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Je me mets à l'ouvrage, Comme un bon ouvrier Je donnerai tournure sur ma page A deux, trois vers polis, lisses, bien galbés. Les contournant sans cesse
Refusant leur silence,
J'esquive leur paresse
J'essaie leur résonance. Vingt fois j'effacerai,
Jouant à pile ou face
Sur mon carnet fripé
Ils ne trouveront grâce. Se relire cent fois Se reconnaître en eux,
Se dire, là c'est moi !
Apprivoiser leur jeu. Mais hésiter encore,
Repousser leur écho,
Réinventer des mots ….
J'entends monsieur Boileau ! CLBF
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ET OT ET AT A Où rêver ne serait qu'un icerberg de mots, CA DT AE a ETAT 2 Qu'une main tracerait sur Le blanc océan
Naviguer au He à
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VISEURÆNE LUNE: {5 Certains s'en vont chasser, la poudre prête à bruire, S'en vont viser la lune aventureusement,
Feront flamber du bois pour faisan prêt à cuire, Feraient n'importe quoi, pour tuer notre temps. Je voudrais dès ce soir sous une calme ombrelle
Contempler le jardin, m'asseoir sur le vieux banc,
Voir le trèfle pousser, sur l'arbre,la tourterelle, Et suivre l'escargot qui se traîne en bavant. Souvent le crépuscule attire le poème
Le regard met des voiles au-dessus des ormeaux,
Dans l'air pur traîne un chant d'une douceur extrême, C'est l'heure où le néant revêt son vieux manteau. Car pour tuer ce temps, nul besoin de cartouche,
Peu d'ombres au tableau de mon contentement,
La pie prend dans son bec une impudente mouche Le soir se vaporise d'une bruine d'argent. La biche met des pleurs au bord de ses longs cils,
Sa robe a les faveurs d'un automne indulgent,
Sous les pas silencieux d'une marche subtile L'homme arme son fusil, mais l'oiseau le surprend. Clbf
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Sur le mur de ma chambre eu dans le corridor!
ge verrais, en entrant à peine sur le seuil, Un visaée amical chambouler mon décor. maginens l'effet ! Presque érandeur nature. b'imaée est insolite mais elle me convient. > Dans tes mains un recueil, mareçain acajou
Que tu aurais saisi sur la vieille commode, (elle dent le tiroir n’ouvre que par à-coups Et cache dans le fond d’innembrables rhapsedes. | <> Cette porte d’entrée sujette à l’aphonie Guvre péniblement sans trep d’effets subtils
ur un Vieux papier peint couvert de parapluies! [Qui avec les années n’ent plus rien d’anélophilel ge peindrais de l’amour et des couleurs autour
Çar l’illusion créée, apporterait éaité.
g’en ai un peu assez de crier mon bonjour Aux murs de men couleir, triste à faire pleur » class= »wp-image-439″ width= »690″ height= »1582″/></figure></div>
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x étoiles sans mémouvoir,
Dai dit : «Vois n'êtes pas heureuses
Ce be sais Bien car dans te note, Ve lumières semblent amoureuses. & 77774 aux petites souris,
en vois une, puis deux, puis trois.
(Chacune de vous dans sa nuit, Véddhais que & monde la voit. É Csise le sun Le perwon, De m'éblouis Bell éphémère
Les yeux fixés sux 009 doux noms
Le cœur semble pla solitaire.
Les heures comme vous s'éffacent,
Disparaissent au fumament, & éteinhe le temps qui passe Le temps secret court dans Le vent… É'estompent aussi ls illusions.
er vent mourir sans aventure,
Dans À lc des désilsions
ous un ciel étoilé dagur… CLBF
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Foro 0 reste) 00) 00) NU 0 IE QG QU QG QG 20 50 AUS G ANR) EU 10) LG 0 50 0 50 LE 50 F6 50 06 QG SG AR) 0 10) 20 10) EG 10) EG 0 5Q F6 500 5030 500 3050) 3050) 050) 050) 300 ‘Une nuit sans sommeil passée au bord du lit, BR ea RATES TA ET CN ENT TR
DAT SAT A TT EE D LE NUIT TA “Vouloir de [insomnie aller à contresens. Æt voilà que l'esprit, espion de tiretaines
Guette [a moindre faille, limposteur va camper
Là! Derrière Le front, il dénouera sans peine Tous les noeuds d'une vie que l'on aura tissée. Soudain viendront Les voix , [a mienne, puis Les leurs.
Ft ce que lon a dit et ce que [on a tu.
LL TT D ENT NT IE TT 2 ‘Un discours que l'on tient de mémoire, conçu. Qu'il est long le chemin qui conduit au sommeil.
DORE ENT CES LT (217
Quand l'acier de {a nuit se pare de conseils, Les paupières alourdies s'ouvrent à l'autre monde. Alors sans préambule un rêve se faufile
CT OR TN POT OET TO ICE TT RE ETES
Sous lendormissement, Les heures indociles VAS AA ET TO EIRE T1 10 77 T2) CLBTF LOLLIVIOLLIV LOLLOVLOLLIVIOLLIN LILLIVLOLLIVIOLLON LILI IILLIVIILLOVLILIVIOLLIVLILLOVLILIVIOLE
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S S Î'ai le cœur aus gros qu'un recueil de érlaine
urd du temps des secrets de saisons envoléts,
Pfléant tous ls maux de périodes lointaines
Qu une plume empressée, veut immortaliser !
D rêve s en revient d'un temps qui l''exila.
CEmpli du tourbillon d'une chaleur d 4e
Gnieré des parfums de jasmin, de bles. Dans un demi-cema de senteurs éhérées in cœur est plein ce soir de brume coutumière
Qui faute de candeur recrequeville l'âme, Blâs le temps n est plus, des larmes buissonnières
Ont creusé un sillen d inselents méledrames.
Découvrir par les mots Le chemin du plaisir, © 'emparer de L'espoir que suscite l'écrit,
Drcublé par L'émctien qui ne veut pas mourir, D @ poète ouvre monde qui n ‘aphartiont qu à lui. SSSSSSSSSESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS SOS S Tecccece CLBT GECEÉCCEC