> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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D'un ciel figé l'ennui ls nuages sévères
CPromènent leur noivceur sur le ville morose,
bu que sur ls toits et ls fenêtres closes
La Bruine dun avril, gère, puintanine,
RENE g engouffe dans les wues, un vent ébouriffé
Qui ne sait où aller par Chiver gui t pousse.
(Ge oceil hiver coin gui ne veut sen aller, (CPourbu, endolori, que le printemps repousse, C7 des éclaircies gui suvoiennené en douce. (Fimides, juste né, deux, toi rayons jols
CRévent d'une aventure en taveusant Le Éoù.
ar ls coteaux füteux, lagonie de grand froid
CPiôle une ultime fois ls arbres vabougiis. Le ciel cet émpatiené met la terre en émois Las partenes ont fleuri et le maison repre La saison de l'espoir rééerit sa chamon, L oiseau refait son nid, vois & jour ! Fes étre,
Et be bleu de ces vagues au lointain bougon
(Fait songer aux lengueurs dun éternel soupir. CLBF
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Cire Pueur g éveille… ml (Celui qui n'a point ou & printemps gracieux, Ce peut voi dans Ls cieux ses lots de noblesse.
(Ges instant de magie qui sofhent à nos yeux,
Louguil s’en vient fleurter, nous offrant ses promesses (Celle qui dun automne inquiet de met certaine
Dans un co1ps ennemi torturé de néant Ve voit que désespoir tout au bout de sa peine
Gublna tout L'iclas un sotiit flnbogant. Éoltat dune dévute où plus vien ne hanspire,
(Geli la ne saura ce que mourir veut dre. Des bus dans b silence affheté d'une nuit, Cv dans Couble dun monde où nul espoir quensie
Quand Uliver ocre une armée de pourguei ?
Verre / Vera mate ! Mere, ainsi nous sommes.
À muscler te peines sous l'assaut de combaé,
CH nest point de saisons où la folie des bommes.
Véent à briser W vie que Con donne icibas … ous ls pavat, enfouie, une lueur s éveille
Qmerceau de veudure a pointé; un bsurgeon.
Par son vente auvnde, lx où enfant sommeille,
Ce femme tenait d'une anière saison. … CLBF
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C'est un petit jardin sans grande prétention,
C'est un petit jardin sans rime ni raison.
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. Des arbres dissipés comme une cour d'école
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
Dès que le vent soulève les fragiles ramures, Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| CA ANT EEE CCE C0 RE TA ET A C7 7 Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. Et puis la véranda, caverne aux souvenirs CTP ART NICE ACER UICUCIR CAE TIC ON CRETE ETC CEE AT OT EENCCIEES CLBF
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Cours mg dit Ig vent,
Hg tg retourng pas, LÉ
Et je file légère, Je suis feuille d'automne. Tourng en rond dit la bise Le Kg t'arrête pas | Æ >k Et je tombe sans cesse
Ÿ Jesuis flocons d’hiver. =
fl Vole disent les fleurs €Etourdis lgs jardins
€xhalc tes parfums Ta gs si beau printemps rire solgil de feu Les grains sont éelatants W €t je fauchg les champs, Je suis si bel été… CLSE » class= »wp-image-2371″ width= »1057″ height= »781″/></figure>
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IL nous parfume de musique
Enivrant Les cœurs amoureux. NL est un Lit ie et de mousse
fpans Le petit bois ombrageux,
MLaisse tes ne aliscer € sc
{Mon corps devient vite oran Mon €:
Ecrire ce pas, Epouser un peu La ue ! Cours La plaine, cheveux au vent HR apporte-moi tous Les mystères,
M'écouterni encore Longtemps
MATous Les soupirs de notre terre. . Situ t'en viens briser tes ailes,
ie sine Le LE Lt bois,
r on ! Non ne d die rien, Laisse-mot. CLBF
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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nl jt CE22777777247722 El mo faut pour combler mes vœux,
CAy milieu de vertes prairies, V. À Dosañon, CAT
CET C7 Couver pour mon denier amour
LACET TLA 1202 777277272770
aime à goûter à cote enfance CAL TI 27777702 CLBF
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MOIS Janvier a grelotté sous un
Et déjà février se couvre
Le soleil a pointé quelques
Alors que mars approche a Ne te découvre point, hurl
Je suis ce solitaire, j'aime ji
Mais je sais bien que mai
Le soleil a sur lui des effe De juin j'attendais une
Œt puis le temps s'est mis à
Il revendique ainsi sous un D'être cet infernal qui fait Juillet s'est mis en tête d'e
Il a 6rûlé la peau, Les cham
Sous les étoiles d'or, Le ciel Vois sa voûte meurtrie tell C'est l'été sur les champs Les 6!
