> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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CNAFANSAETENTE A midi Îg solgil s'allongg sur sa peau, S'étire dg langugur tel un ehat sur la pigrre,
Quand les rais sg faufilent, l'flg s'endort altigre, €t dg lourdeur sg glisse tel un eygng dans l'eau. Eerasé de bianehgur, l'esquif immobilg,
Aux drapés bigus azur que Îg eigl réfléehit
Mesure l'espacg temps aux dédales fragiles Lg long dgs murs sacrés aux toits chauds arrondis. Edglwgiss acerochés aux parois millénaires
L'ocrg sembig jeté d'un pinegau maladroit,
Sur des tachgs deg feu un mélange lunaire, Le vertige des ans gst à jamais sa foi. €légantg beauté que l'horizon eargssge
C'est à la nuit tombée qu'elle s'aecouplg enfin
fu solgil jaung d'or déposant sa pargssg flux pieds dg sgs voleans rougissants dg earmin. Santorin, blanes nuaggs ou poussent des bigugts
Qug la mer éternise par des soupirs changgants,
Où la vigng soudée à la terre asséchée, Fait un nid de eouronng au mépris des grands vents Promontoirg suspendu où l'histoirg s'élève,
Lg promgngur méditg enveloppé dg ehants,
On entendrait alors quelques habilgs marchands Qug Îg négoceg attirg gt qu'un rêve révèle. PEUT re
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J'ai dans le noir des yeux un reflet qui, tremblant,
Ÿ Suit la ex b de l'onde que trace le chaland, Quand dans le calme plat sa lenteur m'ensorcelle,
- HU ar RC TRE TORTUE Te 7 TR 7 vol d'hirondelles. Nha ist voiliers de [a mer, a Des remous insolents Les blessures de guerre,
ALI sur la ET iln'est d'heure or RU XIE ES repos en mon âme sereine.
} ET CONTE TT TT TE TEE ne 72 OUT de clapotis que Le tirant entraînent,
LT OT NT TT TE TA TT) sse sur l'eau portant sa batelée Le saule pleureur d'où s'égoutte [a nuit,
Ma pensée s'évapore, ainsi le temps s'enfuit.
A vais en vagabonde au fil de L'eau dormante. Avez-vous remarqué comme la vie s'invente ! Dans le chant silencieux d'une étreinte fragile
on ventre lourd de blé aux entrailles serviles, TE CNT ET OS LT ET DTA el Faisant fi de tous maux, elle en oublie Les heures...
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Que mes poèmes vous soient nuages
Qu'ils vous livrent mon coeur à corps,
Du fond de mon si beau village Je voulais changer de décor... J'ai pétri des lettres sauvages,
ÆEnglué mes doigts de papier,
Sous la torture d'un encrier
Vivait l'ouragan des voyages. Souffle la lampe de mouillage,
Ecrivaillon dont Le savoir,
Prenait si souvent le grand large
De la folie au désespoir... J'aimerais effacer chaque page
De l'aube au crépuscule,
Qu'aucune ligne ne bouscule
Le ciel de mes orages. Buvons, amis, ce blond cépage,
Je chasserai ma servitude
Sous Les colonnes de Carthage Je dompterai ma solitude...
CLBF
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C'est un petit jardin sans grande prétention,
C'est un petit jardin sans rime ni raison.
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. Des arbres dissipés comme une cour d'école
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
Dès que le vent soulève les fragiles ramures, Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| CA ANT EEE CCE C0 RE TA ET A C7 7 Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. Et puis la véranda, caverne aux souvenirs CTP ART NICE ACER UICUCIR CAE TIC ON CRETE ETC CEE AT OT EENCCIEES CLBF
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C2 AI Ohé À Menthe PTT ET ET ETES LATE A AT)
PORTE LE ATEN AU 1
Repoussent la chaleur écrasante du ciel, IT TI ET AL ET LT A PE AL LA LU
ECS AOL CLR EI et A Des feuilles de thé vert, de La menthe éffeuillée
AT TE TE A A LT Volutes mentholées embaumant la maison
DATE AT A AN AT
PT LE ET CE LT A
Effluves de plaisir en voile de coton, L'eau de La fontaine en jupon de cascades
PO LILTT A T L RT TX D'un abîme magique au parfum de muscade,
L'Afrique a La lumière des plus doux abandons. CLBF
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«J'aurai pu vous aimer un matin a Denise Sous les cieux d'un printemps encor chargé d'espoir
ous rejoindre d'amour et poser mes valises,
Auprès de votre vie me glisser pour un soir. Au balcon d'un palais aux pierres ennoblies Dans nos mains enfacées que retiendra l'ivresse,
. es. jardins de Florence sous un ciel rose et gris
| Et, = Offriraient volontiers mes yeux à vos caresses. IA (LE 1 il À. Hélas 1,Qe ne saurai de Rome le destin, if |. &f Üérone toujours mourra sous mes soupirs,
; : Naples de mes baisers n'en saura jamais rien
Don voyage c'est vous, nul besoin de partir... ve De
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Tandis que vers la mer, l’Adour en boucles folles,
CCC TIC hr ME frissonnants de marée,
La mouette agitée prend un air de gondole Ainsi posée sur l’eau aux roulis, balancée. Dès que le ciel, la terre et le vent font silence, RERO nee Vers que de mourir, Je déploie la grand voile celle de l’ espérance,
roncaeortcaReLe re Ru
AURONT ER EROUTTTES
Tissées par la saison, faites d'or, de dentelles,
DAS CIO durer rene turc TEA De fougère bouclée mariant ses aquarelles. Sur mon bateau mirage ondule le sommeil DORE NE ET OUTRE RTE A EE Er EME ET USE leur soleil, LEE nou CE THE A OCTO Il me faut accoster, le vent m'a bousculée,
Fait claquer mon écharpe au vent frais de Bayonne
Éd uUAUE CRIE PET detre [CR CINE ET Cole 1e TER CLBF
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à ToUX Déroulant ses couleurs S'endort ta mosaique. Comme un tapis d’orient! Ta berticalité effondre Phort
Regards de blancs linceuls = Déposés sut [a mer lu plus profond sommeil.
