcissique CNT UT UT RATE TES
Allons l'ami, soyez joueur !
Des mots connaissant la saveur
Nous les posons au seul couteau
Qui redessine le tableau. CLBF
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SEX-APPEAL: CSN ENCORE TOR LS
Je veux de vous un long baiser.
Avant que l'hiver ne m'étreigne,
LAPS PTE NC SE ETS DES ETS ETES
CAPOTE
Sortez-moi donc de cette impasse
Car ron sex-appeal ! Lui s'éffondre. Neige blanche autour de mes tempes
Corame des branches de lies Je ne bougerai pas, je camper Presse 'attente dans l'au-delè. Je partirai le cœur paisible Mais ou irais-ÿe bien sans vous?
LETTRES UE CS Je vous aime. ef toi fu t'en fous.
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J' n'ai rien d'mandé… Avez-vous lu une missive Ou une page manuscrite, A la teneur bien explicite?
Enfin une liste de choses ; . .
J'avais au pied de mon sapin Pour le vingt cinql Magi it,
PCI D RE PQ Bottes, pantoufles et escarpins, Pour les grands et pour les petits. _— :
J'avais laissé la F'nêtre ouverte, J'nai rien d'mandé, je n'ai rien eu
pourtant j'éspérais un peu plus!
Pomreernnet Et voilà une année nouvelle Mais cette nuit-là fut déserte.
Parfois on espère quand même
Que le père Noël nous aime,
Mais trop occupé je suppose.
Mais à qui dois-je m'adresser? oran) J'nai rien d'mandé, je n'ai rien eu,
Quelles divinités cruelles Pourtant j'éspérais un peu plus! Pourraient saccager mon année?
Je demande un peu de bonheur,
Aux épinards mettre du beurre Santé pourrait être la clause... Enfin tout ça c'est peu de chosel
J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu
Cette année je veux un peu plus!
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DAS ETS IN EE Seule une jolie fille peut m'allumer.
On doit me manipuler avec douceur Ne jamais me mettre en contact avec :
-La vaisselle
-La lessive
-Le ménage -La cuisine...
On fonction repos, entreposez moi sur le canapé du salon, devant la télé.
J'ai besoin d'une alimentation de qualité
ne jamais me bousculer, me contrarier 4
ou me démonter sinon la garantie ne couvre plus ce de technologie ! Ne me parle jamais des choses qui me fâchent
BEST ET EERERS TN EIONUEETTUER
SERRE TEST ee NES TETE CRT eo 10
Quand tu me Contraries, j'oublierais père et mère. EvVite de me dire que ma mère est parfaite,
Que mon père bien sûr ne la mérite pas,
LIRE UT RTC RTE Et ton anniversaire, insiste et tu Verras! Me dire que j'ai grossi que mes rides sont fraîches,
Veux-tu te retrouver dans le salon ce soir? HE UC Mau eue CES Tu “pèles” toujours le fruit dès qu'on est dans le noir! Je sais, je parle haut j'ai une voix qui porte, Et en parlant de porte tu risques de la prendre,
Me dire que j'ai la fesse triste Comme un Cloporte,
Tu vas gagner la Corde celle qui Va te pendre. Laisse mes illusions aux sommets de mes rêves,
Il y à si longtemps que le désir s'éteint, N'être pas un cadeau mais aVoir eu la fève! Je suis reine des C. ai trouvé mon desti
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Derrière un lourd rideau
Des mots de tous les jours
CCE ET TT ut Ut
Dorment depuis toujours.
ls attendent une oreille
Qui leur ferait écho!
Ces petits noms charmants
Çes tas de « roudeudous »
(CRAFT TOUT TS
(CRETE ENT TT
LC COTON Era
MOTO EU RE UT
OR OT ELA
ÉRIC SECTE Out
Et qui, par habitude
Disent n'importe quand
Souvent n'importe quoi.
Moi j'aime celui-ci ! Chéri,
Chéri. Cest un seurire,
On billet loterie,
(CCE TES
Récompense ou vétille.
Chéri, C'est un délice
Gourmande friandise
Un carambar paresse fondant sous la tendresse,
(est l'amour en vadrouille.…
Chéri si C'était toi, ETC CINE UE de le dirais avec Des baisers dans la voix.
SET SE TEL ES
Des soupers aux chandelles
Pour des soirs de éalas, Et aussi pourquoi pas:
LEE TOR UC
Des minous minaudants
Des reudoudeus” en peine
LOS CTICT ONE EONEUTS Des canards à l'orange Des poussins sans poulet
DERTERECES Qui se voudraient aimants.
CSC ETES)
ÉD CROSS Gh miracle d'un temps
Quand je parlais mour”. CLBF
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ET ETS ER CEE I
Je remets aujourd'hui ma tenue de fonction,
CORTE EN EIRE ET)
CIEL TE ET RICE GEAR
Durant de nombreux mois, j'ai couru chez Casto
ETAT) A CALE A ETES EEE
RAR ENT EE TT TT ERTTET (Ne Eee 110
COUT AO CAES 9712
Ne CE CAT ER CURE AT EU TEL ES
NET CC TE AO IC AAC UT I
D'ailleurs j'ai un surnom:- Bricolo-Bricolette
Car souvent, voyez-vous je change de casquette …
J'ai les mains dans la colle et la fibre de verre. Je grimpe les barreaux, les descends, j'ai des ailes... RAT CNRC SCC AT ES) Mon inspiration est au bas de l'échelle... Si j'aime bricoler, je ne suis pas experte.