Août osé pleurer sûremen:
Il hoquette de pluie attiré p. Se sent désenchanté, “voilà qui File septembredoux ! Belle a
Des vagues de la mer à la -fraîc
Laisse octobrewvenir. Ne brus.
Lui, saura dévêtir la plus belle
Alors novembre sec comme un c
Allumera des feux ;Jamaisilne
Œt son double glacial son frère Décembre ;levingt-cinq,-je.vo
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CRE CRE LT ARE 7 Tordue comme le dos d'un vieil homme bourru, ER TE ET CE 077 Recherchant un soleil à chaque coin de rue.
(ERP ET PURE CT NRA
“Rétites PL LA ET LL ACT 1 2
bn parterre de fleurs posé là tel un chäle
OO LATE CI UT A 27/2 EUR A EEE ECC) ALL 1/2 ‘Rromène son rayon de lumière perléc, CL ETAT ET LE CE T0) Ce pourrais mendormir sur une herbe dorée.
CAT GC EL LAETITIA ELA T0 0 arbre veut se vétir et lon voit ses bourgeons
ET CRT CE EL NT CA 22777878 020072 2/77
Aus épaisse à l'ombre, RCA LE COLCA es ornières, sas plaies au marcheur solitaire,
@ui voit à lhorison silencieux at muet
Cÿotter L voile blanc d'une brume alaire CLBF
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Le potager a de la pluie
Accrochée au moindre CR
ENTER OS ET Que lCaurore mêle de rhume. La maison ouvre Ses paupières Claquements des volets de bois. Chacun sait que depuis hier
D LOT ET TU 2 ETATS TER 11710 TL Ian
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D'or et de pourpre sont les prés,
Sous les beaux jours ainsi parés
Ce chier printemps père des roses Chasse les nuages moroses. La fleur virginale s'entrouvre
Le matin de rosée recouvre
De larmes leurs jupes de nuit Én mille perles de soucis. Demeure 6 ma douce saison
D'amoureuse et tendre émotion,
Lorsoue l'abeille en mon calice Vient se gorger de mes délices. de ne sais par quelle folie
de suis la rose tant chérie,
Mon cher printemps père des roses Tes douces filles sont ecloses. CLBF
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ACCORDS PARSFAITS Aussi douce guhun vent léger Ÿ
= Le chant glisse sous la fenêtre Caresse le jardin d'été = Secache jusquà disparaitre
Tourne ef s/envole, prinfanier. €
La belle en un soupir se pême,
Dénude en pétales rosés
Lecœur rose tendre de Vême: Vip = Letemps s'est arrêté soudain
Suspenaun au bout de ses doigts; L'homme improvisé son chagrin:
Sous les trémotlos de sa vois: S GLEF 7/04 2011
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Au jardin de beauté
Qui les aura vu naître, Œlles s'ouvrent à leur maître
Dieu de la roseraie. Réverie matinale
Harem mélancolique,
De teintes musicales ‘Vos couleurs sont musique. Vous êtes symphonie
Œn gouttes de rosée,
Calices éffacés Aux sépales meurtries. Œn goutelettes d'aube Q Les larmes de votre coeur,
erlent vos jolies robes A la mort d'une soeur... C.LBF
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PRINTEMPS ET CHAMPAGNE... L'hiver suspend sa capeline
S ‘accroche aux névés des montagnes
Quand dans le ciel bleu s'acheminent Un air de fête et de champagne. Le printemps pose ses bagages à
Sur les collines et les sentiers
Best temps de faire le ménage, L'êne des arbres s'est inclinée. Quelques rayons sur les chemins Me brise coiffe les feuillus,
Je redresse le vieux sapin ÿ Courbé per le neige si drue. J'ei appelé les hirondelles J'ei réchauffe quelques silons Les jardins mettront leurs ombrelles,
Et toi ! Dis-moi quel est ton nom ? - ÊTE? £L.LBF
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Cessez done tous vos babillages Les gouttelettes ri gt dansent. €vgillant vos petits boutons. Sileneg chères prétentieuses,
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LE VOLEUR / La pluie bat la vitre et le toit
Le printemps se met en colère
L'hiver lui vole quelques bois
Avec le vent qui l'exaspère. Le ciel échancre ses nuages
Mais l'orage avec son aplomb
Hurle à la mort sur sa saison
Il tente un dernier passage. Décoiffées et les pieds dans l'eau
