> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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Sans le fond de mon cœur 1 Ce voudrais qu'il s'apaïse..
COR CE OUT ER CE EC
CALE ATEN ET T7 772 Ce bi tisse des joies au fil de ses espoirs. OUALLA ET E 0002
ET ER ET TE 79707
(CRT TT PR 2/72 CNT TE ET CCE CE 70/7102 A est amant fidèle que je ne puis comprendre,
CORTE TT CT EC CEE 00
DURE CRIE LE 27 Voves donc sa candeurl il se croit votre écho. (C7 NT CPE
A parfime mon étre de ces pierres d'encens,
CCE CUT LPO OR AS
Gn volutes charnelles que fréle l'indécence. (CPE ET TE 7 AE
(7277 TE EC
CPRE ETAT DT TE TRE 77777772
otre cœur mon amour voitil donc assez clair ? CLBF
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IL A PAIT PLUS QUE SON PEVOIR... Laisse mon cogur dormir tranquille,
Il a fait plus que son devoir.
GCommg un vol d'oisgaux qui grapillent
Il a parcouru tant d'espoir.
Laisse mon cogur sg reposer.
Get âtrg où rougit la souffrance
Mourra faute de destinée.
Il ng veut plus de ses romanegs.
Laisse | Laisse pour qu'il oublig (l
Get élan fou qui lg torture.
Qu'il soit eg moi que je ne suis,
Un cœur habillé d'ang armure.
ÿ Laissg-le donner du tambour,
Gogner mon sgin d'incertitudes.,
Pais-lg vibrer sans voir l'amour Sa sçulg gt unique aptitude. urtout ng viens pas lg chercher, aché au-dessous de ma robe.
Il pourrait soudain s'arrêter | Pourvu qu'il battg encor’ à l'aube? CLBF
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Restons chez nous, il ETS RCE NE re EEE ere rleles CNET CNE CLOS Où irions-nous avec nos peines?
Tentons une douce folie,
Nous pourrions aller là, tu vois
Sur cette carte, ce pays SV CU]
STE TEA rer ee CNT ET Toi qui écris, moi qui radote. C'est ce que j'aime cher Monsieur, Avoir des humeurs un peu sottes.
J'aimerais tant être avec vous,
DSTI EE Ca EC En TT ETS
Chez vous, chez moi, l'endroit est flou, Nous n'ayons jamais notre place.
Je ne cherche point de querelle L'idée se traçait un chemin
Entre vos bras comme deux ailes
J'aurais trouvé mes lendemains. LEtretlte
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Fruit défendu Ce banc au bord de l'eau quand fleurissait avril De mes jeunes amours en garde-t-il la trace?
De ma robe en corolle amidonnée d'espace De mes seize printemps savait-il le péril? De ces premiers émois la pierre solitaire
Me rappelle un visage ainsi qu'un noir regard,
Une main dans la mienne ef l'odeur de la terre, D'un baiser maladroit nous goûtions son nectar. Le banc près du platane a gardé ses marbrures,
Lettres sentrelacées cœurs gravés désuets,
De timides amours au parfum printanier, Fraîcheur d'une jeunesse courant vers le futur. Les souvenirs peuplent nos rêves de fantômes,
De ces secrets brodés, ourlés d'adolescences,
La mousse a revêtu le banc des souvenances Et du fruit défendu qu'à croquer on ne nomme! CLBF
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entends un Liste chant en man cœur jsrouné Uysg, fe ne sais pas nous aimer autrement
2277777777777774 Dites-mar au leu #as, déspenssg nes Haisers, ue ne seret jamais aussi pris de lameur débééhééhééééhé par dencre l'oubli D Cest que hien madpré Lui il ue sentait Hlessé
Ahhhhhhhhhhhh hé Le sateil it le fou, l'aube it Le cripuseute ai dentoléma aie aux contaurs de Li aêtre Has désirs ne sont plus, mais il demeurent nôtres. Ahhhhhhhhhhh héhé Sakrouue ane ishe aux frais matins d'hines,
Le Bais à astre saunres, Éélautsante dl elaire
aide de aus seul je crée man atmosphère CLBF
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J'ai dans le noir des yeux un reflet qui, tremblant,
| Suit la noi de l'onde que trace le chaland,
Quand dans le calme plat sa lenteur m'ensorcelle, x EU ZA TR TUTO 7 TUE vol d'hirondelles. De UT EN voiliers de [a mer, RETZ TER Le blessures de guerre, AL. sur la 7 in'est d'heure Por tienne m'est un doux repos en mon âme sereine. Pre CEE TE TT TT TEL OT ET 72
n LES
[14
Es ée de clapotis que le tirant entraînent,
TRAIT algues entremélées se sur l'eau portant sa batelée RAT pleureur d'où s'égoutte la nuit,
‘Ma pensée s'évapore, ainsi le temps s'enfuit.
L 00) en vagabonde au fil de L'eau dormante. Avez-vous remarqué comme la vie s'invente ! CON ET PT TETE TA TT LE 112
on ventre lourd de blé aux entrailles serviles,
ti CNT TT ET OT LT ET DTA el Faisant fi de tous maux, elle en oublie les fieures.. CLBF
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Brâôle de tie | nr nr cp
ÉCART EE PET ETES
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i sout G, silencieux, pénétrant bans La fair
CARTE AAA UT ET TE LA
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CORTE ET ET COPA AT TT UT
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ÉBerais-je conbemmée à vivre dm Borfeur
CORPORATE CLBF
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Rainture Se Brigitte Cfacques @u lle Peut 1% CHMon cœur, 16 voilà vieux, que me demandes-tu,
Peuz-tu encor souffrir, mettre à nu Les Serments,
ors qu'au jeu de l'amour toi qui sais ce qui fut “Rour un bout de ciel bleu, nicrais-tu nos tourments. Toi ma mélancolie qui pêse sur cé cœur
CNE seras-tu jamais qu'une ombre fügitive,
@u un souvenir errant, un affabulateur Mais qui sans autre but aide tant à survivre. @uelle est cette douceur qui calme les sanglots
Gn de sages pensées dès qu arrive l'aurort,
Gt puis ces battements qui montent aux créneaux Cl un ennemi sourd qui s'empare dun corps. Ce sais de ts silences l'impensable mémoire
4 douceur dé ce temps où battre était heureux,
SD un soul petit bonheur tu brodais tant d'histoires CHMon cœur, parle à ma vie, dis-mot ce qu'elle veut DPPPPPPP PP PP PDP PP PP PDP PP PDP PDP PP PDP? CLBF DppppDpppDP op monnppopnne0) Déc cocotte
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I{me semble pourtant que vous êtes méchant ! Vous avez des fumeurs de silences oppressants,
Cruel, vous m'infligez la torture des larmes, Æn blessant mon amour de silence, votre arme. Mon esprit s’effilocñe de pensées vagabhondes
‘Une peine est entrée comme un torrent qui gronde,
Pourtant c'est encor vous qui au travers des pleurs, Redessinez ma vie d’impensables bonheurs. Mes jours comme les vôtres ont besoin de bonté,
S'il nous faut plus de temps pour pallier aux hivers, Espérons du printemps qu'il nous scelle à jamais. Je ne berce d’espoirs que dans ce peu d’instant,
Dans cette solitude qui alourdit Le temps, £t rappelle à mon cœur que sans vous il s'enterre … CLBF
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SDavoir trop attendu la tendresse promise,
CHoi qui nignorc rien d'un cœur longtemps dégu,
CAO LE TT RTE 77/2
C7 7e RCE PE 772 vous qu'simer semble étre un amour impossible,
CAC AL CETTE CE 2777
CEE PORTE ET 1072
277082777007 77870772 OR EC 07 LICE ET 78
274227704072
craït commerce vain de l'évidente erreur. ET LATE AL ETT EL AC
CRT TR CT CE 077 2 CLBF
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1 KE He
XX ÿ à fprès m'avoir aimé qaclques jours, pour me plaire
Je n'ai plus que les cieux témoins de nos amours,
C'est dans eet horizon où, fermant mes paupières Je dépose mes songes an peu plas ehaqag jour. finsi je touche £neor' da doigt de l'éeritare
Pans an nuage blane mor immense chagrin,
Poar an vent de folig an vent de déchirares Ae restent qag mes geux gt ma tremblante main. Les uns me sont courage à chaqug aubg naissante.
L'aatre, je la fais mienng au canevas des mots.
Les deux me sont témoins d'un désir qai me hante €erire à l'£nerg morte dans la paix d'un fardeau. €s-ta dans lg repos, toi qui durant l'orage
Oabligux des avants, les demains improbables,
fi erée an gxil aa miliea de tes pages. Voaloir an peu d'amour me rendait done eoapable... CLBF
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Gomme un vol de phalènes
————————— Épordument blessés, je viens vers loi tristesse,
Découvrant ta bonté. tes aimables laideurs.
Vers toi où les douleurs doucement disparaissent, Tout au fond de mes yeux en réves de couleurs Corte de ce cocon où sc complait lx peine
ŒRôde chaque pensée en des réves sans fin,
Rour que le vie éclaire le vol dé mes phalènes
Ces papillons de nuit avides dé matin @uand, épris de bonheur le temps à tire daile
crée le souvenir où lentement, sans peur,
Ce oiscau migrateur dune saison nouvelle, Orouve on ma main le nid qui retiendra son cœur CLBF
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avais écrit lamour comme on parle du temps
Avec des vents d'orage ct de bien douces brises
avais écrit l'amour avec un ton charmant @uc Le lemps fait passer avec sa mine grise. avais dit des je l'aime” tout comme lon respire,
Cette conjugaison flattait les cœurs batiants
avais dit des je l'aime aux ponts dé mes soupirs Afin de voir glisser de fapants sentiments Our Les pages rodait tel un roflet dans l'eau,
x mort désespérée d'un frémissement pâle.
CYaimais plonger ainsi dans lencre dé mes mois,
Ce lissais mon langage en de roses sépales
ec silence est un bruit qui hante lécriture,
Ccantôéme du passé qui jamais nc mourraït
es mauz nc cicatrisent que dans Lx déchirure,
Ce n écrivais l'amour que pour micuz vous quitter. CLBF
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JADIS UN MAÎTRE... Regardez, la maison grelotte de frimas
Son toit sa cheminée recèlent des tuileaux,
Le vent désenchanté décoiffe ses éclats Ses murs sifflent un chant aussi triste que beau. La vie ne lui fut pas toujours aussi légère, Ses pierres ont des secrets qui souvent la réveillent.