Quelques bases solides qu'un père m'inculquêt
S'il y a des travaux, je suis loin d'être inerte Vous avez la primeur de mon méa culpa... J'ai laissé les amours au fond de l'encrier,
Les montagnes, la mer, le vent et les nuées
J'ai les pieds dans la vie et s'il me faut rêver Rte ete CET TE Re Ne CLR CLBF
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( ? Ua:
La Le nent files JL enfuil, de seplemhe Ee
Ur léger courant d'ain pénètre nee
SE cubes mreub de a cures ae one dus
D
Dons Le qé dévnté, Le mia ande ne ponche,
Lois è
eee
Le cel emquponné de quiaille tunmune,
Le las sun Pagan que Ds naques sonfuiont,
Aa Ua mar Ranslante élu 0 fusnsunes Lun la plage glacée où tombe un cel de must
automne ment pas mot ko qui pure ce, de dis Belle saison comme Loutes Les aulres
ns ete
Nue andre dans non paf perd de na lonhomie
Le Longs & names na mmilance constante :
Kou qued, du sdilaine fanonk, comylaisante =
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COUR MATINALE mêlent à l'odeur du matin
Entre café et confiture
Quelques traces d'une écriturel À croquer avec du bon pain. Encore un nuage de lei !
Êf sous fon peignoir enfrouvert
Mes nofs prennent un drôle d'air,
S''envolent en fumée de café.
Me main glisse sur le cahier,
Fraise des bois, doigts confitures
Couleur de miel quelle vertu
Je rêve peau ef encrier
Mon appétit de vous s'aiguise
Je reprendrai bien volontiers
Deux ou trois vers au déjeuner Anuse-bouches, friandises. Sucrette ou sucre mon amour ?
Un seul, hoche montêted fête,
Êtmes phrases softes s'entêtent À vouloir lui faire le cour. € €
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Trot pages endroit
Deux phrases detravers la douce grand-mère
Tutos écris
es rés de ads. DEV Onde rie te
CERCLE CRETE LE
DO ET uen T ie ere Le ee) Afin de tricoter telle une vieille fille. Entre deux point de riz, torsades CPE
Ma tête se souvient avoir eu de l'esprit;
En recherche de mots un peu pour m'amuser Je ne trouvais que maux détricotant [EXC Mon cerveau bourdonnait justifiant l'anarchie
DÉSERT STI UE 11e
Car après de longs moiïs, des carnets je remplis (ETC ES CURE TES ONTS ENCTCT TS UD TENTE TETE Ou fee E EE RATE ZE 1
M'offrit des mots nouveaux sublimant mon ŒxteS
ONE elec ice tt PNR ETC Ita E Tel TS CRE CE CR AE Tes DE DATE LEE ravie dans le jeu de l'amour
STE AE TIC ES EEE CE CET ETS
Pt ect) Mr IT Ts Je remisais mes vers le temps du bel ouvrage. CARE EUT Elu ITS CE
Parfois un souvenir se glisse entre les mailles
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Cherchant dans mon silence accorte inspiration CLBF
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D las à es humeurs teintées de vert et bleue CORTE TETE TT TER DS OR I PTT EP ET E ZE
OPERA PPT 777
lus le vent de janvier qui souffle des ténèbres
@ fendillent les corps comme vigne endeuillée. Fine A frcidure hivernale inende nos collines ORPI PIE TT Faune plaie d'enfer coÿfée de fils d'or pâle.
den OPETE TP TPPTIE
EP I PPT IP ES a neige lentement met sa r6be de bal.
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TU PARLES TRISTEMENT AUX CAMPAGNES LOINTAINES,
COUVRE DE TA GELÉE LES TERRES DÉNUDÉES,
UN NUAGE GLACIAL VIENT LÉCHER LES FONTAINES FAIT GRELOTTER LES EAUX DES BASSINS ARGENTÉS. LE BROUILLARD, PRISONNIER DE LA FORÊT MURMURE,
L'ÉCORCE RACORNIE CRAQUÈLE, SE LAMENTE,
BLAFÂRDE, PARESSEUSE EN ÉTOLE DE BURE LA CANOPÉE FARDÉE À L'AUBE TRIOMPHANTE! ET LES MONTS ENDORMIS OÙ SE BLOTTIT L'HIVER,
DÉPOSANT SON MANTEAU IMMACULÉ D'AURORE,
PAISIBLE SÉPULTURE OÙ LE REGARD SE PERD
SUR SA PEAU LE ZÉPHYR INSIDIEUX, LE DÉFLORE. CES JOURS PÈSENT SOUVENT AU CŒUR DE NOTRE VIE, LE GESTE DEVIENT GOURD SOUS LA FROIDEUR DU TEMPS,
MALGRÈ QUELQUES RAYONS BLEUS DE MÉLANCOLIE
NOTRE ARMURE SE PLIE AUX MARGELLES DES ANS. CLBF
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DTA qui jusqu ÉTAT AUTO (O7 D(I4 viendra où sur ma bouche T postras léger, farouche, és
Sans que ferveur ne m'effarouche. DT PLTETAO visage ACT CETTE TE Te présage, Sur nos lèvres, PLUIE Brûle un nectar pour un LUTTE TA
Morte POCLET ÉTAT
Seul un baiser [USA PL EUR DAS TOURS TS OT Quand PAS de toi BAT m'étendre..