Les pensées lissent leurs pétales,
Les jonquilles en belles fatales
Redressent la tête vers le haut Passe ton chemin sans regrets Le temps glacial fit son office Tu n'as plus besoin d'artifice Nos champs de fleurs sont déjà prêts... CLBF
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Quées de pétales | Rêveuse sous le cerisier, | Elle retire son chapeau, 0 L'échancrure de son chemisier
Laisse paraître le blanc de sa peau. Sous sa capeline tressée M De légers flocons se posent, Ne dirait-on pas qu'il a neigé | Sous ce printemps d'apothéose. | Cette hivernale floraison
Exalte son cœur solitaire,
Sous des nuées d'après-saison
| Comme colombes en volière À Sans crainte de l'hiver coquin
Qui teinte ses mèches blanches,
Les pétales de ses chagrins
Ont la beauté d'une avalanche. CLBF
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La Saison des ratures.. Voici que je respire au plus chaud du jardin. Sous l' arbre endeuillé étirant sa coiffure,
L'hiver s'en va mourant en un linceul dédain, Les oiseaux du printemps lui siffle des injures... La pelouse a fleuri dans la fraîcheur de l'aube.
De frémissants boutons corsetés de rosée
Au jour verront s'ouvrir leurs minuscules robes Pâquerettes jolies, habillées pour l'été. Le soleil a souri ! Pas un éclat de rire,
Un clin d'oeil pour qui veut réchauffer ses vieux os.
Les bancs ont refleuri de têtes qui soupirent Voyant passer le temps paisible au fil de l'eau. Ferez-vous comme moi aux premiers vrais beaux jours ?
Marcher le nez au vent, découvrir la nature,
Reposer vos paupières sous un rayon charmant Ôter de vos regards la saison des ratures... Quand revient le printemps entrecoupé de plaintes
De brusques giboulées font s'enfuir les rayons, Sous un bon gros nuage ils vont cacher leur crainte,
Attendant tout penauds que tombent les grelons. CLBF
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Un mois frileux Le moë s'étire encore frileux, L Sous son ciel délavé de bleu, Ÿ
Rassurant les boutons de roses ‘
Par quelques rayons qu'il appose.
Avril sait bien garder sous cloche  Des giboulées dans sa caboche, Sous les feuilles en parapluie Un chant perlé s'enfuit du nid. Fine et plaintive tombe la pluie, Mais qu'a donc le temps aujourd'hui ?
Les fleurs des bois au parfum lyre Ne savent plus se faire cueillir ? La primevère fait sa toilette
Saviez-vous que dame violette
En ce beau moës aussi mignon
Fait la cour à un champignon! Sous le chêne ventru de sève Son pied de mousse fait un rêve
Que blancs clochetons du muguet Fassent revivre la forêt. Curieux ! D'habitude à cette heure Ÿ
U ny à guère de bonheur! Mais que de monde ce matin ! C'est le premier MAI ? Ah ; enfin ! CLBF -
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Gare à votre cœur cher amour Le printemps met ses beaux atours
Méfiez-vous des chants qui s'envolent Du joli bec des rossignols. Gardez-vous mon très cher amant
De ses bourgeons jeunes et ardents
CYR CR EC TE CR CT TT Se cachent tant de ritournelles. Soyez prudent mon cher ami
L'oisillon pourrait faire son nid
OU ET EE ET TT Souffrent d'un je ne sais quoi? Cette musique buissonnière
A pour vous de douces manières
Si vos yeux butinent jardins De votre cœur ne donnez rien. C.LBF
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ANNE NET OI En ouvrant mes persiennes CD Ur bruit de branches ef d'eaul
Le nature s'éveille
J'entends comme unécho.
L'orchestre du printemps
À nis ses beaux habits Les abeilles bourdonnent Le soleil est ravi.
La rosée du matin
Blanchif le haie sauvage, Je rêve encore de foi © Les petits éfourneeux ©) Pieillent: -Alez dégage! De regardis aux fenêtres Deer Entourée de tes bras Souffle sur le prai Un concert en duo RP US Rier que pour toi ef moi, Redresse ses épis Quand les violons du vent Cesseront leurs ébats. Alors! Et dans cette harmonie … C.LBF Je deviendrai printemps...