Complice des silences, la vieille chicanière,
Derrière les volets a le regard qui veille. Le DUO TT EIRE R
ETAT ETAT ARE D CT Car VTT DOTE EER
Que le blé soit rentré, que le soleil décroft,
Elle sait des saisons reconnaître l'effet.
Elle pâlit au vent, se courbe sous la neige,
Son âme et un coeur pur, restent son héritage,
Elle sait accueillir, souvent elle protège
TETE TT UE LATTES
CUT CO EE TAC TNA
Que son linteau de pierre au-dessus du perron
TE CRE CR ACTE OT OA C'est qu'un maître jadis lui a donné son nom.
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GC? est Pan LR A PTE 1) fe FE, LITE TTR
CD un PT PA CT “P une dine,
Où je CAPE PE Ar Cy 2 Dr AT Cri 2 mettre de l'esprit dens mes zers ET
DK So j'étais LS 27 PACA 7724
C7 79 2322 dans mon ceryeau VE PA
CET Tant PTE À Lesbnfe”
SATI LIT IT AIT re PAPA MOTCEAL, TT
Cp} LA alexandFins, ä L PRES se né
ee Pr 71 PÆ LOT PRET) 7 consciente Grire 777) CL STE com
A 7 VA RER qu LA 74 ETC 2
Ce PA C7 de tourner en rond
PER RTL IT endroit lappé,
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APT PATRATA Are fanale… SAT LT CPAS ET
2 end CTP PS té GATE T4 CELA
ASC CD RE, JP 72 CS 77 72177200 DÉUA DORE RUE regard.
(CET [ni il passait là ETC ST basard...
Oserait-il Braver l’interdit de mon père ! © ciel ! mais qu'ai-je fait pour gagner sa colère.
LIEU garde enfermée, prisonnière, à quoi [ITA
Gr ET connaît pas (PETER BTE t me cloîtrer tout en baut d’une tour
Rien ne m'empêcherait de vivre mon amour... Pourquoi PLU CTILT TEE LT mes chers PLUIE)
LATTC meilleur pour leur unique enfant. S CSC TT LL TE ignorant tout de lui,
rt TT CETTE TA CICR LT
ET ETC mal, CCC PTE Ce (0 J
Son TL ne ment pas, il n’a rien de futile. Pour lui mon coeur s'emplit d’une immense tendresse Du LUE CA re que mon propre tourment, DRE T CURE CE NE A TA Je ne LAIT CL LT quitter ce sentiment. ETC TE 177
CLBF CET LEE LEP
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J'AI TROUVE UN FIGEON J'ai trouvé un pigeon ! De nos jours partager est un mot à le mode, î D
rtatamn ecrans DUPONT ES ETC PE TSCUES EST) Trop de place, de temps (Pigeon sans domicile fixe ) F Encore un innocent vivant sa dernière heure
DÉCES CEE CETTE bobé a UP C7 Ë nt
CEE PAST EME RENTE EE Un mauvais jour de pluie Je devine son oeil, DEN DEPLEMETdCLUTS n se Et see À
CDR ÉCURIES Te ET IE PSN EE Eee ROLL CRC CCE Le fordeau d'une vie D 7 Un moral de lundi. LPS RP LE EURE NES
RTC LUC L'envie ne prend, bien sûr,
J'aperçois le minet, fapi derrière la roue 27 D'un vespa déglingué. LA D'un repas dont lui-même aurait été Île plat.
Mouillé jusqu'à le moelle, l'oeil noir du malhonnête. CRT NET M Moustaches frénissantes, les poils du dos dressés. (ERREURS. Un repas de Noël, X Et depuis ce jour-là, j'ai un co-locataire
Chic ! Le festin parait euit ! CLBF
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JEU D'AUTOMNE... Clairsemés de nuages que pénètre le ciel,
Les arbres des allées se meurent, dépouillés,
Décoiffés par le vent, perruque éparpillée, Dans là mélancolie d'un temps confidentiel. On les voit dégarnis sur un livre d'images, CONTE SE Tue STE TEE TAN Lee LITE Do) E Mêtant au jaune vif une traînée de rage, Des rouges safranés, des carmins de décor. Novembre printanier a de drôles d'idées.
BEIC ere TENTE CET EAST A
LEE UT A LU QE TUE CEE TC Des feuilles bariolées retombant sur sa tête. De ses branches amaigries, nues de toute splendeur,
SET EU da RAS Le
Courant après le Vent, pourCchassant des couleurs Dans des éclats de rire éveillant l'agonie. Valse des petits pieds hésitants, malhabiles.
Allant de l'une à l'autre sans pouvoir retenir,
DÉS ASE OUT OT LEA TE OI CA Les peintures d'automne au fuyant avenir. CLBF
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7 Bus1
Quand je vous offre un poème, Parfois Le vers est prisonnier,
Mon coeur ne le reconnait plus £a bouche voudrait bien le dire,
‘Une partie reste en moi-même, e CA à Mais des lèvres à l'encrier, Jamais ces vers ne seront lus. { u [ devient très vite un sourire! mais Ces Vers I Et pourtant Cr Ne seront Lus 2 Ilen est tant qui se bousculent, PTT ES UT Qui s'entrechoquent, se trémoussent, PPT TC
2 Certains palpitent, ridicules, Barbarie que tuer le son D'autres esseulés filent en douce. ET EE TE E TL C
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AUS OLEE CETTE) A vivre près de vous à l'ombre de poèmes,
Partageant votre amour avec celui des muses,
Cachées dans votre coeur, qui souvent s'en amuse J'effeuille vos pensées se jouant des je l'aime À l'aube d'une saison l'une d'elles vous emporte
Bien au-delà des mots dans un monde ignoré.
Déesse au corps d'argile, donnez-moi donc la clé De ce soleil divin qui m'ouvrira sa porte. J'aimerais m'endormir sur ce lit dépouillé
Mais vos muses lascives y prennent toute place,
Alors que mon amour comme un doux champ de blé Ne cesse de trembler sous le charme et leur grâce. Durant les soirs d'hiver cette fébrile flamme,
Qui brâle votre coeur de mille éclats de mots,
Faits de glaise pétrie, de marbre, d'albâtre ou eau, Elles sont le pouvoir et je ne suis que femme.
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Lg temps vient frapper à coups dg martgau
Hos frêles épaules.
Il ng quittg plus notrg vigux manteau Que les ans ont blanehi dg ehaulg. Frère, après avoir perdu l'enfaneg
De marehg en marchg sous nos pas,
O Piga, Ia souvenaneg Garde lg goût de eg trépas. Ten souvigns-ta, j'étais ton ombre,
La chaîng d£ ta liberté.
Et commg an voilg qui l'obombre Ton ailg m'a protégée. PDevrais-je souffler sur les eendres Du feu dg nos jeunes années ?
J'aimgrais, sauras-tu l'entendre? Te dirg eombien je t'aimais…
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J'aime Voyager le lundi! Mise sur mon trente et un, Je prends Chapeau et parapluie,
Comme ferait tout un ChaCUN. Partir pour forger sa jeunesse!
Hélas pour moi il est trop tard, En vérité plus rien ne presse Janais je ne quitte la gare.
Et quand la voix du haut-parleur \ Apnonce d’un ton Chagrin = Quai un! voie deux ! J'ai mal au Cœur !
Cacophonie et tintamarre Le parapluie à mon côté Ah qu'il fait bon Voyager Je vois souVent des gens bizarres Sans avoir les inconvénients Courir partout, se bousCuler.
D'une valise à traîner Avec l'âge on prend du bon temps... PAMPILLE
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T parles sentiment cœur ESS attitude,
ETS ECS ACER VIS PETER 2 J'ai bien servi +a cavse, Loan m'en Caum L'amour naissait en moi +el un ECC CL
PRES E EC DENCCECE 2770 LEO CCC ES Je +e bénis encor’ brasier de ma TC
Sous les cendres éteintes revivent des brülures, Germe de fantaisie égaye me vieillesse! Hélas ! Trois Fois hélas, mordu de cicatrices,
ES D ECTS je Ce LCA CO TC EE CP CSSS EC CCC CE MSC
Un pas sur qui le sien adop+erait l'allure, RESTE UE ECO CLBF
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4 Ô vous qui êtes sur la rive Si prochg gt si loin à la fois l #
Vous mes gnfants, mes trois dérives ay Qui m'emenèrent au bout dg moi; Vous qui guidgrent mon navirg
Bravant tempêtes et folies
Jamais mère n'eut plas plaisir Qu'auprès dg vous qu£ je chéris. €t si an jour sans erigr gare
Mon coguar egssait tous battements
Sachez qu'ailleurs dans nullg part Je vous aimgrai tout autant. Quand l'hgurg sera à la peing
Sogez ensemble gt pour toujours
Unis aux maillons dg la ehaîng Qu j'ai tressé de mon amour. CLBF
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Dans un bague reqard SEvrhormère pointe par Om feu Roll Radiou mamam de Sans 96 ans CNRS TITRE ARIANE RTC UT:
Se fais plus naître en moi ce nébuleux silence,
SERIE CURE UT ART CA S gémir sur ma bie, oublies-tu ma présence ? Semblable à la fumée étouffant l'air de brume
LME A TER UNE TR TEA
Et s'il frémit d'amour, lentement e consume; TOC TUE CU ITA ERRONÉE AI CA
L'appel de cet enbol se surprend à rêver,
ENT cire Ca Cr À CETTE CA CA DAC TR AT ER ETES PART TRUE RTC
ER RC RETOUR TUNER
CETTE EAN RUE (TS
ROUTES CRU A RON CAT CAT: 2 CLBF
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Ce vous imagine, à votre main lx plurre,
otre regard sc perd au-delà du jardin,
Au travers des dentclles d'un rideau cristallin,
Aussi léger que l'air, aussi blanc que lécume. ous écrivez CMadame, et celx nous enchants,
és amours sont si belles quand Lx rime se jouc,
Gt qu'à tourner les pages votre âme est plaisante, @uand vos mots en collier sont de si beaux bijoux. Sans ma main votre vie s'écoule comme un fleuve,
Chaque page tournée est vague d'émotion
es feuillets sont jaunis, mais lécriture neuve Ravive leur fraicheur, enthousiasme le ton. | Cage, votre cœur laisse entrevoir vos failles.