ai de velours bouche docile
Sensuellement se faufile 2 VAUT LU (y EL OO a \ BYE CETTE ETS
ec CR UT ON (tes LITE mais si bon VE d'amour léger CSA > ©
ITA TU À me CNT TU » class= »wp-image-224″ width= »696″ height= »1519″/></figure></div>
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L’hiver est souvent doux dans les maisons natales
Les ombres sont chez elle avec tous leurs secrets,
Elles accueillent le soir, timide, réservé, Alors que le frimas aux ailes de nymphales Vient lécher les vieux murs sans aucune pitié. Un bien pâle soleil perce le moindre ajour,
L'heure est à la froidure en manches de gelée, Quelques bûches dans l'âtre à la tombée du jour, Qu’importe alors le temps quand tout est verrouillé. Que les ombres s'amusent et danse le buffet I Existe un sentiment profond de nostalgie,
De passé englouti, de repos mérité, Passe devant les yeux un cortège d'oublis,
Une vague d’émois, une paix méditée. 11 naît un pieux silence, un monde de pensées. L'ombre s'est incrustée, au mur elle s'allonge Puis soudain disparaît quand la bûche s'enflamme,
Elle devient voilier, cordage qu'on élonge, Le soupir d'une nuit; le trait fin d'un calame. Elle devient conscience abstraite vie d'une âme. CLBF
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LEGENDE AU COIN PU FEU 1 est maintes légendes entre monts £t forêts
Vivant de brame gt d'ombre aa beau miliea de lacs.
De petits Êtres frêles malins cf dissipés z vais vous raconter, ce sont les Laminaks. Je saïs semear de blé tout comme mes ancêtres
C'est poar vous mes aïzux, ceux qai nous ont vas naître
€t qai nous racontfigz assis autour de l'être De terribles histoires de génies ct de pâtres. Contears de nos vallées traversant nos frontières
J'écoatais terrifié st si soavent pea fier
Des récits d'un aatre âge de ces êtres earicux Que le soleil lai même évitait de ces feux. On disait lzars orcilles pointaes comme ang lamg,
Pe lears pieds on ne voit que sabots oa bien palmes
Les femmes étaient belles ct filaient avec art Pa linge aussi blanc qag lear regard est noir. Les hommes racontfaient biens des choses affreuses
Que des ombres sournoises sg glissaient silencicuses
Emportant les enfants dans des grottes si noires Que les plas courageux n'osaient q aller voir. Je me souviens c'est vrai de toutes ces légendes
€t encore aajoard'hai certains m'zn redemande
Je vous raconterai peat être bien demain, L'histoire des laminek cf da très vieux moalin…. CLEF
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m'assoir sur le vieux mur L'écho des solitudes vient peupler mes regrets.
C'est là que par temps gris je viens revoir l'azur Celui des jeux d'enfants de mes jeunes années C'est au milieu des bois sans doute par soucis
Que grand'père et grand'mère sans argent ô combien
Savaient pouvoir cacher leur misérable vie Car l'on manquait de tout sachant manquer de rien... La terre les tenait en grande affliction
Donnant ce qu'elle pouvait sans être regardante,
Loin dêtre des terriens, forts de leur distraction, Poules, gentils lapins avaient vie trépidente.… Chaque vacance offrait la fraiche odeur de crème
De maïs égrenés et de café au lait,
Nous allions dès six ans mon frère et moi-même Le carnet noir en mains voir le vieil épicier… Mais le soir sous la lampe près du poêle rougi,
La richesse mettait ses habits du dimanche.
Elle avait un doux nom, anodin aujourd'hui, Sur la table trônait l'Amour en avalanche CLBF
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J'habitais [a maison tout au bout de l'allée ‘Une échoppe sans vie baignée d'obscurité,
Les murs se lamentaient d'être aussi peu blanchis Les tuiles s'envolaient au premier vent maudit. Ælle n'avait sur son dos qu'une vieille toiture
Qui lui rongeait la peau par les temps de froidure,
Cette porte maudite grinçait par tous Les temps £es charnières fiurlaient au moindre coup de vent Sa cheminée bossue toussotait à se fendre,
Les courants emportaient ses volutes de cendres
On l'entendait gémir quand sous des cieux cléments £lle s'enveloppait des rides du présent. £a neige lui pesait comme un manteau de laine
A lorée des grands pins cachant souvent ses peines. Brisée par Les saisons tout lui était douleur. Ft soudain le soleil lhabillait de rayons
£a coiffait de mésanges et de ses oisillons L'été la coloriait d'agréables couleurs. CLBF
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LIT N 7
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BE ROI DE Le chien le savez-vous, est le maître des lieux
Les bêtes n'aiment pas cet animal morose,
Zélé, un brin servile, avec l'enfant il cause
Obéit 3 la voix et 3 l'œil, c'est curieux! Il ne recherche pas dans les près l'herbe fraîche,
Ni la paille craquante encore moins du fourrage
Jamais on ne le voit attele 3 l'ouvrage Avec son compagnon le chat, il est de mèche. Les vaches s'en méfient quand prés de l'abreuvoir
Quelques unes s'attardent à l'heure de la traite,
La menace est sérieuse, il attend et il guette, Dës qu'un coup de sifflet l'envoi à son devoir. 1l à pour lui tout seul, une maison de bois, Se promène à loisir à toute heure du jour 1 porte lui est ouverte, il mendie de l'amour
Et couche devant l’âtre, sous la table parfois ! Aucun de nous ne l'aime, car ici l'on se doit
De servir, de mourir, d’être utile sans cesse,
Les bœufs, les chèvres même la vieille ânesse
