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EPL Pau naves de mes doigé se joue mon jeu de dame. Ce joue mon jeu de dame afin de vous aimer
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Pour niet appriooier, allongée près de vous
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Des rigns peuvent suffire. Des riens peuvent suffire à peupler la mémoire
Des riens que L'on revit qui ont fait notre histoire.
Un paysage ému, une main qui se tend, Un Baiser qui se veut du bout des lèvres, aimant.
Ce temps que l'on regrette, balançoire d'émois, Ces images enfouies sont notre cinéma, Ce va et vient de mots, ces moments d'autrefois, Cette douleur d'avant a la couleur sépia. Bien sûr rien ne s'oublie, dans la tête demeurent
Quelques photographies épinglées à la vie
Parfois l’une s'envole pour quitter sa demeure
Venant frapper au temps si fébrile d'envie. CLBF
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Le jour je pense à vous, chaque heure est pareille,
J'erre dans ma mémoire, page aux souvenirs, La douceur de vos yeux, un soufle à mon oreille,
Je chéris votre coeur sans pouvoir vous Le dire. Le jour est un malin négligeant ma ferveur,
Je me defends de vous occupant mes journées,
Je suis là, je respire, pourtant je suis ailleurs,
AO TITRE EURE E TTETTI ZE La nuit me rappelle, vous n'êtes pas mon toit, Il n'est pas de chaumière où l'âtre nous réchauffe,
Pénélope le soir, je défais mon étoffe, OS TN CNT OT EE ETS Dans l'infini des jours, commme une pluie d'avril,
Vous collez à mon corps tel un tombeau scellé, Je serai ce gisant que l'on croit immobile,
OI ETS IT EU ON UT 12 ES CLBF
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Au bout du voyage... COTE NE ITR NTI TATILA
Heures vides qui nous conduisent
Vers on ne sait quel firmament ,
BOAT ENT EEE TITI UT Je songe quand, souffle arrêté
PAREIL AT) 1 De cet étrange couple, né, De quelques mots sur une page. TT TT ER IT AR Les mois avaient réduit l'espace
PAST ICE AI LE (2 u1t1 (À
L'amour avait pris toute place. BOIS TC IE ANTR QT ES I ELA
J'ignore encore qui de nous deux,
BOOT ET E TR A LT A Le regard tourné vers les cieux... CLBF
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SAMPENTE INFINIE ge ne me plaindrai pas des heures «solitude»
Par cet éloiénement l'amour est infini,
Vous avoir près de moi serait pâle habitude, Et de cette infortune je remercie la vie. Eux se disent heureux quand leurs lèvres se touchent,
b'amour devient banal s'il n'a plus de mystère, 11 laisse fuir le temps abandonnant leur couche, L'un près de l’autre assis deviennent solitaires. Comme un papier de seie, Comme une fleur se froisse,
Çe doux frémissement quand nos reéards se croisent
Quand nes doigts emmêlés vibrent et nous défroissent, be cœur empli d'amour danse d'embres chinoises. Vivre de cette attente et de n'avoir jamais, Un tout, une entité pour (ombler cette absence,
Çe nourrir d'un reéret pour mieux l'appriveiser (ette brûlure là fait notre différence... CLBF
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4 Au bord d'un rêve. J'aimerais butiner vos lèvres Au charme de leur floraison, Les déguster comme un bonbon
Comme une fleur au bord d'un rêve. Picorer votre peau si douce Vous parcourir de doux baisers
Sans fin découvrir vos secrets
Etendre nos corps sur la mousse. Revoir un vieux film muet De nos vingt ans nous souvenir,
De nos anciens amours sourire,
Et tous les deux nous espérer. Dans ces bonheurs au diapason
Faut-il rêver tant de caresses Et saurons-nous dans la tendresse
A nos désirs donner raison... CLBF
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PUR ORNE TENTE TENUE PES RE ER
LOU ET EN TERESA
Quand les yeux de l'amour perdent de leur lumière. AO NEC) CET ET ea TT CZ Pour enfouir ses idées dans une éternité, Dans les sables mouvants nous suivons son sillage...
Do COR ST CE TOR ST ET CET QE Je suis si près de vous que je mets à vos pieds, Ma fidèle amitié comme on offre une rose Ami, si je vous perds un jour …… CLBF
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(A dit à l'amour qu'il s'en aille
À Loin des parfums doux des semailles per = ILa fait chanter les sonnaïlles Maintenant il faut qu'il s'en aille...
