> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Dr CAE IT TE CL ET 2
ACTE CT TT ET 75
LT TR ET
CAT TO ET 02 PERTE TT TT AE
LUCE TT ET 0 A De village en village serpente sous les ponts,
Parfois londe limpide s'étale et s'assoupit
OA 7 CE
DETTE
TETE TR A LE AE
OT RTE TEE Que sa bouche béante avale par lampées,
ET TR TL 6
LT AT T7 77 02
CRT ET TE 2
Jusqu'au pied des grands cols elle lisse ses pierres
ELLE 227770 La Nive alors s'endort et de bonheur soupire. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
& Der
Œt Ges Falaises Quand le soir se fait doux, je longe les falaises
La brise m'étourdit, fait trembler les genêts Et pour ne pas sombrer, alors que je m'apaise
Je dois de ma souffrance n'en voir que la beauté. Tes écailles rocheuses s'enfoncent dans la mer
Feuilleté de calcaire d'où s'éffrite le roc, Tes vagues à ses pieds se joueront de tes blocs
En gerbes de dentelle éclate ta colère. Mon coeur alors implore le coucher rougissant,
Suppliant l'accalmie de mon corps éprouvé, Mais tes flots de morsures s'arrachent aux hurlants,
Les cris de ta puissance ont la douleur d'aimer. Mon esprit envouté sous la brume naïssante,
De mon rêve insensé troublera la fusion, À ne pouvoir aimer en véritable amante, Je t'aimerai alors sans aucune raison. Comme la mer inexorable … CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Tandis que vers la mer, l’Adour en boucles folles,
ECC STIC hr ME frissonnants de marée, La mouette agitée prend un air de gondole
Ainsi posée sur l’eau aux roulis, balancée. Dès que le ciel, la terre et le vent font silence, RERO e te ris que de mourir, Je déploie la grand voile celle de l’ espérance,
roncaercha cr Le CRTC
PUR CE OEM ICONE ÆERCAOIITTE
Tissées par la saison, faites d'or, de dentelles,
De bois fleuris de mousse, embaumants de résine,
D er TRUE Er aquarelles.
Sur mon bateau mirage ondule le sommeil
DEEE RER COS Le TEE CETTE
RES Er ES EME ET Ua leur soleil, Le nou CE THE A OCTO 1] me faut accoster, le vent m'a bousculée,
Fait claquer mon écharpe au vent frais de Bayonne
ÉVTOuUAUE CITE PCT ne CE EU [CR LIEN et Cole 1e ER (92:32
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Le jardin de Mari
C'est un petit jardin sans grande prétention, CENT CRC ICT OT CNRS
Une âme vagabonde un air de pas grand chose, Ici un lys en pot, des cannas et des roses. LC TETE TEST TT C0 CET
Comme des gamins fous qui s'ouvrent de paroles
TAC ET AC TICA AURA Le grand maitre du temps nous offre ses murmures| Derrière la barrière tout au fond de l'allée Il existe un désert, un rien sans intérêt, Pêle-mêle jeté sous le vieil appentis Ce que l'on ne veut plus, jeté pour un oubli.
Sous le noyer ambré un mouchoir de verdure,
Que l'on peut sans soucis, presque une aventure]
CONCERTS TI RCE ZONE ICS
On peut s'y allonger et rêver sans soucis. A TTACEOTOC CAOCOEUTENTNTET CTP RTC ZAC EE NUICUCER Une chaise pliante un fauteuil en osier EDEN OT ENT CIES (9%;
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Cette ombre dé blancheur légère s amoncelle, SDans la soirée d'hier sur le toit sur le puits
Ses milliers de flocons sont tombés autour d'« Ælle ». es murs enracinés dans le cœur de la terre <a maïson silencieuse «à mis sa pêlerine,
CKE parait que son nes qui fume de colère es tuiles endimanchées recouvertes d'hermine . froid à le silence sont d'humeur éloquente,
@ui veut s aventurer sur x blanche toison ?
Alors qu'à l'intérieur des braises incandescentes
ŒRougcoïent au cœur de l'être, pétillent à foison. Len vent glacé s'attarde en la vielle demeure
oulevant en rafales de délicats cristaux,
SOscrètement voyez, la vieille dame pleure
Aussitôt qu'un rayon lui caresse la peau. Tout appartient ce soir à monsieur Bd Grer;
c champ, l'étang, les bêtes , les boïs sont abandon,
SSans la vie souterraine cachant tant de mystères nc lucur soudain! Quand chante le grillon! Rampille
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Is l'avaient bien bâtie, au creux d'une colline
Æn dehors des regards indiscrets des voisins,
Vous ne [a verrez pas; sans être vraiment loin
On peut apercevoir son toit de capeline. Derrière Le bosquet ils avaient fait leur nid
Pour y vivre des fieures de [labeur solitaire, £a mettant à l'abri des vergers et des terres
Ælle voyait Les champs jusque tard dans {a nuit. De la grange au grenier elle avait son décor, Ælle connaissait tout, savait tout des fermages,
Ælle fût débattue pour un vilain partage, ILest de ces familles qui souhaiteraient leur mort Guirlandes souvenirs accrochées aux fenêtres
Comme pages de vies, elle en devient Le pâtre.
Elève Les petits dans [a chaleur de lâtre,
Cette vieille maison, veille sur ses ancêtres. Æn secret elle laisse échapper des soupirs,
Ainsi Le soir venu toujours à [a même fieure,
Elle suit Les sillons de son vieux [laboureur, Qui un jour devant elle {a nomma « mon désir » CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Je me mets à l'ouvrage, Comme un bon ouvrier Je donnerai tournure sur ma page A deux, trois vers polis, lisses, bien galbés. Les contournant sans cesse
Refusant leur silence,
J'esquive leur paresse
J'essaie leur résonance. Vingt fois j'effacerai,
Jouant à pile ou face
Sur mon carnet fripé
Ils ne trouveront grâce. Se relire cent fois Se reconnaître en eux,
Se dire, là c'est moi !
Apprivoiser leur jeu. Mais hésiter encore,
Repousser leur écho,
Réinventer des mots ….
J'entends monsieur Boileau ! CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Bus mon élite moi où mot esprif paresse, ons restes à lnniais wire ombre qui éeille & reflet de rivages, int appel de détresse, 5) : ; ; i ;
bre maine qui mie cherche ant nrilien dir sommeil. aimerais de vos mains en nnteffes douceurs,
Be frissons de silence, cicafrices danour,
De jouant de La foule, en recberehe de soeur Sn re : ;
ar luion retrouvée se froissatt de velours.
Se 505 doigls caressattts, facfile fenillaison, Sictair de mes orages électrisettt lintstant, & Lot dut corps ainte soure leMoraisot, Saimais ce Lo désir iartoré d'autres qetts.
Éonatenps et plus encor absence re poursuit,
LS arour serait-il oeil que te te puisse vivre,
Que vous laissant lisser an chagrin de nes rite Sans avoir put fermier Les pages de mon livre.
ELBT
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
COCA AUTRE TN PCT IT
Que les nuages blancs font glisser lentement,
Alors que l'horizon se pare d'élégance
PART IA OT AA TOUR ETS PVC CT ET EE ATOS ES Non sans avoir poussé le cercle de lumière dans les vagues légères d'un berceau cotonneux.