Resteront des sujets alors que lui, est Roi. CTP
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LL » cg a” a
Hg mg retirez pas toutgs mgs espérances Hg laissez pas mes vœux courir sur lgs chemins,
Prêtez-moi sgulgment ang oreille d’enfaneg
L'asilg dg eg temps a des parfums divins. La soureg dg egs jours eoulg gneorg dans mgs vgings
J'aimg à mg voir courir après les papillons, L'école a ses galoches, pêlering de laing, Mais ng vous sauvgz pas |! J'entends tous vos prénoms! CETTE EEE ANNE ET tOr Dre T2) Jambes nues, rires fous, qu’ils soignt fillzs ou garçons,
Un si léger sourirg au eoin d£g lèvres sages, Lg vertige revient avge les émotions. Ginsi qu’un voyageur j’aimg egs gseapadgs DTA ARTE tee IP te reel (iTe)e RME TTIT Acte
Dans lg Wagon d'été je revois gn cascades Mes amours dg jeungsse, le mystère des pleurs Je peux courir ainsi,nal besoin de péage
Je m'assois un instant au bord d’ang « dizaing »
H'étant pas loin dg eroirg à eg très vigil adagg,
“Regarder l'avenir fait bzaueoup plus dg peine’ CLBF
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Trot pages endroit
Deux phrases detravers la douce grand-mère
Tutos écris
es rés de ads. DEV Onde rie te
CERCLE CRETE LE
DO ET uen T ie ere Le ee) Afin de tricoter telle une vieille fille. Entre deux point de riz, torsades CPE
Ma tête se souvient avoir eu de l'esprit;
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Qui je suis : Christiane , allant allègrement vers mes 75 automnes. Maman de
ÉCOLE REMOTE EC CET CUS 000000000000000 J'avais quitté mes Pyrénées pour vivre ailleurs, dans un autre monde, une autre
CMOS EEE EEE CUT PRET ET ENTREE OEEMENES
d'odeurs, de racines. J'ai alors remonté le temps avec mon arbre aux souvenirs. De retour chez moi au Pays, je n'ai plus eu besoin de mon arbre, jusqu'à cette année
2008 où un grand vent venu de  Je ne sais où me fit prendre le chemin de la poésie. BEA CA TE EL CE EC TO EU EU CET CCE CU AU
Pourquoi! Rostand, Molière ne sont pas étrangers à cette inclination:  Les souvenirs sont des pétales que l'on arrache délicatement afin d'en ressentir à nouveau le
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CSulle de pensées. OA CL AT TE ET 77
CT ET ALL EL A 2
Œn informel instants, fantasmatiquement
CAR RTE LE AU Ras
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(OZAP 7 CCE 0772
Carrondirai ces formes à devenir maflresse
ETAT ELU CRE AL CE 01
Quand, méme avec tendresse, avec le cœur ami
D'amour cnvéloppé, les contours s illuminent,
OT AT PE 0/1 70774
CPR TR RC 007
CET CE RTL TE CT ET CA
à ou plus rien neiste que linfini émoi
Pient à se révéler comme rose à Ronsard
essentielle présence qui me fait crofre on toi
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Cÿe sculple lon désir de belle courtisanc,
“Rour que tu te balances érotique catin
CETTE LATE 7/7 Let 07772
CLR TR 7770
CT CRE RTE 1777764
(e77202777780070070020 707 00 7e OL D ITR TELE 77 à CLBF
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Vous ai-je dit monsieur combien vous me flattez
Et combien à mes yeux vous avez d'importance,
Par vos fleurs si jolies vous savez me charmer, Car vous comblez mes vœux de votre bienveillance. Vous ai-je dit monsieur, puis-je encor l'avouer
Que sans votre présence, chassant mon indolence
Dans d'infinies tristesses je me serais noyée. Votre amitié est chère à ma convalescence. Vous dirais-je encore et ce malgré les ans, Les miens assurément! Vous; êtes de jeunesse, 
ne = :
Je vous trouve très beau, cela dit sans accent, C'est qu'il me faut garder un ton de pertinence. Moi qui aime les mots... vous me savez bavarde,
J'écris pour oublier ou pour me souvenir,
Mais vous-même, ami, à cette cabocharde Que diriez-vous Monsieur sans la faire rougir ? Veuillez donc pardonner cet écart de langage
Je m'ennuyÿais un peu à n'écrire plus rien,
Et j'ai trouvé prétexte à quelques bavardages Encore me direz-vous ! Pourtant, je me contiens! Des images oubliées viennent et me chatouillent
J'ai le verbe inventif, parfois un peu grivois,
Si vous me pardonnez cette triste bafouille Me mettrais à vos pieds dès la prochaine fois CLBF
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2 RUN TAN 9 mènera d'un point LEUR o ET TT NAN Ra FARTOCE J'aime avoir le coeur aussi gai qu'un pinson,
Mais vous me connaissez, je suis un peu timide,
Certes vous sifflotez tout près de ma maison Vous me semblez fervent, pourquoi pas intrépide. Pourriez-vous s'il vous plaît pimenter votre prose
Mettre dans mon cerveau des idées de bonñeur,
De celui qui nous tient quand … -vous savez, on ose Quand il fait bon aimer loin des yeux et du coeur... Je me meurs de langueur et suis là comme un phare
Au milieu de l'amer aux remous cornéliens
Je n'éclaire plus rien j'avoue que j'en ai marre De chercher ce bouton qui n'allume plus rien... Mettez un peu de vous, bousculez ma personne
Secouez-moi Monsieur, renversez ma pudeur
Soulevez mes jupons que [a cloche résonne Que derrière l'église vous redoubliez d'ardeur.…. Je lance un s.0.s en de vagues soupirs Y aurait-il un poète au tangage imprudent
Qui pourrait une fois me parler de désirs
D'être muse ou statue ça va bien un moment CLBF
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A Ng Pas Pire : Je T'aimge.… A Les peines dg nos cogurs sg ressemblent, sont mêmes.
