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Enfouis dans le grenier de nos âmes d'enfants
Ils surgissent un soir d'un vieux portrait fané,
Peinture toute empesée sous canotier de paille,
Visages oubliés qu'une mort a fauché. Ils meurtrissent nos cœurs élargissant la faille
De l'espace et du temps qui sourit au présent. Les souvenirs Ils se perdent souvent au milieu de nuages
Ravivant le passé d'éblouissants voyages.
Empreintes d'une nuit d'un oreiller froissé
Qu'une marche nuptiale avait longtemps scellée.
Tout glisse sur les plis de nos charmants soupirs,
Aux rides de l'hiver, ils pourront revenir... Les souvenirs Ils laissent sur nos mains le cercle d'une vie, Ils sont amours ou peine , absences ou comédies
Parlent d'une saison qui fait trembler nos coeurs,
Cachant notre horizon sous le marbre et les fleurs.
Ils pimentent nos jours enveloppés de nos doutes
Parsèment nos chemins menant à la grand route... Cibf
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ETNE PAS TOUBLIER Bien peu de temps suffit pour changer toute chose,
Tu es là quelque part guidant souvent mes pas,
Suspendu dans mon coeur qui se métamorphose,
Comment vivre à nouveau sf toi tu n'es pas là. Laisse moi m'éblouir de ces nuits qui torturent,
Mes envies de ton corps bercées par tes baisers.
Mes jours glissent sans fin, j'écoute tes murmures,
Tu es là quelque part où je ne peux aimer. Le coeur épanoul je serai ton “sesame”,
Tu seras loasis de mon grand vague à l'âme,
Tu es toujours en mol i n'y a plus d'espace. Avec mille questions je songe à l'avenir. J'enfermerai mon coeur dans une carapace, J'ai peur de t'oublier, que vais-je devenir?
CLBF
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(on C'EST QUAND DESCEND LE SOIR, DERRIÈRE UN RIDEAU D'OR
QUE GRANDIT LE REGRET DE CEUX QU'ON & PERDUS ON AIME À ÉCOUTER TELLE VOIX D'UN STENTOR LES ÂMES PRISONNIÈRES DES AMOURS DISPARUS. MIEUX QUE DES MURS ÉPAIS, DES FENÊTRES BIEN CLOSES,
L& MÉMOIRE RETIENT DES ABSENTS, LES ATTRAITS, LES TRÉSORS D'UNE VIE DANS UN JARDIN DE ROSES SONT CHARGÉS DE PARFUMS ET DE MOTS FAMILIERS. QU'ILS VIVENT AU PAYS NOIR, AU PAYS DE L'OUBLI,
OÙ CELUI DES MERVEILLES ET DE VERTES VALLÉES
PCA NU SA ET EAN AN AN AN UU TA ILS ONT TROUVÉ LEUR PLACE DANS UN RÊVE SECRET. LE JOUR EFFACER, ÉCRITS SUR LA POUSSIÈRE LES MAUX DES SOUVENIRS, QUI SAGES CÔTÉ COUR,
ATTENDENT À NOUVEAU UNE SCÈNE PRINCIÈRE, POUR FLEURIR LE THÉÂTRE OU SE JOUENT NOS AMOURS. ÉNETEI ES
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Les saisons ont passé sur Votre éloignement. £t je Les redoutais ne pouvant vous atteindre,
Tel un fruit suspendu, balancé par Le vent, La douleur de mon cœur appelait à me plaindre. Je voulais de l'automne et de l'hiver obscur,
Chasser Les vieux démons qui fantaient ma mémoire
Vouloir encor' des nuits ébimées de froissures Vous chérir de printemps, renaissance d'espoir. Je vés ainsi, meurtrie, seule entourée d'images
L'aube, Le crépuscule, m offre cette joliesse, Je garde mon amour colorié de nuages, J'aime tant à chérir Les regrets qu me laisse. J'ai perdu Le sommeil un peu par habitude,
Quand Le soir obscurcit la chaleur de mon corps,
Je ne puis m'endormir, là est ma certitude Sans vous afmer foufours, SANS VOUS AÉMET EnCOT : CLBF
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Elixir de Sagesse Tu m'as grabé Le cœur d'une cruelle empreinte, LETTRE TUE TUE UT Ten
Quelque chose de toi, Le sceau de ton étreinte, Ou peut être Le poids de l'amour effaré. ÉRÉTE CU TE Ur tr CETTAC UT EU CUT ES UUT E CUUTre LE SA TLON
ORNE ET ET TUE Tr TS TS RTE ON er En ETS EUR CRC ITR E CON Car enfin dites-moi, bous réclames tendresse! Je connais botre cœur fermé à tout espoir, ÉA
ET TS UN Te GENS TA &
è que j'aime à bous dire et aime à bous boir. se
Cette marque de bous ne peut ternir l'aurore, 5 ETS RTescA UE UT D (TR tte Ta tre SUITE É