POP TR ONTO NS IT ER CT A CETTE CR Plus rien ne bouge alors quand le vent se fait doux,
CETTE TT ET MT NN LE
Pénombre en rêveries les étoiles sur nous, DD ETATS TT A MORT LA 2 AIT AL AA La musique celeste de cette aventurière En nuage de sable recouvre tous ces chants,
L'enfant s'endormira, le vieillard et l'amant, Le marchand de sommeil nous éteint la lumière. T2
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
LE PORTE-PLUME Percée d'un petit oeilleton
PUS RC UNE Le
Qu'offre une plume de Dagron LUCE LEON CSN CUT Entre ses dents, le porte-plume,
ATOS TE 00
CE TT TUE CLARA ET) AE L'objet ne vaut que dix centimes
Est le début de bien des mots
Mont St Michel, sainte Maxime L'inspiration lui fait défaut. Violette est l'encre des regrets NOTA EEE Fe CLONE ROUE Elle disait qu’elle Vous aimait Qu'elle pouvait en faire un Volume... C-LBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Enfouis dans le grenier de nos âmes d'enfants
Ils surgissent un soir d'un vieux portrait fané,
Peinture toute empesée sous canotier de paille,
Visages oubliés qu'une mort a fauché. Ils meurtrissent nos cœurs élargissant la faille
De l'espace et du temps qui sourit au présent. Les souvenirs Ils se perdent souvent au milieu de nuages
Ravivant le passé d'éblouissants voyages.
Empreintes d'une nuit d'un oreiller froissé
Qu'une marche nuptiale avait longtemps scellée.
Tout glisse sur les plis de nos charmants soupirs,
Aux rides de l'hiver, ils pourront revenir... Les souvenirs Ils laissent sur nos mains le cercle d'une vie, Ils sont amours ou peine , absences ou comédies
Parlent d'une saison qui fait trembler nos coeurs,
Cachant notre horizon sous le marbre et les fleurs.
Ils pimentent nos jours enveloppés de nos doutes
Parsèment nos chemins menant à la grand route... Cibf
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Sresse dun vertige.
_— Ni : CGARITEZA CT ETAT E772 O7 PCR 07)
CET ET ET 7 07
SLT TIR EI ITR
Ce n'est pas au matin que mon cœur sc libère
CTP LR TT ARE TE TE)
@u il se veut étre seul à croire en ses chimères
COTE LR TR EC 7707
“Pout étre, au crépuscule, aux portes de la nuit
CRETE ET A REZ T7
Quand le sommeil étreint tant de rêves nourris,
Tout le ramène à vous souvent à votre insu.
EL TL TELL LATE 07
CPR TER RE
CAT LE LIT EL NI ET AL LE 1777/4 EURE AE TC TEEN 7 GATE ALT ET AZI TL 2772
OLA ET CET 12
(CPR TELL A2
ivresse du vertige honnit x liberté (CU
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
DL Suis Si Dissipée.. MOTTE TT LITE Ce EU PAT
Ombre il l'est aussi puisqu'il est mon soleil,
LC PTT [ST CRT TU Ft LÉ TES plus LOT a 710 J est dedans mon coeur la seule solitude
[CE (LS héris du moindre battement,
Maïs TO plus, UT AL LT (2 DE ET TT TUTO LTAET PATTES VENT que ruisseau qui coule dans mes veines
Son eau de liberté se murmure en caresses,
(OT “importe l'absence aux remous de mes peines Si SO UT CPL ET soupçon de tendresse. s£ PT PUIS FA CA PTT LT
QUE voudrait aussi pouvoir tout partager,
YA NI NT ETT TE [tn OCTO Ft PET AT ET) rt étouffe. DUAL TS EE UT CES
YA ON ET ET OL IE ET DIT
IST OS U ES ED Je suis st dissipée que j'oublie d'être sage CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
él
CUT PETITE A LEA TA Limpide, gracile, fragile
S'enfuit sans bruit du lit, Puissante, ardente, hurlante.
Es DATI AE ATOS ET A
De plis, de cris, de suie,
Trainante, vivante, présente, MOT NT AT AOL LA V EBI
EURE ES TRES TITA Candide, si fluide, livide.
EVENT
BAT ART D ANAL UT TE A4 Divague, zigzague en vague,
Au bois, sans voix, dix fois,
EDEN AT TARA DAT ANRT EN D 1770 PARTIR AL RE T4 D'hiver en verts éclairs, D'amers revers pervers, Font vagues buissonnières … Crea
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Allez! courage... Petit matin blafard en rayons déchirés,
J'ai ouvert mes volets sur Lignes effilées
J'at beau frotter mes yeux Les flèches des nuages Transpercent Le néant c'est un triste présage; J'at ouvert mes volets et mes carreaux sanglotent
Et mes rideaux se taisent et Les tuiles grelottent
Et de mon chien assis dégoulinant de rage La gouttière meurtrie vomit L'eau d'un barrage. IL pleut, en doutiez-vous? Non pas que j'exagère
Sur Le toit d'éverite où pousse La fougère
J'aperçots l'herbe folle arrimée à l'étage Tout brille et resplendit c'est Le grand Lessivage
Le ciel tout empesé de ses Vieilles querelles
Cache un petit rayon, un rêve de tigelle Qui voudrait de son or pouvoir en faire usage IL lui faut patienter, ce jour est jour d'orage! J'ai fermé La fenêtre ouvrant grand Les volets,
IL pleure sur Le pont, j'ai vu Le fleuve hurler,
IL portait sur son dos tant de bois de flottage Que Les vagues étouffatent Tiens Le soleil ! Courage!
CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
CS
C277777077702777777777
EPL Pau naves de mes doigé se joue mon jeu de dame. Ce joue mon jeu de dame afin de vous aimer
277272077077
C72277020777227007770002
Pour niet appriooier, allongée près de vous
022727272277 CE
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
ET OT ET AT A Où rêver ne serait qu'un icerberg de mots, CA DT AE a ETAT 2 Qu'une main tracerait sur Le blanc océan
Naviguer au He à
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Une Belle Journée... J'ai vu beaucoup d'oiseaux visiter Les bosquets, Nolant de branche en branche em grande discussion, Faisant mille détours, plumes ébouriffees, tôt sur l'herbe verte, tantôt dans Les buissons.
J'ai vu 1ODisje rêvé? Ju coeur d’une jonquille,
Une petite abeille frissonner de plaisir,
Sur sa trompe frivole quelque chose pendille, Œn butin couleur d'or plus précieux que la myrrbe.
fai VU, Me CToirez vous ? sur les bords de la JG, Cayailleurs affairés, Les parents Ragondin (eusant Dieu seul sait quoi, tout au bord de la rive, D'un oeil inquisiteur surveillent Les bambins.
Ft tandis qu ’une brise respirait avec peine,
Sur Le quai accablé de rayons incongrus, Haut perchéc sur la grue La mouette sereine, Regarde avec ennui, le fleuve distordu.