Dès que l'amour s'en mêle et ne peut s'exprimer.
Il gst un mot précigux que l'on tait, eg : Je t'aime Qui oublie dg franchir un eogur trop esseulé. L'âme 8£ trouble alors, maussadeg, vagabonde
Plus aueung chalçur ng sg mêle à la paix
Kotrg barque s'emplit de tristesse féconde Gogur gt âmg 8£ font compliegs des années. Que faire alors, qug dire au soir crépuseulairg
4 son appel latent de désirs insolites. Quand la ehalgur d'un corps sg veut être ang terre, PARU R UE UT RE RU LU RUE UN UE EURE EU LU EEE U EEE RU LU RE RUN UE RUN U UE EU L UE EU UNE ELU RUE URL U UNE AU U RER EU UN EE EEE Que faire d'an seerçt que la raison invite. PASSAT EN NU NAN IUT ANT) LIT A
Ung ombre de tendresse au bord dg la mémoire
Je t'aime est ecttg portg ouverte a l'insomnig GC£ seul mot que l'on tait sgrait-il dérisoire ? C'est un moregau d'amour ung part de soi-même
Un bijou sur les lèvres, un caméeg sur lg cogur,
C'est un mot, un parfum ang fleur que l'on sème Cest an rai de lumière, an ragon de bonheur. (SEL
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toute ! (6 sont Elles … 5 arbres dans leur flanc ont des frissons de sève,
L'hiver va sêrement déserter Les Prafries.
NW restera pourtant ce Dlanc de fébrie, Dur Le névé de glace, fout appelle à la trêve. L fond des jours se perd au creuset des ravines. D l'aube se déploie sous un Fleu larmoyant, Ce que L Lemps n Est (pas un bout de & Prnlemps
Que Pan voudrait Voir, que : parfois L'on devine... Cu est balbafiements, fait de si” ,de peut Ere” !
<, pelisse da froid 5 en vient d'un ton plaintit
Etendre son manteau gui retiendra apéit L moindre 74yon d'or que L'on croyait renaifre. Fasle gémissement, L vent “gonfle Les nues. < smbonpoñnt est soudain aussl gris que L'ennur.
amer a des moutons Hottants dans Le mépris D un océan fougueux, sur La grève, abattus. Œioukz La dameur gui vient de l'horizon
Cétun vol perda, Loucttant L'atr de leurs afles,
Dans d'immenses rubans, Écoute, sont elles ! 5 ofes au cou tendu sont au-dessus des monts Cu argé de frofdure, éfernuant de brume,
Cassant sur Les vallons sa brumañlle pague,
Dans sa nuit solitaire en immense bivouac Cu couvert de gelée, L'btver cache son rhume. CLBF
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Chut l Silence, l'heure fraiche inonde le cid pâle. Magicien crépuscule découvrant de son voile
La un verger frileux, au loin Le noir cand.. Les arbres 5e sduent étirant leurs ramures
Les bruits du quotidien reviennent peu. à peu Les nues cachent encore quelques recoins obscurs Sur l'herbe et sur les bois le vent laisse sa trace,
L'oissau bien matind le sit à l'areuglette, Vole aprés un ragon qui transperce l'espace Puis les murs 58 réveillent recouverts de froidure,
Le toit rosé de pluie perle sur la gouttiére, Le coq chante, il est l'heurel Réveillons la naturel La porte qui s'entrouvre avde une lueur
Aube en catimini qui S'inflltre secréte, €t la nuit se retire sur la pointe des heures. Et la vie recommence, inonde les matins, Dépose son sourire sur Le monde des ombres, Que le, jour est joli quand s'ouvre son destin.
CIBE
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ŒENVOL DE JOUR... Coiffée de vents de mer, la colline soupire,
DO LOO EE ET A TAI ETT
L'herbe encore engourdie par le calme infini
Respire l'océan et ses flots en délire. PR AT EN ET UT TE DENT DTA
Sensibles au ressac, Les falaises s'irritent.
Œn mouvante blancheur les vagues si cruelles Brisent les feuillantines de ses strates ophites
ÉTAIT 17 OR PTT A LL TL O2 1 DE
CORTE ET TOO ET TT TA l
er OUR OCTO EE TA T2 
Mon âme en son néant se fige me extase, ET CO LACET ETES OA ETC TT 02 Dr LAS ATARI A
TL OT LOUE CE TU Lazur,
DIT ORNE TT OR ET TA
DOUTER ON TE AL CE 212 Il laisse dans l'écrit une empreinte tenace …
CLBF
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Pour toi, qui comme nous, aime à courir les champs
Afin d'y voir l'automne dérouler ses couleurs,
Le jour est incertain, vois l'orage méchant Laver l'air de l'été en son contentement. Nous savions en partant dans l'aurore indécise
Que le regard du ciel, troublé de grands tourments,
Rafraichirait le jour de quelques vocalises Faisant de la journée un compromis charmant. Il a plu tout le jour ! Le ciel s'est mis en tête
D'épousseter les toits, de laver les ruelles,
De faire au potager sa plus grande toilette. En cette fin d'été, la chaleur était telle. Roussis par le soleil, fougères et feuillus
Chantent à l'unisson sous l'ondée mirifique.
La terre, elle, titube, ivresse bien connue, Avalant par lampées cette boisson magique. Tombe des pans de pluie en grande cascatelle
Les éclairs, le tonnerre ainsi que des grêlons
Petits œufs de pigeons aussi blancs que cruels Recouvrent la vallée jusqu'à plus d'horizon. L'air sent le champignon, la châtaigne dorée.