À or voix est jardin, vous on tes la rose,
otre nom en bouquet chante Anna de ailes livre référmé, Comtesse, je vous pose … FEB
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Alceste à bicyclette... ST était Là morbleu | Cat acteur trublion
ans mentir je venais d'oublier tout le restc, C1 devant mon écran je menivrais de sons, Eucchini survolié s'appropriait Alceste. es mots étaient si beaux , parés de tant dé grâce.
CHolière est un génie, un homme vénérable. E alexandrin vibrait en maître dans lespace ec verbe jouissait détre aussi respectable. Comment |! Vous n'aimez pas, lacteur vous indispose ?
‘Leut étre dérangeant, maïs avoucs quand même
@uc son jeu le menait à étre virtuose. es mots fusaient ainsi de monème en phonème ous, qui lout comme moi, écrives sans relâche,
KE perdes pas de vuc quoiguen disent certains
@uc dousc pieds il faut dans un vers qui nc fächc, Ainsi lautcur comblé n éprouvera dédain.. KE prenes pas ombragé, là nest pas mon propos,
Came dens lécriture Le rime sans faus-cols
Caccorde je l'avouc un écart, un bémol es pieds, je les admire. Œcoutes leur tempo ! CLBF
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Je suis un jardin suspendu Serait-elle intelligente Un pru bancal, un peu fyrdu Bit le père de Ja « savante », Etouffé par des tas d'idées, Le frère reste abasourdi Mauvaises herbes d'un passé. Coranent se fait-il ! Elle écrit ? J'étais oublié, en jachère, Mais où va-t-elle chercher ça,
Pourtant j'ainois bien le gronnoire, Curieux! Elle était si banale,
Petite fête sans valeur, Et noi de répondre C'est là! J'avais des phrases pleinle coeur. Je puise 1à où ça fait mal.
La fonille s'en étonne, Bans son cœur percé de chardyns
Êt pataïi gt patata, Recyuvert de terre à gazon, Cornnent! Elle aligne des mots M germent quelques fleurs sauvages Toujours sun satané eulyt! Des mots qui poussent sur ses pages CLBF
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Je regarde d'en haut mon pays basque heureux, APR DE OZ A LAS DR CT RTE TS LOT 2 6 Repousse un peu de nuit et son silence hagard.
Le 6ruit plaintif de l'eau, joyeuse prisonnière
OR RTE ET ET CET ET
Au milieu des grands arbres où filtre la lumière Bien d'autres lieux propices à quitter son chemin. Tout tremble, tout frémit sous un printemps précoce, Et, sous l'azur caché percé de flèches d’or D'immatures rayons dépourvus de négoce Réchauffent la fougère sensible à ce décor.
CETTE RE ER CAT TI PNEU TES Parsemés de moutons sur toutes nos prairies
Laissons là tout en bas ce village au doux nom, COTE RTE TE OT IS LI OE A LT LA TETE
Aussi haut, aussi loin où le regard se pose,
DORE TT OT TE TE ET EL EE
COR LAN ET CAT EEE TE Tout semble éternel, ineffable, divin. CLBF
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us aurions très bien pu ne famais nous aimer
Ft ne Jamais ouvrir les portes du désir.
Derrière les Veux dos, fermés à l'avenir, fes peines de nos COCUTS n ‘auraient pu se trouver. Tec des maux secrets que nous ne distons pas, Pourquoi parler tout baut, le silence a ses mots,
Je goûtais au bonheur comme on goûte au repos, TX mêler nos deux vies sans lutte, sans combat. inst quand nous semions en parfaite barmonie,
CD'étrangères saveurs s'ouvraient à la raison.
Jamais tant les douceurs de nos effeuillaisons Dans la chanson des vieux amants qui refleurit… es rêves restent flous quand parfois ils retiennent
Quelques soupirs fervents d’une absence inviolec.
Dans un corps si lointain de mémoire sculpté, Je respire le goût de cette terre mienne. Dors je tisse un verbe, imperturbable lien,
Cest la magie des mots ! Ne sont-ils pas radieux ?
(Dans un espace temps, en nous cherchant des yeux,
us aurions très bien pu Hélas, iln'en est rien. CLBF
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TUTO RTS LA TL OLA AU A)
CLIC CASE TETE @
CAP NORTON OO 1
IMAC ICONE TA A TC
CALE TNT LOT CAT AT D
Pareille la marnéequttant belleparure
DOTE ET NAT LION ET TE DT RTE CN TA COR PES ET ER EE TONI De
Ma muse s'est enfuie, frélant Les pâquerettes
TO EL 0 COTE TOITS TELE CICA
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(OnGienrest cevune musequis'amuse de motà CLBF
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Je pose sur ta peau, juste au creux de ton cou
Dans ce pli si douillet où la chaleur se niche,
Je pose un baiser ! Laisse ! Mon coeur est fou ! Ecoute il ronronne, il a son oeil de biche. Je serai ton théâtre aux rideaux écarlates Seule pièce d'un puzzle rassemblant le décor, Dans le lac de tes yeux je signerai un pacte Qui fera de nous deux un seul et même corps. Les mots de la tendresse sont les cadeaux du temps,
I n'est pas de paresse dans le désir d'aimer,
Les sentiers de ta peau ont le goût du printemps Et par tous les chemins, je saurai les trouver. CLBF
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Au bout du voyage... COTE NE ITR NTI TATILA
Heures vides qui nous conduisent
Vers on ne sait quel firmament ,
BOAT ENT EEE TITI UT Je songe quand, souffle arrêté
PAREIL AT) 1 De cet étrange couple, né, De quelques mots sur une page. TT TT ER IT AR Les mois avaient réduit l'espace
PAST ICE AI LE (2 u1t1 (À
L'amour avait pris toute place. BOIS TC IE ANTR QT ES I ELA
J'ignore encore qui de nous deux,
BOOT ET E TR A LT A Le regard tourné vers les cieux... CLBF
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nn fruit de ta PEN BUT =.
SCI cueilli des 0 É + EH 5
DR UTTET
A) (5772 CP TE 17 12
} (062 [LA DL de toi
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Sous ton CITE aimant … / ï
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st POELE UE 7:18 LC folle du temps. HA
De toutes nos folies Sous Le soc de ta lame
\ Tu traçais PET CL
\\l lo ’imposstbles LUL C2 U élevas LITLINT 7208
AIO Ce (CRE
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a dÿ ERAOUQUS
AE ÿ Dé'ce rêve décrit que ma plume Fi
F
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ons mo (oeur... De toi, que vais-fe faire CCE OT seul.
Te roudrats DO pourtant avoir PAT RATIC ”
(CT une rise douce chante dans Le tilleul % ELLE UTILE CTIOE LDC LUE RTC LAS Un CELA pU10 TT CT rougi tes nuits. (ombten tu fus heureux au seul fait de son LT R D CAPOTE TETE quand RTE Ts
Ste rendait L'amour de bien belle façon. OUT st souvent, triomphant FA l'attente,
BETETE mon sein de battements fievreux,
(CUS imaginer qu ÉTAT peu afmante Viendrait un four troubler ces moments radieux. arr LT ITA OUT IETER 2 crépuscule PET
ACTU ETC ee PULL CARTIER
BEL un battement, pâle chemin de EU VB CTL ILE D PAUL INT) Te La Tir 1e
CLBF EL LI le ci BRUT: des matins et pITO CRT PAUL ER
TL EL DT Lis CIER
(C2 PO OT PT) de SUR Ie besoin, fe sais, de LIEU de POUATR
Magali
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
SAMPENTE INFINIE ge ne me plaindrai pas des heures «solitude»
Par cet éloiénement l'amour est infini,
Vous avoir près de moi serait pâle habitude, Et de cette infortune je remercie la vie. Eux se disent heureux quand leurs lèvres se touchent,
b'amour devient banal s'il n'a plus de mystère, 11 laisse fuir le temps abandonnant leur couche, L'un près de l’autre assis deviennent solitaires. Comme un papier de seie, Comme une fleur se froisse,
Çe doux frémissement quand nos reéards se croisent
Quand nes doigts emmêlés vibrent et nous défroissent, be cœur empli d'amour danse d'embres chinoises. Vivre de cette attente et de n'avoir jamais, Un tout, une entité pour (ombler cette absence,
Çe nourrir d'un reéret pour mieux l'appriveiser (ette brûlure là fait notre différence... CLBF
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Je voudrais des oiseaux comme vague de moire,
PORTE TENTE RTE TE EE TT Je voudrais que ton nom Au creux de ma mémoire Quitte mon horizon, Devienne fumée noire... Je voudrais des nuits blanches Tout au creux de mon corps, Des réveils alourdis éperdus de remords,
Des mots en avanlanche Aux flammes de l'envie, Qui brûleraient ma vie... Je voudrais tes espoirs AURAI EL A RULES Des photos en sépia Comme dans un boudoir, Et des jardins d'amour pour seul enchantement,
Alors ! j'arrêterais le temps. CLBF
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ET ET Cai monté” ce géleau pour mon anniversaire,
OT CA EL A
(O7 PTE OT RE 07
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DOTE LA LL EL TT LL D
SLT ALL A EL 707 7 22
SOA TT A7 D 12 Les enfants seront là pour féter mes années. OUT ETS EEE TE PT AT LL AL 22 CL EET ETAT AT D ALL 2 Mais un beau jour viendra où navant plus de place Ce mc demande où je mettrai les bougies ? L a Non maïsl Ce vous entends, vous, grossiers personnages
(OT Er 7711
(OT TT CEE ACER
CLAIR EE 717772 D
Ce vais devoir étcindre tout cet éclairage, CPP LEZ NT RL TEE C1 0 OR T E 077 CNT0 COL TT ) AR El (OU ER RL 7 AR
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(CPR LIL TELE ET 2 EPP TITI
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SAULT EL TET 17 CODE CU EL LE 00 CAL LEE TEE ET EE CPC Y AT EN 7 7 LE Ce sais que l'heure existe où toute chose arrive
(CRE NT AE AIT LIN ETS
EVE TA LE CA ET ET ELA Ce voudrais les cucillir comme on cucille le vent. Ce scrai ce bosphoré, étroite passerelle
CNT ET 72
SA LATE ET 7 5 CAIN E TA SA CO RL EL EL ELLE T2 1270
Ou aimer tendrement sans lx douleur de l'autre. (Lln ropos mérité dun amour sans éclat, CAL CENT TT EE 7 ETC EE
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es Méches Blanches Passer mes mains dans fes cheveux
Qui ont la beauté de l'écorce, Dans l'arbre fou des vagues que,
Mes doigts saisissent avec force. Je sens l'odeur du cuir de peau,
OT PRE AT A A De la pluie fine au crépuscule
DIT ON TENTE TES
Crinière ondulante sauvage, Entre mes seins couleur de miel Ta tête dans mes mains sommeille
Comme un bouquet de mèches blanches.