Gr l'onde est chatouilleuse, impudique parfois, Sur son dos accueillant veiné de vif argent,
fes, oiseaux de la mer se posent sans cffroi. routez-la gémir, enlacée de diamants. Dans L'espace, un MUTMUTE, UN Air de...renouveau H est vrai que Le temps a mis sa robe neuve,
Une jupe bleue ciel F de l'or sur son chapeau, Une belle : journée, vous en avez la preuvel
CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
VISEURÆNE LUNE: {5 Certains s'en vont chasser, la poudre prête à bruire, S'en vont viser la lune aventureusement,
Feront flamber du bois pour faisan prêt à cuire, Feraient n'importe quoi, pour tuer notre temps. Je voudrais dès ce soir sous une calme ombrelle
Contempler le jardin, m'asseoir sur le vieux banc,
Voir le trèfle pousser, sur l'arbre,la tourterelle, Et suivre l'escargot qui se traîne en bavant. Souvent le crépuscule attire le poème
Le regard met des voiles au-dessus des ormeaux,
Dans l'air pur traîne un chant d'une douceur extrême, C'est l'heure où le néant revêt son vieux manteau. Car pour tuer ce temps, nul besoin de cartouche,
Peu d'ombres au tableau de mon contentement,
La pie prend dans son bec une impudente mouche Le soir se vaporise d'une bruine d'argent. La biche met des pleurs au bord de ses longs cils,
Sa robe a les faveurs d'un automne indulgent,
Sous les pas silencieux d'une marche subtile L'homme arme son fusil, mais l'oiseau le surprend. Clbf
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Où Buef ect Le printempo après P'hives oi fon,
Quand fes Baiser de P'aube par un gfaciaf matin,
Sont sangfotez fes cimen, emperfer Len jardine
De cruelle ro06e, mordante de frissons. Gngourdies de Soufeurs oux feux tige gfacée
SL écfot un Ballet de jupons de dentelle.
Le feuiflage Lranvil, piqué por un sagon
Simide maio 006, encor jeune d'aurore,
D'un vai Bien malicieux lentement évapore
Une farme de nuit suspendue aux Boutons. Le jour prend son enrof sous un sofeif radieux
CNE s’égosifle,
Ce AE
SL tente une enaofée battant L'air, Lef un dieu |
Le printemps à Le cœur percé de quis nuages
CON
Quel ent soudainement celle triole oraivon,
Qui fui ôte fa sie et von plus beau fangage. ŒBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
PS MrrHMmH< LEDESSI Car moi aussi LECOC TUE UE (1 RUN AUS ENTTtS EE
PA plus [An CALE OC PATES
Abandonnaïis ramures au fluide des courants
[aissais tous les soleils caresser mes tourments.
J'allais confiant, sans aucun soucis apparent L'automne avait permis malgré la crue des âges Aux feuillus argentés de CE illusion.
Quand redressant le mât habité de voyages
Le tronc de belle allure dans l'onde se glissait.
Ïl y eut des canicules et des vents ascendants DÉC préparée aux CRETE te A Voyant passer au ETES qu'autrefois aimais
ALES CENTRE VETE CRT NT
Mais l'hiver emporta ma CES espérance.
NE UE eee EU désespérée, A vivre dans l'oubli sur des rives asséchées, L'arbre mort n'eut d'envie que d'aller se noyer. Mais les rives gardaient le rameau en son lit, sm Sachant tout des douceurs ou stagne encore la vie,
Pourrait sans un remord s'il ne se voulait mort Réver encoreun COTE TNT TTL ETS ES TETE EE BF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
LA MER AMERE L'homme a peint des couleurs sur Les roches grisâtres
PART TR ET TE ES TT
Recouvrant le granit de son écume albâtre Dans un jaillissement de nuptiale beauté. RAT TROT ET TE Mr 2 AR A 1e
Ligoter ses furies, maitriser ses remous Les vagues en harmonie glissent vers leur trépas
PURES ITR A TO ETS La mer viole le sable et s'accouple rebelle
DNS TS AT IE ITS
Se retire, fébrile, en mousse de dentelle
Ces allées et venues accentuent son désir. BOT TAN A CUROTETTTET UET11/2
Ronronne en clapotis, fait danser les voiliers,
YA SR ET CT RO T TE ETTITT
Apaise ses fureurs sous la lune bleutée. La mer est une amante, où se perd le regard
PARU EN IOEATE EETRITR CENT)
PORTAIT I ATEN Tr 2 Eole alors jaloux vient lui fait sa cour... ŒBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Je vous avais écrit une lettre d'amour, il y a fort longtemps,
J'avais ajouté un portrait, j'avais juste 20 ans. La ferme du vieux moulin témoin de nos amours A depuis bien longtemps perdue ses beaux atours.
La grange ne craque plus sous Le poids du fourrage,
Ma vie s'est envolée avec notre bel âge. Le coeur au bord des larmes je guettais le chemin.
Une lettre de vous, juste un mot, presque rien,
Seulement pour me dire- Attends moi, je reviens!
Le silence est entré à la ferme du moulin, Les rires de l'été ont fait place à l'hiver, Le ciel n'est plus si bleu, mes yeux devenus secs,
Ont perdus tout espoir un jour de vous revoir. Le Vieux s'en est allé, il n'était pas causant, Je le voyais souvent, il guettait le facteur, IL espérait un jour retrouver son honneur. Et de sa main valide, la vieille au coin du feu,
Balance le berceau, l'enfant ferme les yeux. Cela fera quatre ans, Je vous avais écrit une lettre d'amour ŒBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
3 LAS. 5 CS COURTIER ET NET CE TI TE ER ET CS
CUT OUI EI TO CET ENTER TUE)
De dentelle si fine, cristaMMisée de nuit, ORAN 0
La danse des marées fait trembler de sa voix L'épineuse forêt sous un vent de suroît,
RL CO EE CE S'enjuponne d'embruns et volants de basquine.
Sur lombre forestière, un regard de soleil CUP CROIRE CONTE TZ TNT T 770 Un nuage froissé que la chaleur égoutte, DETTE NOT PERTE NOTE CETTE
EPL RD LL A LU 0
Glisse vers l'océan afin qu'au soir, divine,
D'une Gruine légère aux senteurs clandestines AT CE D CENT LE TT LS CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
éme des loits Ah | Quoi 1 CS avais raison mon äms,
Ou fuis bien trop souvent lëbas !
Œar lorsque tu reviens, infäms, Ce 16 vois dépitée, assombrie de combats. A l'heure où s endort le silence,
En équilibre au bord des toits, Ou marches en longeant l'espérance Mon cœur mon cœur dis-luil comme elle sc fourvoïe. CKE cours Plus après la folie
Ses ombres chargées d'illusions, Œollées au mur de Les envies... Æousse lx porte du verger
Ou cucilleras la fleur de paix le touvrira ses horisons.. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Juste pour un moment. de demande t2 peau!
De face où de dos
Juste pour up moment
Dans Le creux de tes reins
Tatouer tous mes maux
deter l'encre en ce port
ÉD cofps à corps Je demande tes yeux!! Seulement un regzrd S2ps trop de certitude Pas pour une habitude Juste pour up moment Un éclat d'étincelle
SA corps des corps... de demande t2 maïn!
Pour une bague au doigt
duste pour up moment
Un 2ppezu s2ps histoire
fvec 3 l'intérieur Gravé ep lettres d'or … Encore, encorel CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
È
3 imaginer aénéi sous le poids de L'eubli, À) Maïs je vous reconnais, comme amant, comme tel.
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Je lézarde au soleil, Couchée dans l'herbe. Des cris d'enfants heureux, Le chant des oiseaux Que demander de mieux... J'ai retiré mon pull, je coince la “bulle”. Mes petits doigts de pieds en bouquet de violettes
ECO OSEO TR Je compte les pâquerettes, À deux pas l'océan. Il n'y a pas de vent. Quelle belle journée ! Combien je regrette de ne pouvoir ici
Profiter de la fête, La fête du printemps, avec vous mes amis.