La clairière aux grands pins à un parfum d'amande,
Et dans l'humus moelleux, grouille ainsi chatouillé Un monde silencieux où naissent des légendes.
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D ‘impossibles chemins. Cest un sentier creux dans la vallée étroite
Qui ne sait où il va, à qauche ou bien à droite, Qu'importe! En le suivant j'ai trouvé des trésors, Presque en apesanteur, des perles d'eau astrales..
(omme l'aigle elle tend sa wdlure guetteuse,
Dentelée de vapeur, inégalte, brodeuse.
Dessous [a fougeraie ses branches en vige Offrent un lieu de paix aux toisons des brebis... D 'impossibles chemins, celui-ci est unique
P 4
ST s'accroche au versant, sy suspend, lunatique (ourant comme un éclair pour tracer sa colère, (orseté de gencts ct d épaisse bruyère.
Ses me à La caresse du ciel a ouvert la nature, Fougère Aigle dés pyrènées Respire promeneur, écoute [a verdure,
Œntends, elle grésille animée de frissons, \ Trd son gel de froidure aux tous feunes rayons... CLBF
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RC EE TC
COL Malicieusement sans-un:brüit- ROC CUIR
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1 Une terre dormeuse... Quand les fleurs da printemps ont recouvert la plaine.
Que le fleuve s’est tu en ses rives sereines. Il flotte ang lourdgar d’ingxprimables choses Comme un parfum salé qug les embrans déposent. Comme ang mer de sable tremblent les blés jaunis.
Sur ma terre natalg dans les champs infinis, Et le eigl sg dévoile au-dessus des labours, Dans la lentg tiédgur d’an soir de dernier jour. Cest ang terre grasse, belle comme ans fille, En courbes gt rondeurs aux senteurs de myrtilles,
Comme an gssaim d’abgillgs dans ang haie de mûres
Les blonds épis eraqugllent étouffants de murmares. €llg gst ang dormeusg au plus haut dg l'été,
Captivant lg soleil elle demgure en apnée
Aspire les rayons eommg la paille l'eau
Dans lg pli de sillons gllg rêve. e’est beau !
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Des matins embaumés ” .: Les voici revenues nos journées embaumées
Sous un ciel de crépon elles hésitent, fripées Imbibées de nuages trop souvent délavés, FE
Este Te Propres comme un sou neuf aux matins, éveillées. Au travers de la baie le vert de nos montagnes Vient heurter la mémoire où bourdonne l’enfance, Un souffle blanc et or colore la campagne, Ah LL
LES Boutons d'or, marguerites, improvisent une danse
» » Le spectacle est puissant, sage d'un grand silence
PRE Si Fotos L’aube s’est préparée à tant de renouveau, Cela fera un mois que les nues en vacances Ont élu domicile inondant nos coteaux L’astre se met à nu, Mai” rappelle ses troupes A2 LL
CAE Fini l’hibernation ! Etirez vos rayons !
Caressez la forêt, cicatrisez les coupes, L’hiver a mis du tempsil quitte la région. LRO Nous laisserons nos rêves couchés dans la luzerne Lorsque vos rais brûlants voudront bien caresser Nos collines en fleurs et nos bêtes de ferme Soleil relève-toi ! Laïsse-toi embraser…. LUE à
CT CLBF
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De vous je me souviens et mes yeux sont fiumides,
‘Vous semiez à tous vents d'un geste si fimpide,
Les semences volaient de votre main géante,
Comme des fiirondelles essuyant [a tourmente. Notre terre souffrait comme souffrait le monde,
Ridée par ces malheurs à des lieues à {a ronde,
Vous imploriez le ciel supplant une ondée
Sous le soleil vos yeux s'emplissaient de rosée. J'aimais cette maison et ce coin de misère, Car de mon horizon, peu avant [a barrière, Je voyais votre champ épouser les nuages, À dix ans les enfants croient toujours aux mirages. Fallait-il que son cœur fût envañi de ronce,
Rongé par [a douleur et les coups de semonces,
Ilquitta sa maison sous une pluie timide, De vous je me souviens et mes yeux sont fumides. C£LBF
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Ce EE dit...
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Sous Le soleil brûlant se dresse la demeure,
Tout au bout des chemins recouverts de gravier,
Les massifs de rosiers d'insolentes couleurs
Embaument l'air léger en ce doux mois de mai. L'orangerie en fleurs, pétales en beauté,
À l'odeur entêtante de sucre orangeade,
Laisse dans le jardin une douce traînée,
Diffusant leur parfum jusque sur l'esplanade. Si vous fermez les yeux à la tombée du jour,
Alors que les étoiles s'allument une à une,
Derrière les massifs d'hortensias bleus de flour
COUT NT RTE LE CURE RIT A Un souffle nous effleure tel un léger discours,
DOS ARE LS 1 NA ITA
Au balcon deserté par l'oubli qui condamne
La plus belle des fleurs au silence. Roxane. Si vous sentez soudain le frisson d'une étoile,
Un léger courant d'air, une ombre qui se voile,
C'est le bruissement d'ailes d'un baiser éternel
CIE ECTS 7 IA CLBF
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ALORS MOI, JE M'EVADE... Je rêve bien souvent d'avoir une maison
LITERIE EE TE TA UTC Tr
Où deux rails en goguette envahis de chardons,
Iraient traîner ailleurs entre deux horizons. Je rêve de sillons qui n'auraient pas de fin.
EEE ETES CITES CEST ICS LATE TRE TETE NOTE ETC CRETE
Dessinant un tracé d'étourneaux en cavale.