Mon nez respire ton odeur,
PUNTO AE LA Ma bouche aspire ta chaleur,
CAT ANCIEN
Sous les soupirs d'une Carmen,
Trouve l'oubli dans ce linceul... CLBF ETAT T0)
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ART RS UOTE LT CRT PPT ÉTAT
A2 CRT ET ETS
DRE ET EE ETES Les chevaux ont henni les naseaux tout PTT ER
CPR ET CT TE CT ed
COURTE ET AN CET ETES se Dean OPRETT ER ER CEA
L'hiver s'est accroché à leur robe e brume ES RER EE ET TE TE ET Ur PILE ET 11e
2e CRE TE TT 1
BTE LAC l'auSacieux sur les terres braconne URLS Tee) EE TETE
OP TE ON EE ET ET ETES
PRET ER CR ET TC Deer un rai moqueur trace une ÉTETTEs
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OR Te CLBF
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En 7 Je eherchg an endroit où tgs pas sont allés
Où passent un soupir, un souvenir voilé,
Où je saurais trouver eg petit: -- Jg ng sais! Qui faisait dg mon cogur lg plus beau des bouquets. L'air paraissait léger, poussait notre aventure
Vers des mots familiers fissarant notre armure,
Sous couvert de pudgur nous eachions nos félâres, Ginsi sg faufilait l'amour dans nos blessures. Aux grand silences émus taisant nos lendemains,
S'aggripaignt des nuages quand vous tgnigz ma main
Si bign qug j'entendais an roulement lointain Qui semblait m'emporter au sommgt d'un destin. Ces langugurs, egs soupirs chantent eommg la mer
J'aimerais tant encore eg ehemin entr'ouvert
Qui mg mena vers vous gn vos jardins d'hiver, Où jg peignis en bleu lg moindre bout de terre. CLBF
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AUX PORTES PU 722274 Poargaoi tant dg silenec au désert saspenda,
DRE ES IE Te EE TE TOR) ZE UT EE
EAN ANTONIO RE NTI E Je coarais vers l'amant dans an monde d'oabli.. Ô 1 Temps. dis-moi encor’ ga’zst-il done devena,
T-t-il mis dans son eœar an pea de mon amoar.
Voit-il ces paysages gai m'avaient tant émue. LA AIT ARE HA ENT A TROT LE Voit-il le même ciel dans ses errantes nues,
&g laisse-t-il troubler par an mot, par an geste
Et s'il s'en soavenait, dis-moi, le saarais-fa ? J'entends encore le vent ct sa chanson céleste. OT ER AR OL TES ETES 1121101112
DATE ET EI O ANT AT ET 2002)
n solgil radicaux qai m'était bienvena LOUER RE EE AIO ET TE LUC PETITE A0 ee ER TER RCE RON AU ZA
C£lles-ei m'attendaient aux portes da réveil. Et je vogais alors foat eg temps révola C£ temps où dans nos nuits je goûtais au sommeil. CLBF
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CAN: a J'ai voulu vivre nue, nue de tout esclavage
MCE PORC ECTS CNT CNET CONTE à
Arracher de mon cœur Le fruit de mes images.
J'ai voulu, sans lutter, quitter nos badinages
M'affranchir de ce lien qui me fût si précieux,
COL AN LE AD EE TT TEA TA
J'aurais pu vivre libre, ancrée dans un nuage
L'esprit aussi pesant que l'envol d'un adieu,
Que j'aurais survolé comme un triste présage
LETTRE LOL ETAT AT A
OCT LT AT NT)
Maïs que faire de mots qui n'ont plus de voyages ?
Que vais-je devenir ? Peut être un peu plus sage.
Œt lui sans mon amour sera-t-il plus heureux
Pourrais-je lui manquer au milieu de ses pages ?
Le remord deviendrait un bien triste attelage
Tirant de lourds regrets pesants et capricieux Si Les jours n'effaçaient un a un leur encrage... CLBF
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Il y gat les soupirs dont j'ai nourri mon cogur 4 l'aube d'ang vie que le bel âge accuse
Mais lg bonhgur ng sait où gt quand il est l'heure Pe lui tourner Îg dos se ehgrehant ang exeuse. Il y gat 1g désir dont Îg corps sg souvient
€t puis qug l'on maudit fautg de l'oublier,
Que l'on met au passé pour sg faire du bien Qui vous collg à la peau. tatouég de regrets . Et puis imprévisible, emprisonnant les maux
Revient ang brâlurg comme an éelat d'obus,
GCommg un eigl de juillet qui nous faisait défaut €t l'on aimg d'amour jusqu'à sg mettre à nu. Aux nuits que l'on déchire à sg vouloir heureux
GS A TAROT CR EN ARTE UT ENST ER AT TA 2
Il s'ouvre un lit de vagugs à vous noyer les yeux Quand 1g cœur supplieié s'enlaidit d'ung absence. 71
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M'aimiez-vous, mon doux cœur ? J'hésite- je veux eroire
Je mêlais à mon rêve en ee candidg espoir
Un dessgin impudique, égoïste désir Comment encor’ doutgr quand jg vous vis venir. b'attente était l'avgu dg nos mugts accords
Nous étions egs saisons qui lasségs. sans remords
Faisaient un pigu receugil de silencieux soupirs Nous redoutions l'adigu sans jamais sg le dire. Longtemps songer à vous dans nos humbles déliegs S'offrir en solitude de flatteuses blandiegs,
Votrg chalgur en moi ng pourra gffaeer GCettg ombre que j'aimais gt qui m'a carcssée. M'aimez-vous rien qu'un peu? Je veux votre tendresse
Je n'ai besoin d'amour que dans vos maladressgs Qug votrg absenesg soit le revers dg la mienne
J'implorg votre main pour qu’elle me retienne. CLBF
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Ainsi mon cœur meurtri croit aimer davantéft, Crappé dune amnésie de ce qu'on le partage
CA s accorde souvent un semblant de bonté. Anesthésié d'amour il s'endort inspiré Se son dernier émoi dont il garde l'image
Retrouve les douceurs qui hantent son alcéve,
vant l'instant charnel de sa plus belle page CHGura corde à son cou avant qu'il ne se sauve. spérer ce désir que CHACUN CHVISAGE,
st ambition secrète de vous aîmer encore, Gt d'encorc vous plaire, de ça je m y engage. € inquiétude est humaïnc, je sais, demeurons sages.
Adrires le sonne, voyez, je l'édulcore,
Mais Mon Dieu dites moi, à quand l'autre abordage ? CLBF
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4 Au bord d'un rêve. J'aimerais butiner vos lèvres Au charme de leur floraison, Les déguster comme un bonbon
Comme une fleur au bord d'un rêve. Picorer votre peau si douce Vous parcourir de doux baisers
Sans fin découvrir vos secrets
Etendre nos corps sur la mousse. Revoir un vieux film muet De nos vingt ans nous souvenir,
De nos anciens amours sourire,
Et tous les deux nous espérer. Dans ces bonheurs au diapason
Faut-il rêver tant de caresses Et saurons-nous dans la tendresse
A nos désirs donner raison... CLBF
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PUR ORNE TENTE TENUE PES RE ER
LOU ET EN TERESA
Quand les yeux de l'amour perdent de leur lumière. AO NEC) CET ET ea TT CZ Pour enfouir ses idées dans une éternité, Dans les sables mouvants nous suivons son sillage...
Do COR ST CE TOR ST ET CET QE Je suis si près de vous que je mets à vos pieds, Ma fidèle amitié comme on offre une rose Ami, si je vous perds un jour …… CLBF
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(A dit à l'amour qu'il s'en aille
À Loin des parfums doux des semailles per = ILa fait chanter les sonnaïlles Maintenant il faut qu'il s'en aille...
J'ai dit à l'amour tant de choses, Qu: TA ne ” Je lui parlais en vers, en prose,
( Nous étions souvent en osmose
J'ai dit à l'amour tant de choses J'ai dit ! Maïs lui s'en souvient-il? @ Tant de mots doux au bout d’un fil, Tout simplement Mon amour devenait une île, A
J'ai dit ! Maïs lui s'en souvient-il?
J'ai dit, je t'aime tant de fois, C ER Mon cœur avait foi en sa loi
S'est-il lassé de ces émois J'ai dis je t'aime tant de fois.
Quelques mots tus avec le temps 5 FF
O7
Es. QU £e cœur s'éteint tout doucement
fe MEN us, … Tout simple mert
S'en est fini de ces tourments Es L'Adieu s'est fait tout simplement.
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J'avais mis de (amour dans toute [a maison,
Me réjouissant trop vite de ce cœur qui me donne
Dans son embrasement au fil de nos saisons L'élixir de jeunesse, des sourires à foison. re => : SFSSSHSSSSSSSSSSSSSSSSS
_ — Je tente bien souvent d’y pénétrer encore L’esprit gonflé d’amour je lattire vers moi, Je lentends respirer et mourir à [a fois.
SSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS Il fût un doux refuge durant l’hiver glacial L’automne lui offrit ses couleurs de miel doux
N Quand le printemps fût là il devint impérial
Le mien durant l’été n’attendait plus que vous
SSSSSSSSSSSSSSESSSSSSSS.
Ilemplissait ma vie [oin du monde extérieur
Je vous entends encore, lui garde le silence,
Pourriez-vous SVP lui dire mon malñeur CLBF £t sans vous commander ! Parlez-lui de l’absence… » class= »wp-image-320″ width= »1280″ height= »725″/></figure></div>
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Un mois frileux Le moë s'étire encore frileux, L Sous son ciel délavé de bleu, Ÿ
Rassurant les boutons de roses ‘
Par quelques rayons qu'il appose.