L'odeur de la sardine me chatouille le nez,
I TT ET 1 1 Un verre de clairet dans l’une de vos mains,
ECS BTIETNEO CN Et chacun s'en “allant” de son petit refrain. Laissez-vous donc tenter!! CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Je vous prierais Monsieur... Je voudrais ! J'aimerais, je vous en fais [aveu
Enfermer dans un mot l'expression de vos yeux, Sculpter votre regard aux contours de mes peurs, Ciseler lin 1, lincruster de bonñeur. Emprisonner Le trouble que vous jetez en moi
Cette langueur docile qui par vagues d'émoi
Comme une extase chaste me tisse de velours Je veux, mais saurez-vous ? Me direz-vous un jour ? Æspérer votre bouche, objet de vos silences
Et de ne dire rien, glisser dans l'inconscience,
Accoudée à votre âme percevoir lagonie Quand mes lèvres scellées meurent de symphonie. J'aimerais! je voudrais, mais l'espoir s'amenuise
Reculer le cadran de ces heures d'église
Quand un genou à terre, confession m'y oblige Je vous « prierais » Monsieur, sans nul autre litige. C£LBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
«Je (OT Promets rs Je voudrais vous rejoindre, le temps nous sépare,
Un voile ténébreux recouvre l'horizon, Mon village m'est cher mais je suis en prison,
Mon amour se morfond quand parfois je m'égare. La chanson de mon corps a effacé les gammes, Et quel que soit le lieu j'attendrai sur le port,
Détachez ces amarres qui vous retiennent encore,
A tant vous espérer mes yeux n'ont plus de larme. Je voudrais des oiseaux tout au bout de mes doigts,
Qu'ils vous sifflent le chant de l'espoir qui renait Et à vous parcourir chacun de leurs baisers Serait invitation à courir dans les bois J'habillerais ma vie de feuillages légers Qui glisseraient sans bruit de cette page blanche,
Pour que vous saisissiez le contour de mes hanches,
Et que sur notre peau nos désirs soient gravés. Je vous promets l'aurore d'une belle vieillesse,
Le crépuscule enfin de nos mains enlacées, Les nuits chères à mon cœur que nous n'aurons jamais,
Les espoirs sans regret qui font notre tendresse.
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Je trébuche sur une phrase, Sur un pied qui D A
Le redresse quand ildé d se,
= Je vous lis! Enfin , quand je” Le Mes joues rougissent quelques fois,
Voir la bête qui monte monte,
Déchiffrer vos sens en émoi, Parfois on est bien loin du Co Vous écrivez l'incontournable,
Vu à la une des journaux,
L'amour, là haine, l'impensable, Tout est une question de mots. Je lis, Car j'aime la “poétique”
L'idée que derrière les maux
Se cache autrement que phallique, Le cri qui nous envoie si haut... Chacun de vous est un prè Vert
L'idée Vous lance un défi,
La mine s'invente des Vers! Et la nature lui sourit. On se plaît à l'accomoder
Ce poème qui nous ennuie;
Lui mettre un/pied/ledéchausser, on { Tant pis! Moi j'ai trouvé des baladips. TE
Shi Ma farandole de poètes, Votre inspiration c'est certain M'enthousiasme, me met en fête. Ma muse est Comme une hirondelle
Elle Va et vient et se promène,
Au milieu des ils et des elles Tissant souvent son bas de laine.
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
RS y
AS Z . Le p, D) Cy/ -C'ect que me ailee sont fragiles =
Quelques rayons d'aprèo-midi
Me font copéren douce nuit Lt puic et puis ma vieille idylle”. ss
DDR ere À Ne voir d'un fleuve qu'un fl d'on
Ne reconnaître aucun vallon A dub lampe porn mo paie Perdue aux piedo d'anfheo géante Ne plus savoir pour qui AE re ref pre al Che par le foules jrunies nn B pootillonne une eau cabine
| Blu océan joue et badine
Avec toux Lo courante marine.
Je vio ici pnèo de l'église
Lt Le dimanche au premier rang
Al plu vi des go
Sur mon poteau je m'électrine...
NT
k CLBF NIT
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
la AB Mon cœur tu allais seul au fil de ces années
Pourtant tu as frémi jusqu’à l'incertitude, Tu as vu miroiter mille soleils d'été Quand sans ménagement tu faisais servitude . Mon cœur géant heureux aux ramures éperdues
Te voilà suspendu au crochet d'espérance Le temps a fait son œuvre ton écorce est à nue
Je ne vois que le doute au bout de cette errance. Mon cœur en ce temps là tu étais ma fortune,
Trébuchant et sonnant au blason de l'amour Tu étais le guerrier qui décrochaït la lune Quand tous tes battements se voulaient troubadour. Mon cœur tu as perdu le goût de l'aventure Je crains qu'à tout jamais ces doux frissons ailés
S'enfuient vers l'au-delà dans des forêts obscures
Car tu manques à ma vie comme un ciel étoilé. C.LBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
eux pieds de érands voyages. ge sais! Mais savez-vous ce que les jeurs m'ent fait ? LTÉE LEUR TS ENT CEE UT ONE TES
Tel un ruisseau d'aréent éonflé par les orages
Mon coeur se languissait à toujours vous porter. BRES Chaque jour immebile dressait ses fiers épis,
AÉROUTRERETONL CLTSR ET CECTTETTESS
g'ai écouté le chant de l'or au vent velage, Sur ces Vagues meuvantes se dessinait l'ennui.
Gé ECOUTER CT RIT RUE CET SENS Même le ciel sur lui refermait ses nuages, À mon cou suspendait le fil de l'esclavage, RECU ORCLOETCUTE EN TAC LUS
bé) gai vu et j'ai compris l'absurde vérité, D'être ainsi près de Vous ne serait éuère sage, Çe que j'aimais sans doute est le bruit du feuillage Que murmuraïent Ves mots, dans lesquels je plongeais…
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
ESA ITA 27708 4 nuit vient de chausser ses pantoufles d'hiver,
OUTRE TE TE EE 1
7/20/0201 CLARA 1711 allument des boutons de lumières bleuïes. es longs soirs de décembre ont des réves accrochés
COTE TE LE AT LL 2/
Sans des poux éblouïs, innocence comblée QE EL EN ET EE LL 172 OL RC ET AE 8
GCroiser, dun cocur joveuz, un gros monsieur joufilu,
Œéréillant lx mémoire dun si lointain passé CPR UT ET AT ET ET 7 PRéleur COLLIER 07)
horizon bleu glacier affiche un air de drame.