J'aurais pour seule horloge un coin de ciel errant,
Me disant tout du temps et des heures précises.
Un tintement de cloche me parlerait du vent,
Les aiguilles de pins, de tempête ou de bise. Je verrais ma maison chatouillée de buissons
Des collines autour comme une mer tranquille
ACC ETES CEE TORRENT TT Ne TELLE
Peut être pour ce vert qui en ferait une île ? SCA TETE et CP TT a AC TEL)
D'admirer sur l'étang les cols verts en balade, Aigrettes et passereaux, les oiseaux des moissons
J'aimerais voir cela, alors moi je m'évade …
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Je me souviens encor’ non sans quelques souffrances,
D'avoir bien peu appris des choses du français, Je connais ma faiblesse et en fais pénitence. Une tante pourvue bourgeoise de surcroît,
BRU OT TRES OR TETE CT A ET M'offrant en fin d'année un livre à chaque fois. CRE AT TT LES
Me montrant des chemins où je vagabondais CIE OUT CRUE AT ENT CET C2 BUS COUNTER ETC OISE LT CE
Cherchant dans les feuillets où je savais glissé, Un billet qui avait une bien belle image. Cinquante francs tout neuf, lisse comme la peau
Polychrome de ciel de mauve de lavande, Le livre était alors le plus beau des cadeaux. L'enfance avait ce goût amer de plaies de bosses,
De voyages enfermés derrière Les volets Qu'un fin rai de lumière valait plus que négoce... Je devenais Gretel au fil de ma lecture
Abandonnant chaussons pour des patins d'argent, J'entrais dans l'univers des grandes aventures... (EE
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Sous un tapis de mousse et vilaines broussailles
On la devine encore l3 maison des aïeux.
LCR A CAO TEL Are le Est envahi d'ortie, de lierre, de chiendent.
VE der CL nIl en E) gravas,
OPEL ER ET CRE 72
RTS ECTS 72 V1 rappelle l'odeur des lessives sous l'arbre. A force de courber ses branches ET TE Ce complice des ans perd encor’ quelques feuilles, Qui par enchantement dans la gueule du puits TROT CRETE OR UE EE URI T1
D'un maret éventré, couvert de salissures.
AIR A TETE PEL 1 PET EE EPICERIE OT S TEL ACTE qui ont une Pétae)r)
UT RAR EI le coeur d'une terre,
De retenir en elle malgré tant d'abandon
Ceux que l'on à aimé et CUITE, 1e lumière. CES
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AE TETE CO OUEST A UT 4 LT TA Lg chemin gnsablé raidg à vous faire mourir,
Pans l'enchevêtrement de ronegs gt de liangs J£ suivais mon gnfaneg, étonnés dg grandir. Quand Ig cœur est pareil à l’oisillon peu sage
Isa mémoirg revêt de euriguses tenues
Un petit short d'été an tout léger eorsagel Plas d'ornigre a braver , dg raeings ehenugs GARE UT A Are ANT STE TNITAUT TE
€t soudain on gntend la roug du puits grineer,
€t l'on marehg pigds nus tout en eugillant des baigs. €t la erèmg du lait sur Îg pain qu'on savourg.. Il est des ligux d'amour, orphelins de jeunesse ,
De vigilles pigrres noires éeraségs dg doulgurs,
Pans Ig pesant sileneg la ruing sg redresse, €t l’on eour jambg nugs avge lg rirg au eogur. CES
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MIROUMEE PETIT CHAT Je suis un petit chat Je m'appelle Mirou, J'ai des poils angoras Je regarde partout. J'ai deux grands yeux perçants
Deux perles d'un gris bleu,
J'ai de petites dents Mais je n'ai pas de queue.
Mon très grand ami Qui se nomme Andoni BOT L CALE TE EL Alors je suis heureux
Puisque dans la maison Ily a de la place pour deux... CLBF
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LE GRENIER Elle s'est installée à l'étage au grenier, La souris vit ici au milieu des objets, Quelques bribes de mots lui parviennent confus,
Le rire des enfants courant dans [a maison Les aboiements du chien traversent Les cloisons. Parfois hors de son trou, elle passe la tête,
Les sens en éveil car à [a moindre alerte Elle quitte [a pièce. Vous ne [a verrez plus!
Elle file à langlaise au moindre bruit de pas, Se souvenant qu'un jour elle eut affaire au chat. Les combles ont un destin qui souvent nous ravit,
Bric à brac poussiéreux racontant bien des vies,
Chaque génération vient déposer son dû; Là un berceau rouillé, un cheval à bascule, Bibelots sans valeur parfois bien ridicules. Quand le vent souffle fort, secouant [a lucarne
Ils'infiltre, sournois, glacial et il s'acñarne,
Trainant derrière lui la grisaille des nues.
Tout tremble, tout frémit, l'arbre gifle Le toit, Jaillit alors [a pluie comme à chaque fois Les nuages pesants crachñent leur désespoir Sous un rideau sinistre une eau d'épaisse moire
Tourmente les chemins embourbant la charrue.