Avril sait bien garder sous cloche  Des giboulées dans sa caboche, Sous les feuilles en parapluie Un chant perlé s'enfuit du nid. Fine et plaintive tombe la pluie, Mais qu'a donc le temps aujourd'hui ?
Les fleurs des bois au parfum lyre Ne savent plus se faire cueillir ? La primevère fait sa toilette
Saviez-vous que dame violette
En ce beau moës aussi mignon
Fait la cour à un champignon! Sous le chêne ventru de sève Son pied de mousse fait un rêve
Que blancs clochetons du muguet Fassent revivre la forêt. Curieux ! D'habitude à cette heure Ÿ
U ny à guère de bonheur! Mais que de monde ce matin ! C'est le premier MAI ? Ah ; enfin ! CLBF -
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À MON REGARD VOUS BUTINE COMME UN PEUPLE D'ABEILLES
AMENANT À MON CŒUR CE MIEL QUI ADOUCIT UNE VIE DE LABEUR ET DE BIEN TRISTES VEILLES, JE CUEILLE EN CET ENDROIT TOUS MES RAYONS DE VIE. ALORS MON UNIVERS À DE L'OR AUX FENÊTRES CETTE RICHESSE COULE, FERTILE DANS MES VEINES,
LA NATURE AINSI FAITE SAIT ME FAIRE RENAÎTRE,
REDONNE À MES VIEUX JOURS UNE DOUCEUR HUMAINE. MON CHAMP DE PAIX C'EST VOUS, JE VOLÈTE SANS CESSE
FÉCONDES TURBULENCES QUI FONT NÉCESSITÉS JE NAVIGUE EN AVEUGLE, BOURDONNANTE ALLÉGRESSE
QUAND BIEN MÊME FERMÉ, L'ESPRIT N'EST CÉCITÉ. VAILLANTE OUVRIÈRE QUI AUX LÈVRES STÉRILES
PRÉLÈVE CE NECTAR, BUTIN D' INDIFFÉRENCE VOTRE BOUCHE EST SILENCE COMME RUCHE EN EXIL,
J'AIMERAIS TANT DE VOUS UN MIEL DE RENAISSANCE...
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rair est donc mélancoliau
L ï est heureux, IL nous parfume de musique Enivrant Les cœurs amoureux. Laisse tes mains glisser en douce
Mon corps devient vite orageux…. | Ne fuis pas !
Ecrire et rêver n'est-ce pas,
Epouser un peu La nature ! viens briser tes ailes,
Va, cherche mon amour fidèle
Dis-lui ! Non ne dis rien, Laisse-moi.
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La nostalgie s'était agrippée à son âge
Les yeux dans ce miroir, derrière sa fenêtre
Espérant retrouver l'ombre d’un paysage, Elle dénouait sa vie, la faisait apparaître. Le passé s’installait bien après le souper,
Nous savions ce moment attentif à son cœur
De ses cheveux argent aux fils de ces années Elle s'était tissée un semblant de bonheur. Elle déroulait son rêve comme un tapis d'orient
Patchwork qu'elle cousait de pensées idylliques,
Et de la voir sourire alors au soir tombant, Le jardin lui offrait ses moments de musique. L'espérance à encor ouvert de vieilles portes, Derrière le carreau, le fauteuil aux pensées Faisait fleurir ses foues de rosée, peu importe, Les larmes de grand-mère étaient de beaux camées C.LBF
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Je vous revois, tantôt couchés dans la charette,
Les foins en son milieu cachent vos silhouettes,
La chaleur de juillet endort tous les enfants,
Les hommes en sueur et les femmes devant. Sous l'ombre du grand chêne, dévosons nos paniers
Un torchon de lin blanc pour la miche dorée Le ruisseau qui serpente rafraichit les boissons, Les bottes une à une Seront belles moiësons Là-haut sur les sommets la brume est répandue,
L'orage plie le ciel, les corps sont fourbus, On voit passer au loin des nuages pluvieux,
Hätons-nous de rentrer, écoutons les aleux. Une pluie de saison rafraïchissant la terre, Les corsages trempés nous collent à la peau, Les garçons ont les yeux comme de vrais Soupières,
#5 se poussent du coude et rient dans notre dos. Une journée s'achève de labeur éreintant
Sous le ciel délavé les nuages s'étirent, £t dans l'air purifé le silence soupire,
La faux dessus l'épaule, la lèvre sifflottant. une journée aux champs...
(on:3
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UNE MAISON SÛRE Près de toi la maison est sûre
Mets tes deux bras autour de moi,
Ce soir Le vent perd son sang-froid Je n'ai plus peur je te rassure. Ne bougeons pas, fermons les yeux
Cette paix n'est pas un roman,
‘Ma vie respire ce moment Faut-il que j'en fasse laveu. ‘Un ciel de pluie s'est installé
£a forêt semble se méprendre
Ranimons quelques vieilles cendres Fais éclore mon besoin d'aimer Laisse mes gestes apprivoiser
£a solitude de mon cœur,
Ilfût si souvent ma douleur
ICfût si triste passager. Ma main au fil de ton désir
Suit Le sillage de ce port, Sur ta peau ira parcourir Chaque parcelle de ton corps
CERTA
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Un Amour (jendre.. Vous êtes la lumière à l'ombre si sensible.
Un fleuve d'amour tendre à la source paisible
Ou s'écoule le temps qui atteindra son île
De celle qu'on attend sereine et tranquille. Mais la terre avare par ses sillons meurtris,
Voudrait de ses semences en connaître le prix,
Fière de sentiments comme un rosier fleuri
Eclatant de couleurs sous sa mélancolie. Au milieu du chaos les saisons s'aventurent
Les rêves gisent épais sous une couverture,
Quand la froideur du temps use dame nature
Et pousse l'horizon vers notre sépulture.
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ne ni NDS ETAT TL PET LT TT 22070 Fa CADET TEE Dans ce fin camouflage qu'elle sait d'importance
CRT RTE ET 77772 à OT A 7777727772
D LIRE LI 777772 CAT 77 7772
ARTE TL NI T7 77777722
TT 7 7702
LR 72
TETE C2
ELITE IL ART) CLBF
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L£s yeux du printemps sont azur,
Cugillg done la belle violette,
Dans la mousse jolie fleurettg Conte l'amour à la nature. Les vers ng sont je vous l'assure
En souterraine floraison
Qu si vous trouvez d'aventurg Mille beautés dans les saisons. “lors j'écris de simples rimes
Couchée dans lg ereux de mon lit
Je suis la passagère intime De mes pensées de mes écrits €t ma violette direz-vous
Sgrait done prétexte à écrire ? Méa culpa ! Là je l'avoug Violette, est l'energ pour sourire. CLBF
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Le mot souvent obscursur le page est lumire CRevétu de ses ou, de parfums éphémères,
Ragonne Éienheureux, Le mot est. au-dele! Me faudha-tilplourer vote ombre amé fitèle,
Cfa déjà tant de mal à toucher vote cœur
Qu'il me faudrait au des, semblbles à des oisells
Deux ailes de velours ou lime Lune sœur. Éyoiv eu quelque éclat quand mon cœur abéti,
Êe mettait à genoux, dieu! Que de mot. en fête
(Counantsur ls fouilleé, riches de fantaisie. ÉFaurais pu m'envoler si javais eu des ailes,
Ce n'avais que ma plume enthe ciel et soleil, Pour ceux dont & malleur ne se raconte pas,
Repents et douleurs demeurent prisonniers,
Dire que je vous aime, l'écrire ici as! Le nosfurtil ? Pre ne sanai te de! NS
CLBF NS
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Je marche, devant moi sg détaehg son ombre,
Je respire, je sens, je pense, j'aime en lai, Gg mondg où il vit qui bien souvent m’eneombre, Cg monde transparent quand l'horizon gst nuit. Miragg frémissant ou rgposg mes ans. bibérant ma douleur aux déchirants blasphèmes, * ‘Se peuplent mes visions de troublantes pensées,
De tortagux désirs sournoisement saprêmes Couvrant mon désespoir, loin dg vous — dédaignée. Jg eorps gst océan, il gst marég lanesque
‘Lüux remous parfumés par des flots mystérigux, JL’esprit gst lac divin pâlissant toutes fresques,
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D Agour, de fon premier bafser
Se garderat la ue
Parefl à la flèche sf sûre
Crblant la douleur à Kama. Du bout 1 Confance outre alors nos penche Aore les ans peuventaller, Sous d'amoureuses cerkludes,
Délrces d'élrxtr suprême, ehevivre > emporke les lourments,
Bentà no : yeux sœuvenfre de Dans harnonte de ! habflade. e bafser cat Dre e tar je.
Je bn EX L un) Beplembre est fou quand EN y songe, Jez eux, le cœur en papfllon Volet ei pleux mensonges, Some bonteur en carflon. im bafsers Fndes en débesce,
Porkntnos vfes du ere lèvres
Vunon sacrée de la ne
Agatce es elfètres. » class= »wp-image-348″ width= »928″ height= »820″/></figure></div>
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DIEU A ED AIT A7 à Ah va ! Letemps ÿenvole avec le rire aux lèvres,
Et je cours après lui chassant ses papillons RCA LL A 7 0077
Mabouche ne saurait se passer de leurs tons. Vous emportez mon cœuwr sur larbre de envie
TL PT ET TL AG id 2
TO PT a ET A TT ET A LT TT 2 2
Oh 1 Que le temps s'enfuit à vouloir votre obole. DORA OT EL I PT 2 7 72
En papillons de nuit mes aïles sont amantes
Leurs désirs déployés me font songer à vous. Mais laissons donc cela ! Je vous sais si fragüle,
Comme moi vous avez votre talon d'Achille, OZ LP A PT A EN 7 NX:
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AI TANT ÉCRIT POUR VOUS. DES PHRASES ET DES MOTS
[AILLISSAIENT DE M4 BOUCHE SANS QU'ILS VOUS EFFAROUCHENT.