J'ai dit à l'amour tant de choses, Qu: TA ne ” Je lui parlais en vers, en prose,
( Nous étions souvent en osmose
J'ai dit à l'amour tant de choses J'ai dit ! Maïs lui s'en souvient-il? @ Tant de mots doux au bout d’un fil, Tout simplement Mon amour devenait une île, A
J'ai dit ! Maïs lui s'en souvient-il?
J'ai dit, je t'aime tant de fois, C ER Mon cœur avait foi en sa loi
S'est-il lassé de ces émois J'ai dis je t'aime tant de fois.
Quelques mots tus avec le temps 5 FF
O7
Es. QU £e cœur s'éteint tout doucement
fe MEN us, … Tout simple mert
S'en est fini de ces tourments Es L'Adieu s'est fait tout simplement.
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J'avais mis de (amour dans toute [a maison,
Me réjouissant trop vite de ce cœur qui me donne
Dans son embrasement au fil de nos saisons L'élixir de jeunesse, des sourires à foison. re => : SFSSSHSSSSSSSSSSSSSSSSS
_ — Je tente bien souvent d’y pénétrer encore L’esprit gonflé d’amour je lattire vers moi, Je lentends respirer et mourir à [a fois.
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS Il fût un doux refuge durant l’hiver glacial L’automne lui offrit ses couleurs de miel doux
N Quand le printemps fût là il devint impérial
Le mien durant l’été n’attendait plus que vous
SSSSSSSSSSSSSSESSSSSSSS.
Ilemplissait ma vie [oin du monde extérieur
Je vous entends encore, lui garde le silence,
Pourriez-vous SVP lui dire mon malñeur CLBF £t sans vous commander ! Parlez-lui de l’absence… » class= »wp-image-320″ width= »1280″ height= »725″/></figure></div>
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À MON REGARD VOUS BUTINE COMME UN PEUPLE D'ABEILLES
AMENANT À MON CŒUR CE MIEL QUI ADOUCIT UNE VIE DE LABEUR ET DE BIEN TRISTES VEILLES, JE CUEILLE EN CET ENDROIT TOUS MES RAYONS DE VIE. ALORS MON UNIVERS À DE L'OR AUX FENÊTRES CETTE RICHESSE COULE, FERTILE DANS MES VEINES,
LA NATURE AINSI FAITE SAIT ME FAIRE RENAÎTRE,
REDONNE À MES VIEUX JOURS UNE DOUCEUR HUMAINE. MON CHAMP DE PAIX C'EST VOUS, JE VOLÈTE SANS CESSE
FÉCONDES TURBULENCES QUI FONT NÉCESSITÉS JE NAVIGUE EN AVEUGLE, BOURDONNANTE ALLÉGRESSE
QUAND BIEN MÊME FERMÉ, L'ESPRIT N'EST CÉCITÉ. VAILLANTE OUVRIÈRE QUI AUX LÈVRES STÉRILES
PRÉLÈVE CE NECTAR, BUTIN D' INDIFFÉRENCE VOTRE BOUCHE EST SILENCE COMME RUCHE EN EXIL,
J'AIMERAIS TANT DE VOUS UN MIEL DE RENAISSANCE...
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rair est donc mélancoliau
L ï est heureux, IL nous parfume de musique Enivrant Les cœurs amoureux. Laisse tes mains glisser en douce
Mon corps devient vite orageux…. | Ne fuis pas !
Ecrire et rêver n'est-ce pas,
Epouser un peu La nature ! viens briser tes ailes,
Va, cherche mon amour fidèle
Dis-lui ! Non ne dis rien, Laisse-moi.
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UNE MAISON SÛRE Près de toi la maison est sûre
Mets tes deux bras autour de moi,
Ce soir Le vent perd son sang-froid Je n'ai plus peur je te rassure. Ne bougeons pas, fermons les yeux
Cette paix n'est pas un roman,
‘Ma vie respire ce moment Faut-il que j'en fasse laveu. ‘Un ciel de pluie s'est installé
£a forêt semble se méprendre
Ranimons quelques vieilles cendres Fais éclore mon besoin d'aimer Laisse mes gestes apprivoiser
£a solitude de mon cœur,
Ilfût si souvent ma douleur
ICfût si triste passager. Ma main au fil de ton désir
Suit Le sillage de ce port, Sur ta peau ira parcourir Chaque parcelle de ton corps
CERTA
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Un Amour (jendre.. Vous êtes la lumière à l'ombre si sensible.