Ci la ville éblouie, belle comme un mois d'août CcHait naître vains soupirs dens le cocur dunc damc. Ce soir, jai respiré un vicil air d'insouciance, LA 28 TUES j'OS6 GHCOTE TÉVET, Œ@uun père CLEAN 2101 cnfancé (CT CE AT ELU EL ET ET 7 (GR
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
ttachgz à mon eou vos doigts tgl an collier, Vos mains s'envolgront en ailes dg eolombg,
(GIE ENT EUT ER ETES AO ENT EUT ETC 26)
LENCO TT TA A RQ) ER DENON A AT L\o re ATOS CEE) 02e QUE UCI A
S'enroulent impradegnts entre mgs seins tendus
Frémir sous vos cargsses, redécouvrir mes failles,
J'appréhende vos gestes poursuivant l'inconnu. Vos lèvres ehgrehgront la soureg dg mon ondg
P£g soupirs en éclats la fusion sg fait pau, Je m'enivre de vous m'ouvrant à votrg mondg,
LIANT ZA UN ETAT ZA UT EN) TE CLS
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Je vois danser au loin dans un ballet mouvant
DÉPOT CL TE TIC CES
Comme un drap de lin blanc secoué par le vent
Faisant rouler des flots de mousseuses fougères. Sur ses crêtes pointues de squale affamé
Elle aspire le vent entre ses dents d'ivoire,
Le murmure de l'air s'imprègne d'eau salée
En diaphane blancheur savoure sa victoire … ARR TT EE et ET ES te
CAO EE D RE I on
CPE I TT Te
EME EE ETS Le ciel tout à sa gloire la couvre de nuages
Pound tu das eter a I a LCL
Elle se joue de lui le mettant en colère,
PORT ET PU TN OUEN TEA CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
La Mer à des Colères que la lune réprouve, Le vent file sur l'eau Comme un surfer ailé,
Do TES CET ET 2 TA D'écume +riomphante, hurle Comme une louve. PAC AT ONCE PO 1 7
S'élèvent et se brisent d'éclats de porcelaine,
LEE Op CT ON 7 ON CO ES Qui s'offrent aux regards en gerbes de fontaine. PARC TROT COR CONTE ETS
Rouleaux fous en furie, roulements de tambours,
RIT 0 70 ON COTE OT GI EC Tandis qu'au loin très loin, d'autres attenden+ leur tour. C-LBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
L'hiver à déserté sa saison de froideur Et décembre réchauffe encore nos prairies,
Le temps est bien clément. Forts de cette douceur Les arbres ont des bourgeons, ils se font du souci. Les grues dans le ciel bleu ont un vol hésitant,
D'habitude ici-bas les barthes sont gelées
De ses pattes glacées l'oiseau gratte en tremblant
Le sol givré de glace, la clairière embrumée…
Sans doute ai-je rêvé, longeant le bord de mer
Sur le sable douillet les enfants rient, s'amusent
En cette fin d'année j'interroge la terre
-Pourquoi terra amatta cette trompeuse ruse?
J'ai vu dans l’hémicycle des gens forts haut placés
Faisant de longs discours se rejetant les torts.
A subir la folie des hommes sans pitié
ils étouffent & vie, leur usine est ta mort.
Que revienne le temps où tu pouvais sans peine
Nous offrir le printemps, l’automne puis l’hiver
Dans la juste saison paisible et sereine Mais décembre au soleil! Le monde est à l'envers CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
AU VENT MAUVAIS... Comme un voilier sur l'atlantique
Tranchant telle une lame d'or
Meurent les ailes du condor Dans un désordre accrobatique.
£e cou tendu vers l'horizon Planent ses voiles volcaniques
L'Aquilon creuse des sillons De sa colère allégorique.
Sa fureur porte des cols blancs De dentelles et de guipures, Le rapace emplumé de vent Couvre la mer de forfaitures
Repus d'ivresse au temps mauvais
Les vagues, éternelle anaphñore
Dans l'aire du rapace ailé Domptées se couchent à l'aurore... CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Floraison d'écume ….. En vague d'azur et d'argent Pareil aux lèvres qui s'unissent
La terre et l'eau timidement Sur la grève s'épanouissent. La mer soulève en tremblant,
Ses sourcils de blanche dentelle,
Quand la colère des brisants Pousse le vent à tire d'aile. Ecoutez ces vagues ailées
Le grand large gonfle leurs voiles,
Et leurs chants aux larmes salées Eclaboussent le ciel d'étoiles. Une à une perlées d'or rose,
Floraison d'écume illusoire,
Sur l'onde pâle en miroir, Des milliers de lumières éclosent. C.LBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
L'hiver quitte Le ciel Dénouant son écharpe,
Au son clair d'une farpe Gouttes rondes ruissellent. Tu grondes, tu querelles
Souvenirs de tes fugues
Le printemps se confague
Fntre rayon et gel Sur Les branches humides
Se fane ta saison,
Les mois auront raison Des orages timides. Les rayons du soleil
Piguent L nez ds fleurs Tu restes beau joueur Retenant tes réveils. Sous mon toit si fragile Couvert de mousse tendre,
Se consume Les cendres D'un bonheur en éxil.…. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
£es arbres sont transis aux flancs de mes collines,
£es nuages se brisent en milliers de flocons. Sur Le [ac lisse et froid une barque étranglée
Prise dans un linceul de glace, agonise
Sous un manteau de givre encore inviolé Telun chat qui se glisse reniflant une proie
£a bise de ses griffes déchire Les roseaux,
Æt suspend aux gouttières des racines de froid.. Patinant sur le (ac, quelques feuilles raidies
Dansent sur le miroir faisant fuir Chorizon,
Poussées par on ne sait quel fantôme maudit. Ænveloppée de blanc en voile de silence
£a vague de l'hiver gantée de solitude
A peint un beau tableau en de blanches nuances. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
DETTE EE CERN TT 7772
Ze TR LE LE al
CRT RL 7777
PT
DATI ET EE 2
ER I IT EE
NAT E Poe 2772
7772 AUsST Je VA
CPE Je Luche votre coeur !
Le mien se met au Sapason,
DEA ETAT
Ze L vers se Jai aSuicheur.
ce suis un arbre &e l'automne
O7 RE EAP TI E72
ET EL 0)
7772 AT 77007770
ce ERA IT 277772 dk CETTE TE 72
L'aquarelliste E277777
ce PR EC ER LL
CRETE TEEN EE
TES fait ami
RTE EE 20
CETTE T7
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
cSragile écorce … CAL LATE OI ET ET 0077
OR Te CR 7 147708
OR RE LUE CRT AT D 21 0
(CPI TA ET AT QT AT ET 77 2 CLR LE ELA EE TELE LE 0
CO 7 UT ET RL CP 77/74
Se ceux que l'on avoue dans un moment de grâce it que j ai retrouvé. € amour laisse des traces. CLEA LOT EN ET 7 CE 0777
ENTRETIEN AIT
Ca 165 bras qui m entourent comme un réve oublié, OAI ER EE ET LE LA Tu manques à ma vie. L absence est si subtile.