E LES VOYAIS FILER VOUS REJOINDRE AUSSITÔT. JE LES PEIGNAIS EN BLEU, AU DRAPEAU DE MES PEURS. JE VOUS AI TANT ÉCRIT, SI En ESPÉRÉ : AVEC DES MOTS FLEURIS, DES DOUCEURS DE PAPIER,
ES RÊVES DESTINÉS OÙ DONC SONT ILS ALLÉS ? &ARDEREZ-VOUS UN PEU DE MOI QUI VOUS AIMAIS? EFFAÇANT LE SILENCE AU COEUR DE TRISTES NUITS DEUX LIGNES ICI OU Là, QUELQUE CHOSE DE NOUS
DEUX LIGNES D'ENCRE BLEUE DES MOTS D'EÉTLIÉ AU BUVARD DE VOS YEUX IMPRIMAIENT UN ADIEU , ECRITURE UN PEU FLOUE.
C.LBF
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Comme des grappes de fruits mûrs De
\ Mets des mots gouteax dens ma bouche #
À Que je boirai comme une £aa pare. a goût pimenté de printemps Tressés de vent qui les soulève... Sar l'écran blea de mes naïts blanches À Je mets des flashs en noir ct blanc Comme an Noagaro sar mes hanches. : ar l'exil de mes anses rondes
Laisse aller ton corps sar mes rives 27277772 x cé En va-et-vient, oavre le monde.
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Ce nouveau grain de vie je l'ai trouvé en vous,
U£ a fait refleurir mon jardin d'immortelles
Dans mon cœur étouffé je déployais mes ailes
Ft buvais à vos Gvres l'ivresse, je l'avoue. Cette terre d'amour ne cessait de nourrir
Une endormie sous [a peau des regrets,
le non écorce emplie de souvenirs,
nait de naïtre enfouissan ns clarté nstére e rcpe fall son œuvre
e savais l'éclosion renaitre d'u Pétales de désirs, ramures de tendresses
1Ont greffé leur senteur sur un cœur de c
Mon corps devint prairie tant j'aimais vos caresses
Ma détresse cueillie.. je devenais enfance. ‘Une saison d'amour, cor
Comme un cadeau du ciel avant l'ultin
Je vous aimais ainsi haïssant l'inconstance, Mon grain de vie se meurt sous la faux du pa se C.LBF
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J'ai eugilli des roses dorées,
Poursuivi la rivière belle Et les coteaux et les doux prés
Là-bas j'ai perdu mes dentelles. J'ai va loin des jardins publies
La folie de notre bruyère. Aux falaises de l'Atlantique
D'embrans je l'ai va prisonnière. Jai su d’an néflier sauvage Qu'il n’ait besoin d’être troublé
Lorsqu'un oisgau dg son ramage
Offre un doux ehant à la forêt J'ai appris de la grug cendrée
Dans les Barthes et les étangs
Qu'il ng faut jamais sg hâôter
Savoir attendre lg bon vent. J'ai gardé ta main dans la mienne
Sans jamais vraiment la quitter,
Je voudrais que ta mg reviennes
GCommg ung saison dans l’année... CLBF
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
L hiver à des splndeus tout comme lu vieillesse, : ne ne
à © D rames Énbée oubliant 00 iuolncs
Éd À Le gent np pt bp
EC
3 sève d'amoux fai fin mon ancléé
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Je voudrais vivre vigillg avge mes vigillgs pgines,
€t avge lgs bonheurs d’an temps qui mg fât cher,
Tous egs moments deg vig rendent l’êmg sereine USA ARR ON STATE Url 2 €t puis 1g temps venant, penserais au baiser
C'était lg tout dernier d’ang vig de earêmeg, Il ng m'a point brâlé, il sg savait brisé
fvant qug de rêver. mais qu'il était bohême. Mg direz-vous aussi : « c’était migux de mon temps »
Mais avant voyez-vous nous vivions dg jzungssg,
Quglques égratignares écorehaignt nos vingt ans,
DORA CNT SONT T2 Too ua D LU TA sel, ET 2 Hg pas sg retourner sur nos jeux dg haserds
Ignorer qug l'esprit peut encor s’émouvoir €t d’an désir soudain pgreé par un poignard
Hotrg cœur bat encorg, sans vraiment lg vouloir. CRE
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ÆACCORDEZ-MOI UNE FAVEUR LORSQUE JE VOUS FAIS UN AVEU JE CROIS TOUJOURS QUE JE VOUS BLESSE,
JE CRAINS DE PERDRE L& TENDRESSE
QU'IL ME SEMBLE VOIR DANS VOS YEUX. ACCORDEZ-MOI UNE FAVEUR, 4,
ELLE COMBLERAIT TOUS MES VŒUX
N'AJOUTEZ PAS À MON MALHEUR
AIMEZ-MOI DONC ENCORE UN PEU. J'AIMERAIS LIRE SUR VOS LÈVRES, SE DESSINER EN LEUR CONTOUR 4, DES MOTS SI BRÛLANTS QU'UNE FIÈVRE ré
/ ENFLAMMERAIT LE MOT AMOUR. Les SCELLEZ UN PEU DE MA TRISTESSE ve SUR VOTRE BOUCHE DE VELOURS FERMEMENT CLOSE À MA DÉTRESSE 4,
3 ILEST UN CŒUR QUISANS FAIBLESSE 3e VOUS OFFRE SA VIE SANS DÉTOUR, FO 5 COMME UN REMORD FAIT DE SAGESSE... CLBF
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Les PET O2 l
| A
| C'est l'heure. £a BETA au sommeil nous invite.
ne DOTE TE PTE Ver ee Vie
BETTER ny a aucun mérite A La AT Jon CET rare ETES APT EN EC TE Maïs la lampe s'allume au fon 8e la mémoire,
RP ONE TC
DRE TT ET TT TE TE RTE LE CES
TP ETS TRS TETE CIE
OT A ET
(EEE ET ARE TETE TETE TT AT EE
Quan à peine présent vous me faites la cour
OP ET Te POP CE EC ET TES CEBS
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DU CAT LA S ÉTOr 00 UT IE Le PULL en vers
Ft COUR Veux PO aLTAECES
SAT TE CI CEE ELU) m'Q coeur et ma folie, ce qui en moi PTT (CT HET UC TETr CAT TETE UTC
A TTC TA CT OR TEUCL OL TUE
AT AE TE EOO TE) LUI EL vous dévoile Ai CUITE) pointillées sur un fapis I ÉTICTE Maïs je CNET TELUS IT (AOTCTA doigt
TNerbiage FA silence, impies alexandrins,
Se couche en CT fines feuilles d'émois CD 'impassibles CL TUE ouverts à tous desseins. 5 est dans mon désert ce mirage vainqueur
Qui me fait avancer sur de DEL LL Pit EN
MSC TE UT CLEO
er PT LT CARTE DAT CE lite. DUC le COLLE le dessine, Le CUT UTA
Je fais de CIC LÉ mélange savant,
PATES CN CR CETTE CO ALLO
CEA BRU pour moi tout un tableau vivant. CLBF
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QuanS je rêve e vous. Quans Le vent sour s'infiltre au plus près 8e la nuit
OÙ semble m'appeler, m'attirer Sans sa fuite.
Hon âme va courant, me quitte sans un bruit RejoiSnant votre coeur, S'invisibles poursuites. Une Souce lanSueur trahit mes espérances,
Car c'est toujours vers vous que mes Éësirs s'envolent 5 J'aime à vous poursuivre avec quelque pruence de sais votre présence être ce qui console. OÙ y a es soupirs qui taisent tant S'amour
L'émoi ne peut mentir quan un corps nous inspire,
Quans nous Srise une main Sessinant nos contours Sissent tant &e parfums qui nous font Séfaillir. de vis tous ces instants, ces exils sans retour.
Ces arrêts S'un voyaSe où se Jise le temps.
Ôls sont ma parenthèse, heures 8e tant S'atours
Quans je rêve e vous, je vous rêve autrement CLBF
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772072 Vagabond. 2771127 018 PAYER EE 77777
éveil est moins serein, vous peuples mes matins,
oulevant un abime dodeurs de fenaison OR EE EURE RCE 7000
Ca perdu toute idée à force de penser,
Ca du mal à cerner ce désir suggestible @ui ,mélé à nos corps ne sait plus que réver: Ce veux vous respirer , découvrir vos secrets
Au grain de votre peau, éveil d'enluminures
Ce saurai immoler mes dernières pensées ‘Zour dun regard de vous, délivrer mes murmures. @uclque chose à changer, seraisje incrédule
COélle une fleur des champs se mélant au blé dor
022778000700 7772 CL AE ET ET TE 0770 OR AE AE CA CURE LE 2770101728
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Arrière saison. Ce matin 8e septembre, plus rien ne me sourit. Peul l'azur 8e tes yeux, qui sur la mer, se pose
Atteinéra le couchant ans sa métamorphose Toi, qui espère un cœur ans un cœur attenëri. de te connais sonSeur au-elà Su reSaré,
Au-elà S'un té, bien avant tes automnes. Dans un ésir arent, je sais qu'en toi résonnent, L'amour et la passion qui ont ait tes hasarés. Ainsi aura vêcu, sans pouvoir retenir Sn e Solentes heures, cet amour éphémère
Dans Le pourpre et l'arSent S'abyssales chimères,
@ù naissent les espoirs quine veulent mourir. Ton cœur mystérieux, trouble comme la mer
He Sonne à rêver, Sevient trop bel archange,
OL pare tous ses jours 8e façon si étrange
Qu'il vient à (hèrer S'insicibles mystères. Dt ce n'est qu'en fuyant, libérant ma passion,
Que je trouve repos en cette fin &'ëté.
’avais eu miraÿe une ultime sée: pour miraëe pen. £a faiblesse S'aimer S'une arrière saison.
CLBF
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Aveu… SDesaveu ST semble que les corps s'unissent par les peux,
Ce nc voulais rien croire, surtout tout ignorer.
Ce portaïs sans plier lc poids d'un désaveu
@uy «til d'impossible? Aveugle destinée! CA me fallait savoir, tactile concordance,
1 « toucher 14 peau sc confondaient mes songes,
c moyen de te fuir minfligeait pénitence KE Plus vouloir aimer saccordait au mensonge. c cœur ne sait mentir, il est d'unc arrogancel
7 me parlait de toi avant que d'oublier,
CHais comment oublier ce qui cst évidence, Car il battait déjà plus quà l'accoutumée. SDun tout premier baiser entre le ciel ct leau,
CA y eut cette vaguc, frisson dun champ de blé
Canaris plus dous instant nc m'avait condamnée À voir des papillons s'envoler aussi haut … CŸ veille, mc consume, dt celui qui me tuc
st bien celurlà méme dont Le regard si bleu
CHenvoñte, mc désarme plus que je n'aurais cru. SA nest plus brélent ciel qui permette un aveu.