Un fleuve d'amour tendre à la source paisible
Ou s'écoule le temps qui atteindra son île
De celle qu'on attend sereine et tranquille. Mais la terre avare par ses sillons meurtris,
Voudrait de ses semences en connaître le prix,
Fière de sentiments comme un rosier fleuri
Eclatant de couleurs sous sa mélancolie. Au milieu du chaos les saisons s'aventurent
Les rêves gisent épais sous une couverture,
Quand la froideur du temps use dame nature
Et pousse l'horizon vers notre sépulture.
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ne ni NDS ETAT TL PET LT TT 22070 Fa CADET TEE Dans ce fin camouflage qu'elle sait d'importance
CRT RTE ET 77772 à OT A 7777727772
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ELITE IL ART) CLBF
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Je marche, devant moi sg détaehg son ombre,
Je respire, je sens, je pense, j'aime en lai, Gg mondg où il vit qui bien souvent m’eneombre, Cg monde transparent quand l'horizon gst nuit. Miragg frémissant ou rgposg mes ans. bibérant ma douleur aux déchirants blasphèmes, * ‘Se peuplent mes visions de troublantes pensées,
De tortagux désirs sournoisement saprêmes Couvrant mon désespoir, loin dg vous — dédaignée. Jg eorps gst océan, il gst marég lanesque
‘Lüux remous parfumés par des flots mystérigux, JL’esprit gst lac divin pâlissant toutes fresques,
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D Agour, de fon premier bafser
Se garderat la ue
Parefl à la flèche sf sûre
Crblant la douleur à Kama. Du bout 1 Confance outre alors nos penche Aore les ans peuventaller, Sous d'amoureuses cerkludes,
Délrces d'élrxtr suprême, ehevivre > emporke les lourments,
Bentà no : yeux sœuvenfre de Dans harnonte de ! habflade. e bafser cat Dre e tar je.
Je bn EX L un) Beplembre est fou quand EN y songe, Jez eux, le cœur en papfllon Volet ei pleux mensonges, Some bonteur en carflon. im bafsers Fndes en débesce,
Porkntnos vfes du ere lèvres
Vunon sacrée de la ne
Agatce es elfètres. » class= »wp-image-348″ width= »928″ height= »820″/></figure></div>
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DIEU A ED AIT A7 à Ah va ! Letemps ÿenvole avec le rire aux lèvres,
Et je cours après lui chassant ses papillons RCA LL A 7 0077
Mabouche ne saurait se passer de leurs tons. Vous emportez mon cœuwr sur larbre de envie
TL PT ET TL AG id 2
TO PT a ET A TT ET A LT TT 2 2
Oh 1 Que le temps s'enfuit à vouloir votre obole. DORA OT EL I PT 2 7 72
En papillons de nuit mes aïles sont amantes
Leurs désirs déployés me font songer à vous. Mais laissons donc cela ! Je vous sais si fragüle,
Comme moi vous avez votre talon d'Achille, OZ LP A PT A EN 7 NX:
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AI TANT ÉCRIT POUR VOUS. DES PHRASES ET DES MOTS
[AILLISSAIENT DE M4 BOUCHE SANS QU'ILS VOUS EFFAROUCHENT.
E LES VOYAIS FILER VOUS REJOINDRE AUSSITÔT. JE LES PEIGNAIS EN BLEU, AU DRAPEAU DE MES PEURS. JE VOUS AI TANT ÉCRIT, SI En ESPÉRÉ : AVEC DES MOTS FLEURIS, DES DOUCEURS DE PAPIER,
ES RÊVES DESTINÉS OÙ DONC SONT ILS ALLÉS ? &ARDEREZ-VOUS UN PEU DE MOI QUI VOUS AIMAIS? EFFAÇANT LE SILENCE AU COEUR DE TRISTES NUITS DEUX LIGNES ICI OU Là, QUELQUE CHOSE DE NOUS
DEUX LIGNES D'ENCRE BLEUE DES MOTS D'EÉTLIÉ AU BUVARD DE VOS YEUX IMPRIMAIENT UN ADIEU , ECRITURE UN PEU FLOUE.