Au cruel crépuscule je bous attends encore, S 31 n'est point de fardeau si Le cœur Se dénoue. Soutent par La tendresse, Élixir de sagesse, 3 faut sans défaillir, constance à aimer, Bormant dessous La cendre, il est une paresse CET SES TTADUTRE SET aUr
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Pour ne plus êhe qu'un, an arbre presque Humain
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La nostalgie s'était agrippée à son âge
Les yeux dans ce miroir, derrière sa fenêtre
Espérant retrouver l'ombre d’un paysage, Elle dénouait sa vie, la faisait apparaître. Le passé s’installait bien après le souper,
Nous savions ce moment attentif à son cœur
De ses cheveux argent aux fils de ces années Elle s'était tissée un semblant de bonheur. Elle déroulait son rêve comme un tapis d'orient
Patchwork qu'elle cousait de pensées idylliques,
Et de la voir sourire alors au soir tombant, Le jardin lui offrait ses moments de musique. L'espérance à encor ouvert de vieilles portes, Derrière le carreau, le fauteuil aux pensées Faisait fleurir ses foues de rosée, peu importe, Les larmes de grand-mère étaient de beaux camées C.LBF
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CRT Ci que je Vous aime,
( Rendez-moi l'âge des amours
COTE CEE TE US ECTS ÉTEINT FH
le temps qui neus prend par la main LE PEUT QU UE CT bagages DR de calme et doux: VE. D 94 un amour pris dans les rets. 4
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=. poids des heures Ce connais tout le poids sentimental des heures. Qu lever au coucher chacune à son secret. 2e matin est espoir laissant tout espérer, ©
Alors que tard le soir se cachent bien des pleurs. ee cœur est métissé d'aurores et crépuscules,
ne sait sil se doit d'en étre ridicule,
Mas c'est un fait certain on le dit imprécis. ous ries au dehors alors que lui il pleure, @uand vos larmes ont séché il étouffé au-dédans.
(Lln petit mot de « Eui » devient soulagement
it les larmes roprennent, maïs là cest de bonheur | Tout ce 1emps ast conté de bien triste façon, 2) CRégit par des minutes qui défilent sans bui,
À la seconde méme où nous disons - ©h sut
ee cœur est un soleil qui s éteint lentement,
À la tombée du jour solitaire il s'enfonce
Dans la vague des nuits recouvertes de ronces 6)
Tant le sommeil le ronge déchiré de tourments. Le CLBF
NAN AXNAXK A
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Rarchemin de papier plissé ous un fond de teint enjéleur, 4x main peaufine un portrait Sée dun printemps séducteur.
ec temps maguille les visages
COrimages vicillis d'infortunes,
Our les fronts ternis de vonages
Oc lit le passé de chacune. Orainées de rimmel noir d'orages
es cils roferment leur enclos.
Æorsqu il ny à plus de lmngage ous la paupière aux sanglots
cyoucs pâles, creusées d'infortunes ous la caresse du pinceau
Se colore une certitude . ‘Poudre de ris pour grain de peau. Rose bonbon, rouge cerise,
Éèvres aux frémissants contours,
ous une main de gourmandise
OGc dessine femme d'amour... CLBF
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Cri le temps des heurts, celui de lége mûr,
Ses étés verdovants, des hivers d'infortunc.
Apañséc d'un passé complice, d'un futur Poici que je respire, nuc dé loule rancunc. Rer quelques coups de vent que le souffle chagrine Sans Le calme muct de bien tristes lourments,
Ce dois apprivoiser, dans d'heureuses comptines es douleurs d'un présent les bonheurs d'un avant ous Le poids, Lx rancœur des ans fait qu'on s'incline.
Alors courbant la iéte, s'inhibant de vertu
assume la vicillesse, cette fleur sans épinc Cl un rempart d'amour, endurci d'imprévus Carré fi ct du temps ct dé ses inquiétudes,
Rorter sur les épaules son lot de châtiments, Ex femme ainsi courbéc par tant de lassitude
SOns La crainte d'aimer se meure du néant CLBF
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CRT UT EN RAT EL ET ER ELU 2 EE 1777
Caimais, maille après maille, enrouler sa douceur.