CLBF
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Ê rt
CRT Ci que je Vous aime,
( Rendez-moi l'âge des amours
COTE CEE TE US ECTS ÉTEINT FH
le temps qui neus prend par la main LE PEUT QU UE CT bagages DR de calme et doux: VE. D 94 un amour pris dans les rets. 4
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| Tant de flacons jolis | Respirer ces parfums logés dans ma mémoire j
[Comme un très vieux refrain chanson d'un autre temp}, [Comme un sachet troué tout au fond d'une armoire | [Evcille l'impression d'un instant attendu, uns és édroir aiau tas détour printemps, | ( [3e recherche l'enfant qui courait presque nue. Il me vient à l'esprit, maligne butineuse,
| f la bonne odeur de miel, d'encaustique senteur,
|
D'humidité cachée derrière les pleureuses, Çes tentures velours aux motifs camaïeux Qui masquaient en leur temps la verdâtre laideur D'une porte-fenêtre au cache-cache heureux. [Mon coeur est érand ouvert, comme un ciel sans nuagd
[Où viendrait se mêler le sent -bon du dimanche, |
Entre d'autres senteurs dans mes nues de mirage [Ces arômes de vie font en bouquet latents | ant de flacons jolis d'où tombe en avalanche | lb'apaisante fraîcheur de mon contentement | be nez d'un (yrano ne pourrait y suffire Humer l'air d'autrefois, éouteuse madeleine, ge ne sais si pour vous? Moi j'aime encor’ le dire,
| 11 pleut des fantaisies quand mon humeur s'évade, Et quand je vois surgir au couloir de mes peines On papier peint fleuri aux bouquets bigarades.
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TT COUTANCES Les lupins, Le chiendent envahissent Les allées, COPA LES AN ER PEACE TT Jamais coiffé, l'oeil égaré, il sanwtille sans cesse CRT PET TA UT ERA DROITE PEER OR CPR PE A CU ÉPAROE TAC PA EUT ALEE7E Carottes à volonté, matin midi et soir. Le Martinet la haut sous La poutre du toit Refoit l'appartement, mainténant ils sont trois. DPI PIE EN ELU COPA ER 77 Elles; elles savent que passer La barrière CROP OR ER TE UT OR D CP PC DE PE I PP EPA A PERTE TA Quand au petit matin, d'un coup d'aile rapide A ET AAA A La nouvelle ici n'admettra aucun doute, EP TP RL TR
VAR ET Quand votre vie dépend d'un très bon casse-croûte CLBF
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a lisant le recucil CU 7 Centends le bruit du vent maïs ce nest pas le vent
Centends comme un murmure au dos de cette page
@On dirait un chagrin qui sanglote, attend @uc dun doigt sc libère une feuille d'orage. Sc demeure un instant entre trente ct quarante,
ntre ces numéros les mots ont l'air heureux.
Ve vais rester ici, je m installe, contente,
auteur, lui voudrait bien que j'avance un peu.
Rourguoi «til fallu, je l'avais oublié 1
Ge passage orageuz entre deux noirs fouillets|
Gtouffant un sanglot, une larme d'été
Cÿe pleure mon amour dans le recueil glissé...
tre le chant plaintif d'un auteur troubadour,
Devenir un rGflet, ce miroir de nous-mêmes,
@ucl étrange destin qu'est celui de Lamour
Célui d'une autre vie, maïs est-il vrai qu'on aime ? héroïne sen va...le héros en partance, Adieu l'union sacré c'est la fin d'un naufage, Gt dans le vaguc à l'éme de la belle romance urvient un vieux regret derrière un MATGUE PAGE. CLBF
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C'était une riniène impavide d'été,
Où jouet quan le He a'ehone
eee
Chisoaient no eux amie turhulento d'snocence. Douce était l'henle fraiche étrangère aux sandales,
SR
DL
D
SE MR tn
Ek comme sabiafoit, Le vieil anne phoureun Nouo rendait invicillee, à no chagnine de filles. SRE EEE 200 rêves o'enfl HETE Ün ain s'y promenait de paioible long An,
l La brülune infinie d'un tout premier Baise. +
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UDXMJZT%SD ME Quand les oiseaux Heureux célèbrent par lear chant
Les rayons da soleil ai nourrissent les champs,
de pose mon regard sur ces ailes agiles Mon âme se nourrit de cette paix tranagille. d'écoute un bruissement frôler les blonds épis Ondalanie moisson qai sous le vent frémit,
Que viennent les beaux jours embraser h nature Dans an accord parfait ruisselant de verdure. Dans ces lieux enchanteurs où ne vif que murmure
Le zéphire somnole en si belle parure,
L'oreille à l'écoute, l'œil au ravissement, Sabtil devient l'appel de cet enchantement. Loin des bruits de k ville en ruban d'arcen ciel
Les cieux ont dénoué leurs mèches de soleil,
Parmi les fils de pluie le tonnerre s'invite Pais par-dessus les monts, il s'enfuit aussi vite. Les champs ont des frissons qui courent sur leur peaa
La musique da temps aime à prendre repos
Dans ce silence où dort à tombée d'une nait, Chaque étoile échire cherchant son paradis. cms pr mou
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% Bien alignées par deux, posées dans le placard
Souvent abandonnées, ne servant qu'au hasard.
Pour des soirées guindées, des rendez-vous manqués
Abimées par le temps, témoin de mes printemps.
Il y a la Richelieu, bénite par les dieux,
Elégante et racée, chaussures du passée. Plus bas c'est le nu-pieds, il ne sert que l'été,
Vos ongles écarlates et votre peau bronzée,
Lui font la vie facile, toujours prêt à draguer.
Ceux là sont des trotteurs, ils courent toute la journée
Des magasins bondés, des soldes acharnées
Des allées et venues, des trottoirs et des rues,
Une vie de labeur, aux pieds durant des heures.
Au coin là tout au fond, voyez donc le malin,
Jaloux il fait la gueule je parle du mocassin.
Ici ne vous déplaise c'est un petit bijou
Un escarpin verni, celui des rendez-vous,
Des soirées tête à tête, des amours pacotilles
Pointus et talons hauts, brides sur la cheville.
Non ne souriez pas celles là, vont et viennent
Déformées par le temps, écrasées mais sereines.
Mais Vous n'y pensez, pas jeter cette écossaise
Ell! fait partie de moi ma vieille charentaise.
Quand il me prend l'envie de changer de costume,
De faire un peu la Star, alors je les éxhume.
J'enfile de temps en temps une paire nostalgique,
J'improvise une valse d'un bal hypothétique.
Et pour aller marcher sans riques inutiles
Je remettrai encore mes tennis pathétiques CLBF
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REA CL le E iA
Une maison drôle et bossue, | À
ET RE TER A
La voilà sens dessous dessus...
Elle ne veut pas qu'on la touche,
| à LOSC EE EE ER
UCI ER LE ET TA Nous fait un sourire complice... C'est une maison solitaire DATA AE TES A perdre ses tuiles parterre, Comme les dents d'un vieil huissier. CIEL Ci Ce TE
Dès que l'hiver s'accroche à elle
DER CERTA
CNT ETeCETIE ACTU RC AE CV RIRE TI EA Nombreuse étaient les hirondelles OMR AO TETE C'était la maison de grand'mère Fr à Qui du poulailler jusqu'au bois, _ d
Taisait les maux de la misère.
ONE TOO EE CEE TES CLBF
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Détrates, Gpprétées bien sagement posées 7
Ën beaux souben vevris, socquetées et dentelle,
Robe de plumets aux vubans crié rois petits dablbins sont assis sans querelle. Leurs boucles d'or fisées où W lnière dev
(Gachent un fin ménois à le boucke cerise,
Peil à deux saphis, houblaré conne un näor
Dans buns immenses yeux se lé We goumendse.
e77 te lesprit fantasque,
uand à dur pas d'ici W campagne et magie
Les petites poupées buissent tomber & masque
(Gourené en se cachané vers Bassin fleur. 1777774 (Gkacune en se penchant, tendent son jet cou,
Térhiait bien attaper Le verte Ébelute, CËt bus mains potelées dans un yllme un peu fou
(Przppent leau qui s éveil en des millions de bulles cut CBbrs ls rires fasent, séchagpent ls grenouille
Ée sérfuient ls goujens cpeutrés par & buis,
Ces crois pets lutins sèn reotennent bredouills Lait, un peu plus jepeur, quand'aur robes! 677772 177774 CLBF 17/4
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\ \ J'ai un désir de papillon...
\ \ Caracoler sur une page [
\ \ Me poser sur une leçon \ | Soulever les bords du langage roler les L du soleil
ses rayons sécher mes ailes
sur les lettres bleues du ciel
‘enfuir aussi haut qu'Hirondelle En équilibre sur horizon Sur H je poserai mes pattes
Imaginez un papillon !! Volant au-dessus des Carpates!! J'avais ce dessein dans ma tête De vivre enfin une autre vie,
M'éloigner des champs de fleurettes
Butiner sur des mots amis... CLBF
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Regarde fils, regarde, à l’autre bout des yeux,
Cette terre fertile se marier à la nôtre, Qui de ses vallons réchauffent nos sillons, Tel un puzzle géant dont les pièces se mordent, C'est la terre d'Angêle, son arbre, sa maison. Faits de creux et de bosses imprégnés de sueur
Nos lopins s'épousent comme un pressentiment,
J'ai suivi ton regard par ton esprit troublé, Tes mains tremblaient alors comme l’épi au vent, Ce bonheur-là réchauffe les vieilleries du coeur. C'est une femme forte connaissant les labours,
Elle s'épuise à la che dès l'aurore venue,
Je l'épie au printemps quand le temps se rebelle,
Courbée sur les sillons avec ses bras d'amour
Comme nos jeunes ceps elle fera sa place.
Nos fermes face à face tel un couple attable
Ont des silences creux, les étables sont vides
Les champs sont abandon, les meules amaigries,
Pétris par la douleur, les murs sont fatigués.
Enracine tes bras autour de cette femme.