C.LBF
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Comme des grappes de fruits mûrs De
\ Mets des mots gouteax dens ma bouche #
À Que je boirai comme une £aa pare. a goût pimenté de printemps Tressés de vent qui les soulève... Sar l'écran blea de mes naïts blanches À Je mets des flashs en noir ct blanc Comme an Noagaro sar mes hanches. : ar l'exil de mes anses rondes
Laisse aller ton corps sar mes rives 27277772 x cé En va-et-vient, oavre le monde.
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Ce nouveau grain de vie je l'ai trouvé en vous,
U£ a fait refleurir mon jardin d'immortelles
Dans mon cœur étouffé je déployais mes ailes
Ft buvais à vos Gvres l'ivresse, je l'avoue. Cette terre d'amour ne cessait de nourrir
Une endormie sous [a peau des regrets,
le non écorce emplie de souvenirs,
nait de naïtre enfouissan ns clarté nstére e rcpe fall son œuvre
e savais l'éclosion renaitre d'u Pétales de désirs, ramures de tendresses
1Ont greffé leur senteur sur un cœur de c
Mon corps devint prairie tant j'aimais vos caresses
Ma détresse cueillie.. je devenais enfance. ‘Une saison d'amour, cor
Comme un cadeau du ciel avant l'ultin
Je vous aimais ainsi haïssant l'inconstance, Mon grain de vie se meurt sous la faux du pa se C.LBF
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J'ai eugilli des roses dorées,
Poursuivi la rivière belle Et les coteaux et les doux prés
Là-bas j'ai perdu mes dentelles. J'ai va loin des jardins publies
La folie de notre bruyère. Aux falaises de l'Atlantique
D'embrans je l'ai va prisonnière. Jai su d’an néflier sauvage Qu'il n’ait besoin d’être troublé
Lorsqu'un oisgau dg son ramage
Offre un doux ehant à la forêt J'ai appris de la grug cendrée
Dans les Barthes et les étangs
Qu'il ng faut jamais sg hâôter
Savoir attendre lg bon vent. J'ai gardé ta main dans la mienne
Sans jamais vraiment la quitter,
Je voudrais que ta mg reviennes
GCommg ung saison dans l’année... CLBF
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Je voudrais vivre vigillg avge mes vigillgs pgines,
€t avge lgs bonheurs d’an temps qui mg fât cher,
Tous egs moments deg vig rendent l’êmg sereine USA ARR ON STATE Url 2 €t puis 1g temps venant, penserais au baiser
C'était lg tout dernier d’ang vig de earêmeg, Il ng m'a point brâlé, il sg savait brisé
fvant qug de rêver. mais qu'il était bohême. Mg direz-vous aussi : « c’était migux de mon temps »
Mais avant voyez-vous nous vivions dg jzungssg,
Quglques égratignares écorehaignt nos vingt ans,
DORA CNT SONT T2 Too ua D LU TA sel, ET 2 Hg pas sg retourner sur nos jeux dg haserds
Ignorer qug l'esprit peut encor s’émouvoir €t d’an désir soudain pgreé par un poignard
Hotrg cœur bat encorg, sans vraiment lg vouloir. CRE
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ÆACCORDEZ-MOI UNE FAVEUR LORSQUE JE VOUS FAIS UN AVEU JE CROIS TOUJOURS QUE JE VOUS BLESSE,
JE CRAINS DE PERDRE L& TENDRESSE
QU'IL ME SEMBLE VOIR DANS VOS YEUX. ACCORDEZ-MOI UNE FAVEUR, 4,
ELLE COMBLERAIT TOUS MES VŒUX
N'AJOUTEZ PAS À MON MALHEUR
AIMEZ-MOI DONC ENCORE UN PEU. J'AIMERAIS LIRE SUR VOS LÈVRES, SE DESSINER EN LEUR CONTOUR 4, DES MOTS SI BRÛLANTS QU'UNE FIÈVRE ré
/ ENFLAMMERAIT LE MOT AMOUR. Les SCELLEZ UN PEU DE MA TRISTESSE ve SUR VOTRE BOUCHE DE VELOURS FERMEMENT CLOSE À MA DÉTRESSE 4,
3 ILEST UN CŒUR QUISANS FAIBLESSE 3e VOUS OFFRE SA VIE SANS DÉTOUR, FO 5 COMME UN REMORD FAIT DE SAGESSE... CLBF