lb fige le cœur en un x de frasils EUD ACL EL CT RTE 72707
CLIC ZI CE RTL AE 277772 Tu es de mon brouilerd cette ombre qui sommeille,
(O7 CR RL 0070797272
277727080780 287777 COTE ACTES LL A CA
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
VOYAGE... VOYAGE::- Je regardais l'aurore au traVers du hublot,
Le jour pointait son œil Vers l'horizon bleuté
Des nuages de laine tricotaiene un manteau
Etje Voyais le ciel en sa pure Clarté. Ün point, une lumière, un éVeil matinal, Tout au loin j'aperçoïis un espace immobile,
Notre oiseau\de/fer blancicomme la mer d’Aral,
Semble ne plus bouger, sa Vie tient à un fil. Souslles ailes givrées les moutons nous poursuiVent
Fléürs de Coton touffues Champ « Nouvelles Orléans »
Apercer leuxsicocons les Couleurs or s'avivent Et la terre soldalnsürgie de tout ce blanc. Petits bouts de tissus en Carrés de verdure, Cousus de’quelques haies dans un point de bourdon,
Nous quittons le Ciel bleu au glaçage parure Notre oiseau de métal. se pose sur Lyon. Je mets tous Ces floconsau milleu des bagages
Denain sur Santorin sous'un Ciel de lavande J'aurai au fond des Yeuxwant de bleus paysages
Qu'ausoir un soleilrouge Clamera sa légende... + C-LBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
PA NMEZ — be jour agonisait vêtu de teintes érises, Berçant son âme errante où éémit un adieu,
En instable équilibre sur une heure imprétise, Retarde la magie édectique des cieux. be jour vient se blottir comme un enfant peureux,
Refuse encor l'instant où le sommeil le éagne,
Quand le vent de son souffle l'apaise de ses vœux Eteiénant ses lueurs suspendues aux montagnes. eux rêves de caresses en (répustule aimant ,
1l pose un voile d'embres sur la terre endormie,
SÂlers que sous la voûte incrustée de diamants On habit de lumière scintille sans un bruit. Chaque minute s'offre une pierre précieuse,
butioles aux feux épars paraissent ou bien s'enfuient, Parfois un trait soudain! Une étoile éracieuse, Filante évanescence aux perles enhardies. eAlchimie d'or, d'argent sous le érand chapiteau,
b'aube silencieuse cache sa nudité,
Comme un dlewn blanc salut en ouvrant le rideau be jour à pas de loup va faire son entrée... CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
La Saison des ratures.. Voici que je respire au plus chaud du jardin. Sous l' arbre endeuillé étirant sa coiffure,
L'hiver s'en va mourant en un linceul dédain, Les oiseaux du printemps lui siffle des injures... La pelouse a fleuri dans la fraîcheur de l'aube.
De frémissants boutons corsetés de rosée
Au jour verront s'ouvrir leurs minuscules robes Pâquerettes jolies, habillées pour l'été. Le soleil a souri ! Pas un éclat de rire,
Un clin d'oeil pour qui veut réchauffer ses vieux os.
Les bancs ont refleuri de têtes qui soupirent Voyant passer le temps paisible au fil de l'eau. Ferez-vous comme moi aux premiers vrais beaux jours ?
Marcher le nez au vent, découvrir la nature,
Reposer vos paupières sous un rayon charmant Ôter de vos regards la saison des ratures... Quand revient le printemps entrecoupé de plaintes
De brusques giboulées font s'enfuir les rayons, Sous un bon gros nuage ils vont cacher leur crainte,
Attendant tout penauds que tombent les grelons. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
ETNE PAS TOUBLIER Bien peu de temps suffit pour changer toute chose,
Tu es là quelque part guidant souvent mes pas,
Suspendu dans mon coeur qui se métamorphose,
Comment vivre à nouveau sf toi tu n'es pas là. Laisse moi m'éblouir de ces nuits qui torturent,
Mes envies de ton corps bercées par tes baisers.
Mes jours glissent sans fin, j'écoute tes murmures,
Tu es là quelque part où je ne peux aimer. Le coeur épanoul je serai ton “sesame”,
Tu seras loasis de mon grand vague à l'âme,
Tu es toujours en mol i n'y a plus d'espace. Avec mille questions je songe à l'avenir. J'enfermerai mon coeur dans une carapace, J'ai peur de t'oublier, que vais-je devenir?
CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
see cela réver |. espoir peut sc nourrir de milliers d'impostures, À aimer sans l'amour, il faut être un peu fou,
CL OET ER EET C “our un instant un seul , me blottir contre vous. Vous dires que jai léme un peu trop ingénus,
(CPV AAA TTC // 27 27/207 El SLA TANT ER 7277 CAL AL ACOAL TEL EE 2707777700 Œt tous ces sons perdus parlant à mes orcilles,
CA LCOETCIE TAC 2 ZAC
(QUE TEET EN T T/722 On croit que le printemps va cffacer lhiver. COR ATP TEL ET LT CL
(CITE TS ICS LI LL LT
CRETE A LE LUE EC 22 CENTER ELLE TA CRETE TR 77 RE
Gt puis mes longs baisers qui ne sauraïent mentir
(CRETE ET AT ET 1 ste cela réver, ou bien est-ce mourir ? D D On: 2 | X TE
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
feuillage de nuit. SD jardin en jardin règne le grand silence.
(C/O CURE TUE A 08
ENCAT AT AT AC AE 7777 CRT ET RE RL LE EE Gtourdi par la ville sous un parfum de femmes,
COTE EE LCA T1 771008
OP TEE LT EL AA A 19 ECRIRE ALT 71/4 Se son ciel dénudé dévoilent sa lumière BUT T RL A TR L LL 707
Oes pudiques frissons, ses amours, ses MySIÈTES,
Oa rivale toujours en retient tous les chants. CA 56 couche, s étend, épuisé de clarté
LOT TETE 00700717
QC TR ET TT EE
Ruise dans sa pénombre mille at un préambule. CIEL LRU 87/2707 07/77
CPE TETE 77/1072
PURE TAC TELL RCE 0 7r]
@uvrant tout l'hortaon au lever triomphant CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Deuil crépusculaire.. E CRT
CE Le vent a mis ses ailes ensanglantées de soir,
Jouant de tous ses feux sur les boucles des vagues
Ceint d'un vaste soleil, l'horizon de madrague CA OCT PONT OT CENT A TRE LT TRAIT
£uxuriance de tons, l'œil du dragon s'octroie
Un deuil crépusculaire au tombeau de l'effroi, PAT A LCA LOT TR ET Sainte offrande, l'hostie plonge dans Les abysses
OR EC ANR RAT
DEL OP OPEL (5 20 COTE CUT EE UE A TE ET) Agités ou sereins, les flots tel[ un flambeau,
Pousse Le solitaire hors des fonds nébuleux,
PAC TION TOTALE IT TT à
PACE CET EE PTE CAE LEZ CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Sur le mur de ma chambre eu dans le corridor!
ge verrais, en entrant à peine sur le seuil, Un visaée amical chambouler mon décor. maginens l'effet ! Presque érandeur nature. b'imaée est insolite mais elle me convient. > Dans tes mains un recueil, mareçain acajou
Que tu aurais saisi sur la vieille commode, (elle dent le tiroir n’ouvre que par à-coups Et cache dans le fond d’innembrables rhapsedes. | <> Cette porte d’entrée sujette à l’aphonie Guvre péniblement sans trep d’effets subtils
ur un Vieux papier peint couvert de parapluies! [Qui avec les années n’ent plus rien d’anélophilel ge peindrais de l’amour et des couleurs autour
Çar l’illusion créée, apporterait éaité.
g’en ai un peu assez de crier mon bonjour Aux murs de men couleir, triste à faire pleur » class= »wp-image-439″ width= »690″ height= »1582″/></figure></div>
          <details style=
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
ETC TTE 0
Au beau milieu de son sourire,
DANCE NAT UN TA LEE €2
Jamais visage ne Le sut sesssess
Elle était cette poupée russe
Ce TETE CONTE CRT 7 17]
On ne voyait d'elle jamais
Qu'un sombre regard bleu qui fuse. Ses pieds comme deux tourterelles
Fouillaient le sol avec lenteur,
Sous sa djellaba de couleur
Vivaient deux ailes d'hirondelfe SSSR CAO RTE TI PNT TT 7 Qu'elle n'avait jamais vécu, De ses yeux jamais on ne sut Qu'elle pleurait dans son silence.
CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Des mots à la brocante... TA T7 77 A
Unepensée, un vers
CPL 0 Vote vers l'univers
EPL CT 52
272777777777 772
Qu'aucun aër de tango- 002707272077 772 EPL ACL a LA 2
LATE Re 02
Jront sans plus d'histoire Chez un vieux brocanteur…. PER PTE
LL CE A ee
IT 227 2072
NEPAL LEA CPP LT 7e 2
LPS APR PT ATP
LT CT TT 70
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
(on C'EST QUAND DESCEND LE SOIR, DERRIÈRE UN RIDEAU D'OR
QUE GRANDIT LE REGRET DE CEUX QU'ON & PERDUS ON AIME À ÉCOUTER TELLE VOIX D'UN STENTOR LES ÂMES PRISONNIÈRES DES AMOURS DISPARUS. MIEUX QUE DES MURS ÉPAIS, DES FENÊTRES BIEN CLOSES,
L& MÉMOIRE RETIENT DES ABSENTS, LES ATTRAITS, LES TRÉSORS D'UNE VIE DANS UN JARDIN DE ROSES SONT CHARGÉS DE PARFUMS ET DE MOTS FAMILIERS. QU'ILS VIVENT AU PAYS NOIR, AU PAYS DE L'OUBLI,
OÙ CELUI DES MERVEILLES ET DE VERTES VALLÉES
PCA NU SA ET EAN AN AN AN UU TA ILS ONT TROUVÉ LEUR PLACE DANS UN RÊVE SECRET. LE JOUR EFFACER, ÉCRITS SUR LA POUSSIÈRE LES MAUX DES SOUVENIRS, QUI SAGES CÔTÉ COUR,
ATTENDENT À NOUVEAU UNE SCÈNE PRINCIÈRE, POUR FLEURIR LE THÉÂTRE OU SE JOUENT NOS AMOURS. ÉNETEI ES
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
D'un ciel fipé d'ennui les nuages sévères CPromènent leur notrceur sur l ville morose,
ou que sur les toié et les fenêtres closes
La buuine d'un avtit, Ce, Prntanière, (Golore ls murs gris de quelques ecchymoses. S'engoufhe dans ls vues, un vent ébouriffé
Qui ne sait où aller par Uliver qui Le pousse.
(Ge vieil hiver corn gui ne veut sen aller,
Pourbu, endolori, que Le printemps repousse, (vec des éclaircies qui suvoiennent en douce. (Fimides, juste nè, deux, to rayons jols
CRévent d'une aventure en taveusant Le Éoù.
er ls coteaux füteux, lagonie de grand froid
CPiôle une ultime fois Ls arbres vabougiis. Le ciel cet impatient met Wu tee en émois La parteues on fleuri et la maison tepire La saison de l'espoir vééerit sa chanson,
L'oiseau zefait son nid, vois Le jour ! Sly étre,
Et be Élu de ces vagues au lointain louÿgen
Fait Jenger aux Gnqueurs d'un éternel. Joupét. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
x étoiles sans mémouvoir,
Dai dit : «Vois n'êtes pas heureuses
Ce be sais Bien car dans te note, Ve lumières semblent amoureuses. & 77774 aux petites souris,
en vois une, puis deux, puis trois.
(Chacune de vous dans sa nuit, Véddhais que & monde la voit. É Csise le sun Le perwon, De m'éblouis Bell éphémère
Les yeux fixés sux 009 doux noms
Le cœur semble pla solitaire.
Les heures comme vous s'éffacent,
Disparaissent au fumament, & éteinhe le temps qui passe Le temps secret court dans Le vent… É'estompent aussi ls illusions.
er vent mourir sans aventure,
Dans À lc des désilsions
ous un ciel étoilé dagur… CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
COR 77 PT LC LT (OR ER LOL DATA TA LUAL 218 CAE TE EE 7/72
Rieusé, elle se moquai, oubliant mes tourments
(0727222000 ET 7 2 ous un terreau mouvant orgucil de tout lettré
RAT 07772
érdure de tendresse dun amour empétré
ET LT EN ET CA 11/2 002777272770 007 Ce Le
OCEAN TE) NE
es semis étouffaient serrés par trop de vers, DENT LL CL PR LR ALL OR AE 11 OT ET ET 77 77
CT EE ETC 777
ous un cœur en jachère dansait x capucine
Ses mots un peu plus las, récitaient leur comptine...
EPP
CT RE EL 770 070 CRE CL EI I A LS 7 2771008 CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Les saisons ont passé sur Votre éloignement. £t je Les redoutais ne pouvant vous atteindre,
Tel un fruit suspendu, balancé par Le vent, La douleur de mon cœur appelait à me plaindre. Je voulais de l'automne et de l'hiver obscur,
Chasser Les vieux démons qui fantaient ma mémoire
Vouloir encor' des nuits ébimées de froissures Vous chérir de printemps, renaissance d'espoir. Je vés ainsi, meurtrie, seule entourée d'images
L'aube, Le crépuscule, m offre cette joliesse, Je garde mon amour colorié de nuages, J'aime tant à chérir Les regrets qu me laisse. J'ai perdu Le sommeil un peu par habitude,
Quand Le soir obscurcit la chaleur de mon corps,
Je ne puis m'endormir, là est ma certitude Sans vous afmer foufours, SANS VOUS AÉMET EnCOT : CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Elixir de Sagesse Tu m'as grabé Le cœur d'une cruelle empreinte, LETTRE TUE TUE UT Ten
Quelque chose de toi, Le sceau de ton étreinte, Ou peut être Le poids de l'amour effaré. ÉRÉTE CU TE Ur tr CETTAC UT EU CUT ES UUT E CUUTre LE SA TLON
ORNE ET ET TUE Tr TS TS RTE ON er En ETS EUR CRC ITR E CON Car enfin dites-moi, bous réclames tendresse! Je connais botre cœur fermé à tout espoir, ÉA
ET TS UN Te GENS TA &
è que j'aime à bous dire et aime à bous boir. se
Cette marque de bous ne peut ternir l'aurore, 5 ETS RTescA UE UT D (TR tte Ta tre SUITE É
Au cruel crépuscule je bous attends encore, S 31 n'est point de fardeau si Le cœur Se dénoue. Soutent par La tendresse, Élixir de sagesse, 3 faut sans défaillir, constance à aimer, Bormant dessous La cendre, il est une paresse CET SES TTADUTRE SET aUr
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
CAL 227777207777 772
Pour ne plus êhe qu'un, an arbre presque Humain
ZA LA LL AT LL 1 LT 7 0
772727770777 CLR EEE EE 27
(027727777722
2722720777 LLC CAT TT 277 (C277877772777777272207777 € adonger sous L chêne pour deviner b ciel «27772007772072777 2777 2
CELL TL 27
(CRE PE
CRT IT 77777 LT LT C2 LOL 020707770170 Pour dun soleil couchant adnier U beauté (C777772 que dame 727712 PATA 77/72
ECLETF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Vous sergz maintenant le meilleur de ma vie, Vous mes jours qui fuyez, qui échappez au temps
Que d’automnes pleurants gt rudes hivers si lents,
Gvez-vous dispersés à mes yeux éblouis. Qu de feuilles avez-vous fait danser sur Îg sol
€ïi de rosiers fleuris ont éelos au printemps,
Que de rêves avez-vous parsemés sur Mmgs ans,
Mon cœur souvent a fui à vivre egs envols. Libre eomme lg vent, être enfant dg la balle, Moi qui ai tant vogué sur des vagugs de souhaits,
Jai pareouru fIlisade du doigt d’un éeolier,
“inonnent les exploits d’un Ulysse en cavale… Suspendug à l’oréc des arbres où l’&mg fane,
J'aurais voulu graver sur ehaeun ma jeunessg,
Goûter à egs amours sur eanopég d'ivresse
Rire sur egs chemins que bordent les platangs. La routg de la vig met lg cogur aux agugts
Pe galoches percéss aux gsearpins Vernis,
L£ temps a façonné eg qui jamais fut dit,
Vous que j'ai tant aimé gt vous que j'ai haï…… CLBP
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Foro 0 reste) 00) 00) NU 0 IE QG QU QG QG 20 50 AUS G ANR) EU 10) LG 0 50 0 50 LE 50 F6 50 06 QG SG AR) 0 10) 20 10) EG 10) EG 0 5Q F6 500 5030 500 3050) 3050) 050) 050) 300 ‘Une nuit sans sommeil passée au bord du lit, BR ea RATES TA ET CN ENT TR
DAT SAT A TT EE D LE NUIT TA “Vouloir de [insomnie aller à contresens. Æt voilà que l'esprit, espion de tiretaines
Guette [a moindre faille, limposteur va camper
Là! Derrière Le front, il dénouera sans peine Tous les noeuds d'une vie que l'on aura tissée. Soudain viendront Les voix , [a mienne, puis Les leurs.