Tout en tissant le fil d'une Ariane en déveine Aux rangs détricotés de énélope en pleurs. @uc faire dun printemps quand les ans nous rattraper,
@uand des cieux bien trop bleus éclairent notre cœur,
(CAC RS 07/2774 Cr) 2 NET A A) LL ALL 70 Gt un point à lendroit et un point à l'envers,
TE ET RC ELA 1172
CPR 77/17 e CORTE TE ECTS Ce tresse ma pcloté, ébouriffée d'ennuis,
CALCUL TUE EE 2 1/7
EE CT ET 2/7 12772 ec cliquetis du temps que faiblesse désarme. Gt un point à lenvers et un point à lendroït,
(O7 PTE 7 ES
(CT RTE ET 07 V7 KG vienne en LCR LE LT 07 0777
CLBEF
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…— Effeuillage d'automne... Jeunesse! Ta beauté s'est détachée de moi, Me fuyant chaque jour je n'y prenais pas garde,
J'avais hâte d'aimer, l'amour ce maladroit Laisse bien des années s'échapper par mégarde. EURE J'essayais d'oublier ombre du temps qui passe,
Chaque été azuré mettait mon cœur en joie,
Je saisissais [a vie comme le vent l'espace ÆEtour die de printemps l'hiver reste courtois £a vieillesse rampait tel un oiseau blessé Se posait sur mes yeux pour y creuser ses rides,
Au contour de ma bouche se lisait Le passé Æn sillons ciselés de souvenirs timides. DEEE IEEE EEEEEEE Mon cœur sonne Le glas de sa gloire vaincue,
Garder peine et douleurs ne pourront rien changer,
‘Mais reste au fond de moi, encore l'inconnu ‘Un automne en couleur qui reste a effeuiller. CLBF 27/07/2011
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CŸ écoute les secrets de l'unique pendule CKourrie DL LIL LE LE LE 7777
CT NEUVE EL 1/17 ORACLE T7 ET en Au soir d'hurlente bise épaissie de brouillard
res du feu la timide en duo somnolent
Gicrnise ses heures tel un gamin musard OP RTE EC 0 RAT 2 CRE LE VAT A UE 717
CCE CT ER ET ER C0]
(022277787707) ETAT ALLO 7 (CPR ETAT RTE A LILI 212
Os des vapeurs de thé, des flambantes soirées
Our LG marbre vciné où répose son or carre que lon oublie que le temps à passé.
CLBE ORRORO TOO OT TOO TOO TOO TOO TOO FAT OT TO T TT TO TOO T TT I ÉT IT TT T TT TT TT TT TE]
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ETTLCCAIL A A TR A1 OR CLIC LLC 702
CAT ET EL 7 7 2022 Afin de voir passer Le temps qui capte ELEC NICE UE 101
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OR TR TE RL CURE ET ES 00 (110 767270770007 0007
Camais il ne recule, coure vers lavemir 1 trouve son comptant d'automnes à ternir,
Én pus À de ja dj RE ra ETAT ALT CR ET 22
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Oachant que les printemps demeurent les couloirs
Où L'on cherche sans fin cet air d'été qui danse. CLBF
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AINSI S'EN EST ALLE … Ft de ces jours sans fin qui ont fait une année
Ft que j'ai vu passer pourtant comme un OTAE,
Qui soudain annoncé par de sombres nuages Vous quittent promptement sans vouloir s effacer. Il fût des ciels sans joie, des soleils d'allégeance,
De ces nuits dans l'espace à jamais englouties, Privées de confidences aux matins alourdis Ainsi s'en est allée une année sans partance. Flux et reflux du temps, marée d'heures infinie
Va et vient de silences, de peines, de gaîtés
De montagnes de bruits sur des chemins blasés Par ces remparts de vie, certes, l'on s'affranchit. Encore une à venir, peut être une tempête
Dont on ne sait souvent qu'elle en sera le chant,
£a prudence voudrait que l'on suive Les vents Æt qu'emportées ainsi les saisons soient conquêtes. Soyez tendres, mes ans, voyez ce qu'il m'en coûte
Jour après jour j'avance en mordillant l'ennui De ne vous voir passer sans hasards ennoblis Je ne vous comrterai au'en pions que l'on rajoute... CLBF