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Couleurs Agadir. L'odeur d'un oranger ravive ma mémoire,
L'espace s'engourdit de pesantes douceurs,
Les cieux se reposent sur l'onde pour y boire,
Mélangeant ses violines aux marines couleurs. L'air chaud venant du sud écrase la lumière,
Sous le vent du chergui le désert s'apprivoise,
Ondule par vagues sur la ville poussière En peau de sable fin dans des ombres chinoises. Si lourd et indolent le port d'ivresse lente,
Berce ainsi ses bateaux aux teintes acryliques,
Sous sa palette d'eau tangue sa couleur menthe
Fait chalouper les robes en volants ibériques. Si tu vois Agadir, dis-lui si tu veux bien
Que mes paupières lasses ne l'ont pas oublié, Et que plus rien jamais ne défera ce lien, Qui fait qu'un jour peut être... un jour je reviendrai CLBF
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UN PIED FIDÈLE... Vois-tu ce feu lointain qui rougeoie l'horizon
ÉCNTUT CEE NORTON CEST SITES
LEE CN TRUEN TRUE TT EE Ne) Este
Forêt du nouveau monde, ta beauté nous inspire.
Au calme des grandk lacs assoupis de mouvances
Se noie ta chevelure aux ramées enflammées,
Ainsi que tes reflets vêtus d'extravagances, Sous un ciel bleu de mer, tes eaux sont enchantées.
Semblable au champ de blé que le zéphyr caresse, Prémices d’un concert, silencieux, abyssal,
Ton rideau flamboyant s'étire de paresse, Ondulant sous le chant de ton voile oriental.
RU reed e UE ee CN pelle Peint dans chaque forêt, dès l'automne venu
CETTE TR TETE TEE AA ere Qu'un hiver sans écho de blanc sera vêtu
Mes pairs sur tes sentiers ont foulé tes rivages, Au bord du Saint Laurent repose quelques stèles,
RE re ET eee one en A nets NA le (TA LE Te OA Sur tes immensités poser un pied, fidèle. ur
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éme des loits Ah | Quoi 1 CS avais raison mon äms,
Ou fuis bien trop souvent lëbas !
Œar lorsque tu reviens, infäms, Ce 16 vois dépitée, assombrie de combats. A l'heure où s endort le silence,
En équilibre au bord des toits, Ou marches en longeant l'espérance Mon cœur mon cœur dis-luil comme elle sc fourvoïe. CKE cours Plus après la folie
Ses ombres chargées d'illusions, Œollées au mur de Les envies... Æousse lx porte du verger
Ou cucilleras la fleur de paix le touvrira ses horisons.. CLBF
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RS y
AS Z . Le p, D) Cy/ -C'ect que me ailee sont fragiles =
Quelques rayons d'aprèo-midi
Me font copéren douce nuit Lt puic et puis ma vieille idylle”. ss
DDR ere À Ne voir d'un fleuve qu'un fl d'on
Ne reconnaître aucun vallon A dub lampe porn mo paie Perdue aux piedo d'anfheo géante Ne plus savoir pour qui AE re ref pre al Che par le foules jrunies nn B pootillonne une eau cabine
| Blu océan joue et badine
Avec toux Lo courante marine.
Je vio ici pnèo de l'église
Lt Le dimanche au premier rang
Al plu vi des go
Sur mon poteau je m'électrine...
NT
k CLBF NIT
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VOYAGE... VOYAGE::- Je regardais l'aurore au traVers du hublot,
Le jour pointait son œil Vers l'horizon bleuté
Des nuages de laine tricotaiene un manteau
Etje Voyais le ciel en sa pure Clarté. Ün point, une lumière, un éVeil matinal, Tout au loin j'aperçoïis un espace immobile,
Notre oiseau\de/fer blancicomme la mer d’Aral,
Semble ne plus bouger, sa Vie tient à un fil. Souslles ailes givrées les moutons nous poursuiVent
Fléürs de Coton touffues Champ « Nouvelles Orléans »
Apercer leuxsicocons les Couleurs or s'avivent Et la terre soldalnsürgie de tout ce blanc. Petits bouts de tissus en Carrés de verdure, Cousus de’quelques haies dans un point de bourdon,
Nous quittons le Ciel bleu au glaçage parure Notre oiseau de métal. se pose sur Lyon. Je mets tous Ces floconsau milleu des bagages
Denain sur Santorin sous'un Ciel de lavande J'aurai au fond des Yeuxwant de bleus paysages
Qu'ausoir un soleilrouge Clamera sa légende... + C-LBF