Ft ce que lon a dit et ce que [on a tu.
LL TT D ENT NT IE TT 2 ‘Un discours que l'on tient de mémoire, conçu. Qu'il est long le chemin qui conduit au sommeil.
DORE ENT CES LT (217
Quand l'acier de {a nuit se pare de conseils, Les paupières alourdies s'ouvrent à l'autre monde. Alors sans préambule un rêve se faufile
CT OR TN POT OET TO ICE TT RE ETES
Sous lendormissement, Les heures indociles VAS AA ET TO EIRE T1 10 77 T2) CLBTF LOLLIVIOLLIV LOLLOVLOLLIVIOLLIN LILLIVLOLLIVIOLLON LILI IILLIVIILLOVLILIVIOLLIVLILLOVLILIVIOLE
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
S S Î'ai le cœur aus gros qu'un recueil de érlaine
urd du temps des secrets de saisons envoléts,
Pfléant tous ls maux de périodes lointaines
Qu une plume empressée, veut immortaliser !
D rêve s en revient d'un temps qui l''exila.
CEmpli du tourbillon d'une chaleur d 4e
Gnieré des parfums de jasmin, de bles. Dans un demi-cema de senteurs éhérées in cœur est plein ce soir de brume coutumière
Qui faute de candeur recrequeville l'âme, Blâs le temps n est plus, des larmes buissonnières
Ont creusé un sillen d inselents méledrames.
Découvrir par les mots Le chemin du plaisir, © 'emparer de L'espoir que suscite l'écrit,
Drcublé par L'émctien qui ne veut pas mourir, D @ poète ouvre monde qui n ‘aphartiont qu à lui. SSSSSSSSSESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS SOS S Tecccece CLBT GECEÉCCEC
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Vois l'automne s'enfuir, là-bas parmi les arbres,
1! cache ses brûlures sous un Ciel tourmenté,
Quand l'hiver le sournois s'approche lamenté Avec de gros sanglots en nuages de marbre. Octobre empressé comme à son habitude
Aidé par on ne sait quel petit plaisantin, De poser ses Couleurs de soleil et Cartmin Poussé par quelques Vents, archet d’un doux prélude! NoVembre le suivra sous un tapis de feuilles,
Dénudant chaque jour les ramures pudiques,
Ne restera alors sur leurs bras squelettiques Qu'une peau argentée d'écorchures en deuil. Alors tout doucement d'aubes en CrépusCules,
Décembre glissera Vers la nouvelle année,
Comme une mer d’opale les Cieux seront fanés, Laissant tomber au sol des flocons minuscules. C-LBF 04/11/2011
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Une saison désemparée,
Un toit pentu couvert de givre, Le soleil pâle plisse son nez, Furent les eaux de vapeurs ivres.
Sous son bonnet de laine blanc, La cheminée souffle sa peine En cumulus gorgés de vent
Poursuivis par deux tourterelles. Et ce manteau d'épais brouillard
Pareil au ciel couleur de neige,
D'ombres e:: jupons flous de dentelle
Tournoie au gré d'un vent frisson.
Mon corps s'habille de décembre,
Mon écharpe de lettres vole, Pose sur les sapins géants Les mots frileux de nos hivers.
Phrases rondes en boules de neige
Bulles de soie douces aux lèvres
Posées en flocons sur ia langue, Je bois ta fraîche poudre blanche Pampille 01/12/2010
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Sur un archet mélancolique
Mon cœur se plait à l'abandon
Vagebondage d'Hlusions Sur quelques notes de musique.
5555
L'été boude encor’ le saison Un rideau de pleurs se lamente
Sur l'allée parfumée de menthe Enbeurent l'air tout à foison.
5355
Êt les montagnes ef ces nuages Mer de coton aux fils de pluie
Tombent du ciel en friste ennui Tanbourinent sur Îles images;
5555 Les fleurs se noïent sous le nectar
Déploient leurs pétales d'étoiles
L'eau claire ou se mirent les voiles Piquent leur peau de part en part
5555
Un ruisseau court puis se foufile La rue franspire de vapeur
Les parapluies ouvrent leur cœur Une ondée recouvre le ville.
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Voyez, jg versifig… ün jour jg ng pourrai plus jamais vous éerirg
Lg temps à bign des tours dans son sac à malice...
Jg n'aurai plus dg mots, de egux que je respire Je erains dg n'avoir plus dg vers à mon service. Qu£g ferais-jg de vous au fond dg ma mémoirg
Déjà par trop absent, je trouvais à vous dirg
Lgs pgings dg mon cogur sur eg vigil éeritoirg. Quand bign même sans vous j'exprimais mgs délires Je vais vous oublier dans mon plus vigux tiroir |
Car pour mg souvenir dg vous avoir aimé,
Vous l'avigz bien prédit, je ng pouvais y eroirg, Je devrais d'un pogme lg relire à jamais... Je ng m'inquigtg pas, je vigillirai ainsi,
Auprès dg votrg absgneg que j'aimais à combler,
Car vous m'avigz quitté bign avant mon oubli, Voyez, je versifig, avant qug d'arrêter. CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
ROUTE TRUE Que l'air est donc mélancolique,
e M Ce soir le printemps est heureux, IL se parfume de musique Enivrant les cœurs amoureux. Il est un lit d'herbe et de mousse
Dans le petit bois ombrageux,
Pose tes mains brülantes et douces
Sur mon corps orageux. Laisse ma muse ! Ne füuis pas !
Mon esprit s'envole en murmures
Ecrire où rêver n'est-ce pas,
Epouser un peu la nature | Gours la plaine cheveux aux vent
Reviens me dire les mystères,
d'écouterai encore longtemps Le vent soupir de dame terre. (si tü t'en viens briser mes ailes,
\Laisse-moi dans le petit bois, Ya chercher mon amour fidèle ae Dis-lüi ! Non ne dit rien, laisse-moi .