> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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MOIS Janvier a grelotté sous un
Et déjà février se couvre
Le soleil a pointé quelques
Alors que mars approche a Ne te découvre point, hurl
Je suis ce solitaire, j'aime ji
Mais je sais bien que mai
Le soleil a sur lui des effe De juin j'attendais une
Œt puis le temps s'est mis à
Il revendique ainsi sous un D'être cet infernal qui fait Juillet s'est mis en tête d'e
Il a 6rûlé la peau, Les cham
Sous les étoiles d'or, Le ciel Vois sa voûte meurtrie tell C'est l'été sur les champs Les 6!
Août osé pleurer sûremen:
Il hoquette de pluie attiré p. Se sent désenchanté, “voilà qui File septembredoux ! Belle a
Des vagues de la mer à la -fraîc
Laisse octobrewvenir. Ne brus.
Lui, saura dévêtir la plus belle
Alors novembre sec comme un c
Allumera des feux ;Jamaisilne
Œt son double glacial son frère Décembre ;levingt-cinq,-je.vo
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Le potager a de la pluie
Accrochée au moindre CR
ENTER OS ET Que lCaurore mêle de rhume. La maison ouvre Ses paupières Claquements des volets de bois. Chacun sait que depuis hier
D LOT ET TU 2 ETATS TER 11710 TL Ian
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UN PIED FIDÈLE... Vois-tu ce feu lointain qui rougeoie l'horizon
ÉCNTUT CEE NORTON CEST SITES
LEE CN TRUEN TRUE TT EE Ne) Este
Forêt du nouveau monde, ta beauté nous inspire.
Au calme des grandk lacs assoupis de mouvances
Se noie ta chevelure aux ramées enflammées,
Ainsi que tes reflets vêtus d'extravagances, Sous un ciel bleu de mer, tes eaux sont enchantées.
Semblable au champ de blé que le zéphyr caresse, Prémices d’un concert, silencieux, abyssal,
Ton rideau flamboyant s'étire de paresse, Ondulant sous le chant de ton voile oriental.
RU reed e UE ee CN pelle Peint dans chaque forêt, dès l'automne venu
CETTE TR TETE TEE AA ere Qu'un hiver sans écho de blanc sera vêtu
Mes pairs sur tes sentiers ont foulé tes rivages, Au bord du Saint Laurent repose quelques stèles,
RE re ET eee one en A nets NA le (TA LE Te OA Sur tes immensités poser un pied, fidèle. ur
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Chant de printemps Quand le printemps s'annonce, à peine éveillée,
La nature étend son drap de vert satin. L'aube toute engourdie de gouttes de rosée
Repousse le brouillard d’un revers de matin.
Sous ce manteau épais une pluie de fils d’or Percent l'épaisse brume dévoilant des trésors L'été a dans son âme une langueur de femme,
Lentement il s’étire le long des prés déserts
Appuie dessus les toits sa peau fine diaphane Quand le ciel dénudé n’offre plus de mystères. Les cris et les rumeurs s’éteignent peu à peu Sur les monts écrasés par un ciel toujours bleu. Chant d'automne Hiver, humble foyer ou couvent tes merveilles Tant de cristaux d’argent et de poudreux vents froids Jusqu’aux sommets suprêmes, aux forêts qui sommeillent Le blanc de tes silences lentement se déploie. La lune aime veiller, tout est si pur si calme Quand le ciel tout entier laisse tomber ses larmes. CLBF Chant d'été Te voilà bel automne!Va rafraîchir le temps!
Fais gémir la forêt de ton souffle plaintf.
Aux travers des rameaux invite donc le vent
Jusqu'au seuil de l'hiver, soit le plus créatif,
Apprivoise l’érable aux couleurs chatoyantes Le soleil est si haut, vois comme il s’impatiente !
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nl jt CE22777777247722 El mo faut pour combler mes vœux,
CAy milieu de vertes prairies, V. À Dosañon, CAT
CET C7 Couver pour mon denier amour
LACET TLA 1202 777277272770
aime à goûter à cote enfance CAL TI 27777702 CLBF
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ONE TEA LER AE CLIC (CRT TEL SITE IT Te
Le LS (Tu dijà PAT Te plus [PTE OS
Ft l'aube sortira du sein noir de la nuit OUT PU de froid, somme toute fort beau. Sois IPTC CI0 PAT ELA EPA UrT (2 morsure,
NCA ne vont brûler [US T's LA LAUT bénis
DE CTIRELOT a TEETLLS pures, LI? PRTENICIETTE POUPEE t de l'or sans pareil, octobre sait cela,
de l'or sans pareil, octob r
uand l'érable rougit tel un feu de bengale
HÉTT C CET
enaît un paradis que peindrait l'au-delà
PILOT LUE er (IE ou PTT quant aux nues! LT TER OL 17: sangloter au sommet des LULIOT LI
DO des reflets du PIE COTE LT
Qu'un vol cendré de PL CU in PTIT LT NOT: le matin, poussant voiles aux vents. NÉ Cr LUE TU CE ART UT Lee PA
(C2 OI OT TOO dans ta forêt d’ éden ACT soupirs CRT TL A en voir CE ULER JE retiendrai ma peine. CLBF
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