£a maison fait silence quand le tonnerre gronde. Et là-haut plus un bruit durant quelques secondes. £a souris s'est enfuie. ça je vous l'avais dit! C.LBF
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C’est par un beau matin de mai,
A laurore naissante, Que de son bec tendre strié Il vient se faire entendre. Plongée dans un demi-sommeil
Mon rêve se rebelle, Derrière la baie qui s'éveille
Danse une tourterelle. L'ingénue sans aucune gêne Sur Le toit se pavane, Mais j'aperçois Le chat « Gégène »
‘Un dur à cuire, un fan. Rrrou… Rrrou chante Le bel oiseau
Lissant ces douces ailes, Que fait ici ce gros ballot ? Fuis donc ! Fuis donc ma belle. L'affreux aiguise ses babines
Tapi comme un lézard,
Son œil sournois tel une épine
FEgratigne mon regard. (e 17
KL 2
F7 Se C2 Sonne la corne du laitier,
SRE Tiens ! L'heure de l'école 1 J'ai 10 ans, « Gégène » est fâché! LA CORNE DU LAITIER Le gel oseau s'envole
CLBF
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ul Se AÉRRENEE
À Ex Olone aux Rpullrur S
À courir dans Les champs, jambes nues sans sandales, Serrant fort dans nos mains ume prison de tulle, Nous chassions en riant des papillons xélés. Le vent d'un souffle doux faisait coucher Les trembles, Par cette après midi de sieste retenue. Les parents allongés sommeillaient sous un chêne, Le regard éffacé sous Les chapeaux de paille, Surveillant leur couvée. Sautillant ça et Là, Les traces de nos pas gravés dans l'herbe folle Où L'on jetait souvent nos corps fourbus ct Las, Dans ce tapis moelleux d'odeurs et de verdure. Alors tenant très haut nos filets inutiles, Comme de grands oiseaux nous Les balangions, Traçgant dans Lair sù lourd La queue d'une comète, Comme danse voilée dans le bleu de Uété CLBF
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UN REGARD DE DIX ANS ATEN CEE Eee)
Sans vraiment le vouloir elle traînait les pieds,
Le cartable était lourd sur ses frêles épaules, Elle enviait les oiseaux qui prenaient leur envol. Toujours sur le qui-vive, essayant de bien faire,
Mais dans chaque devoir, survivait Une cour,
De peurs au creux du ventre, de tensions arbitraires De regards de dix ans appelant au secours. N'élevez-pas la Voix, ne faites aUCUn reproche,
OH MIO OUILEN
Quand vous haussez le ton ses fantômes chevauchent, CEE AE ENT ONE ENT ILE OEIL ET EL RATES
On vide, une absence, un trouble qui la gifle,
BETETE OIL TN ONE NE NET EEN ATEES SUOER EACUTE CE EES
Rebondi sur le poing des accords de grammaire
Quand désarticulée l'enfance apeurée Garde ce goût de plaie infligé par le père... CE
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Cÿe suis allée là-bas voir l'ancienne maison,
CŸa di férmer les yeux pour revivre l'enfance,
Has tout avait changé, jusqu à cet horison, Croublant désert de pierres aux mirages d'absences.
SSSESSSSESESSS En coup de vent du soir à pris tous les parfums, EC où j'avais vécu d'insouciantes VACANCES, 4 terre s étrançglait d'épineuz importuns, ec puits avait longtemps gagné l'indifférence.
SSSSSSSSSSSSSS Ge n est plus qu en révant que je revois encorc, Oc tenant par Lx main mes aieuz qui avancent, OGur les ruines d'un champ que leur marche ignore, Aus lôvres leur sourire ravonnc d'espérance.
SESSESSESEESES
4 nostalgie du cœur peut enfoncer ses griffés, O accrocher à ces joies qui troublent la pensée,
orsque les souvenirs s'animent, ébouriffent Ces cheveux vicillissants aux portes du passé
SSSSSSSSSSSSSS
Gn haut de la colline au milieu des grand bois Ce n irai plus grand-mère, les lauriers sont coupés !
CGrand père je voulais récntendre 1a voiz, Gachecache, un deux troisl Où étes-vous cachés? CLBF
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AISRARS À DR PE d AR.
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Un écran cinéma Vois mes douces collines tapissées de gelée, Etxéa” la maison berceau ou tout s'éveille, Mes montagnes pour qui mon regard s'émerveille,
Vous faites mon coeur tendre et mes larmes coulées. Vos veines de bitume flânent dans les villages, Les sous-bois cachotiers aux arbres si feuillus Effleurent la peau rude des vieux chênes bourrus, Se penchant pour mieux voir l'ombre de leurs feuillages. Sur le flanc des vallées quelques vaches ruminent,
Les rayons capricieux réchauffent les coquettes,
Au loin de blancs moutons, pétales paquerettes
Eclatent en bouquets quand notre oeil les devine. Un vent d'ailes a soufflé sur les cîmes là-bas,
La plaine se parfume d'une brise volage, Mes yeux gardent encore vos si belles images,
Mes Pyrénées se voilent d'un écran cinéma...
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La Rhune dresse son col entouré de nuages,
TN RAT AT EE TALR
YPO ET CDTI TON NE NTI PET ONNONTPEEES
Elle peint un décor sous de glacials frissons. LOAIONONIN TT EAN TT CAEN TAN
Laisse planer tes ailes d'un doux balancement,
Contourne les sommets des neiges du levant,
LOT ET MOT RO TE IT LA PDT PORTO TU BIRT ANT AL Ed LA A
TT TR AE AE TEA TIR
Sur les vallons frileux engourdis de paresse
L'onde d'un bruissement fige les moutons blancs. Frôle les vains soupirs des âmes solitaires,
Pousse le vent gonflé aux saveurs d'Atlantique,
PAPTPNTANOTIN PE EPA NTI ON TE TUT2
File droit vers le sud au-delà la frontière. PARENT RTS TNT TT EN ETS
Les palombes se glissent entre les Pyrénées,
PATRON MONT ET ENT OI ITS
PORTO TT ENT TT IT ER