Les clôtures tombées, la vie ira courir
Enjamber les barrières sans jamais s'essouffler
Auprès des arbres noirs qui bordent la clairière,
De mon banc, je pourrai, si ma vue le permet Vous voir ainsi courbés tous deux sur notre terre. CLBF
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Jai monté la colline pour voir fuir les nuages. J'avais laissë ma peine en bas ans mon village. Sour suivre Le vautour au vol majestueux, Ot Les chevaux 8u vent aux sentiers caillouteux.. J'avais ans mon cœur lour mis es choses nouvelles.
our retrouver la paix, il faut être fisèle. Hettre Sans son reSar la Écuceur S'un émoi.
de t'avais emmené où reposent les bois. Suis je me suis assise au milieu es fouSères, OÙ n'est 8e rêve étranSe que le jour ne libère. Pi je Srimpe là-haut c'est pour mieux te Saréer. Dans ce pays S'azur où je peux te parler...
Qui me éira ceci :-mais à quoi pense-t-elle?
de pense à ce bonheur que fait une Fironéelle.
Le printemps me séuit. je le cherche 8es yeux, de crains qu'il soit bien loin. maïs restons tous les &eux.
d'a monté le chemin, passé bois et rochers,
Laissè Juir mes pensées arrachèes par le vent.
J'ai posè sur son os, troublant mon horizon. Comme un manteau S'amour sur l'écho e ton nom.
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CORRE ENT TETE LEE SEE TETE
CRE ENT EE CAO ET ES
CORTE PE ET ENT ETES CORTE EE TN EEE CORRE EE EE
PTE EN EE EE
CNRS TER ETES NOTES CREER ET PET UE
CPR ETC
CIE ET ET TEE PP T2
CPE ETES EE EEE CRT EE LEE TE ETES
DER EEE ET EE TUE TEE TES
CANNES RETRAITE
SPEARS RTE ES CEE Ts
KORERES DETENTE ETES APE PS
@ Va due d'un jardin avec Le sentiment,
DE PT ES EEE
CPR PE ET EE ET ET 2 CLBF
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On soir de RE lorsque vous m'apparûtes, Assis tout deux Sur la roue du moulin
Vous sifflotiez et jouiez de la flûte, A votre Cou suspendait un Vieux sac. Un voile opaque Couraït au fil de l'eau
Vous trottiniez sur Cette passerelle, Equilibristes d'un drôle de chemin Frélant d'un doigt la peau fine de l'onde Que vous froissiez en Clapotis de rondes. J'étais cachée derrière le vieux bouleau Au Clair de lune, Comme une pastourelle, Je vous épiais, VOUS, drôles de Laminak Bonnets au Vent Couverts de poudre blanChe.
Tour en rianc vous faisiez de tels bonds
J'avais si peur, on vous disafe malins, D'un caractère austère et furibond, Même méchants, Car les vieux du village
Faïsaient de Vous farfadets et lutins Pires voleurs de poules ! La belle image - C-LBF Les gens disaient, au bord de l'Uhabia Vie “Là sans crainte, famille de lamina,
Que ‘ Bassilour” suspendait du bon grain,
Le Vieux meunier l'aCCroChañc sous la grange
A là grand poutre ou dort le vieil hibou,
Et Chaque fois bougonnant Comme un fou
II replaçÇait le saC Comme ses pères, Des plaïsantins [ui Volant Chaque jour Ce qui devait le rendre plus prospère.
Mon Coeur battait Comme bat un tambour
Er daps le soir où plus âme ne Court, Ces petits êtres mi- génies mi-humains
Prirent ma main pour une farandole Oh! Je vous entends'Non je ne suis pas folle.
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Le vieux loup de mer Le ciel sur la chapelle pose un regard pur,
Sur le chemin pierreux bordé de chênes verts,
Une douce fraîcheur ombre le petit mur, Assis paisiblement rêve le loup de mer. Entre les pierres chaudes, des liserons bleutés
S'accrochent à la vie tout comme le viel homme,
Qui se laissant bercer par le chant des aves Se réchauffe au soleil d'un printemps qui embaume Le sentier est sans âge, il doit se mériter,
A peine un peu pentu il court vers la croix Dieu,
Mémorial du marin on y vient pour prier, S'agenouille qui veut, non croyant ou très pieux. Appuyé sur sa canne, le regard qui veille
Les mains sur le pommeau tremblant légèrement
Engourdie de chaleur la vieillesse sommeille, Pareil à ce lézard pris sous un rai brûlant. De ce monde inconnu qu'un dimanche promène,
L'office terminé, le parois lui s’anime, en L'œil demeure aux aguets, c'est le jour de semaine
Cr Où il parle aux autres ; Dieu est bien magnanime. Le béret sur l'oreille, le regard malicieux,
Concierge patenté d’une loge au grand air,
Il a de l'océan tout un passé glorieux, Et parle aux enfants sans jamais être amer. Pampille
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Le livre est océan … or &n joar. an joar lointain mes plears entre les lignes.
Pareilles aux marées qai s'en vont, s'en reviennent.
Sar la page amarrés lorsqu'un port semble digne. n jour. par ces sanglots, disparaîtra la peine. L'encre s'enchaîne ainsi sar l'amour qai s'atfarde.
Parfois en déliés, s'appuie de tout son poids
lors que trop de mots se maquillent, se fardent ñ l'anere trop tendue recouverte d'émois. Vois! Vois filer les pages ct s'écoaler le fleave
Pa tamalte naissant d'une plame éplorée
Toi, qai dans le lointain navigue et t'abreave ax sources da chagrin. bavant à mon passé n jour sar cette vagac à l'hamear trop ehangeante.
Je battrai pavillon aa matin rayonnant,
Remontant an lae blea à la beauté naissante Tel an eggne gracieux aa tracé triomphant Glissent. glissent les cris d'une gorge mactte
a lit d'an parchemin afin que mots ne faisent...
Car le calme vena. l'écrit ne vous déplaise
Marqasra de son sceau le flax de mes tempêtes. CLBF
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UN OUEN UE ETS
(OCT EE UT OS TLON CS TES
Mon corps alors devenu veuf [MIE ET TER ER IES TE OR TU CAT Le ON TO
Ecorné l'angle de ma vie
REASON AU Le UC ET J'aimais bien le stylo aussi. CUT CARTON TEE)
DEAN Eee) TUEUR ZE
DCACES\A ONCE Tr J'espérais Vivre une saga Hélas livre de poche je devins
DELTA CET LL)
NESTENT ONE UT] Tu m'oublias dans un rayon Moi qui rêvais de reliure De cuir de peau et de dorure
Je partis en déconfiture DEL OUEN TLC TT ES NU MpénE ME PTRIQOS ÿ
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Flic floc crissent les pavés ça rigole, ça éclabousse, Les enfants mouillent leurs souliers
Ils éclatent de rire et se poussent Flic floc quel tintamarre, La grenouille est en fête Assise sur son nénuphar Elle attend que la pluie s'arrête. Flic floe pleure la vitre Glissent les gouttes sur son dos
Derrière, une cigarette à bout filtre
Ecarte le blanc rideau. Fil floc fait le moineau, Dans sa baignoire de plastique
Ebroue ses ailes d'étourneau La pluie un jour c'est fantastique... Mais trop, c'est trop!!
CLBF
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=. poids des heures Ce connais tout le poids sentimental des heures. Qu lever au coucher chacune à son secret. 2e matin est espoir laissant tout espérer, ©
Alors que tard le soir se cachent bien des pleurs. ee cœur est métissé d'aurores et crépuscules,
ne sait sil se doit d'en étre ridicule,
Mas c'est un fait certain on le dit imprécis. ous ries au dehors alors que lui il pleure, @uand vos larmes ont séché il étouffé au-dédans.
(Lln petit mot de « Eui » devient soulagement
it les larmes roprennent, maïs là cest de bonheur | Tout ce 1emps ast conté de bien triste façon, 2) CRégit par des minutes qui défilent sans bui,
À la seconde méme où nous disons - ©h sut
ee cœur est un soleil qui s éteint lentement,
À la tombée du jour solitaire il s'enfonce
Dans la vague des nuits recouvertes de ronces 6)
Tant le sommeil le ronge déchiré de tourments. Le CLBF
NAN AXNAXK A
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CT er ÉD nrouk de coukurs qu vec bonReur l'entoure,
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Ex mémoire at loubl; deus géants face à face.
Eguél lemportera sur le champ de l'esprit,
Gt tous ces mots perdus qui emplissent espace,
CŸe sais papa tu les oublies.
c temps vient à frapper au mur de 14 prison,
Alors le souvenir pèse comme une chaîne,
Gt petit a petit tu défais les maïllons.
CŸe sais papa ça vaut la peine.
@uclques fois le passé se revêt dé mensonges,
Richesse de loubli qui lentement sc meurt
Oous ton regard souvent qui me fuit comme un songs,
CŸe sais papa que tu as peur
À s'éloigner des mots, à se perdre en silence
À reférmer le coeur sur toutes les images.
2 chemin est bien long, souvent tu perds patience, CŸe sais papa cest 1on vopage.…
CLBF
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Je garderai le chat... ILest là, il regarde [a maison de retraite.
JIlme disait souvent, « vieillir est une insulte »
Perdre ses facultés devient une défaite, Lui qui savait les choses, n'est qu'immense tumulte. C'est l'heure, car le temps vient frapper à sa porte,
Dans de trop grands orages il sent qu'à son insu,
Les mots ont le silence d’un tas de feuilles mortes, Qui se seraient perdues dans un monde inconnu. Revient le souvenir , il en sourit encore,
‘La maison biscornue* tout âge confondu
Résonnait tant et plus il se la remémore... Mais [a vie a changé, a chacun son logis ! £a chambre paraît grande, enfin pas tant que ça !
Nous mettrons des rideaux aussi gais qu'un soleil,
Dans l'angle un guéridon, un tableau ça et là, ‘Un fauteuil confortable pour des demi-sommeils. ‘Un vase, quelques fleurs et des fruits de saison,
Deux ou trois souvenirs d’un passé oublié,
Je lui dirai -Papa c'est ici ta maison, Je garderai le chat pour ne pas t'inquiéter ! CLBF
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la & coms wé, fléti lintenpéiies, |
Le vieux chêne Pour que Ls saisons recourbent, Lo ont figé suv Le sol, Ls deux pied dans W bourbe.
Dans Le creux de sa main une branche solide, Ge idées ont ds failles de plus en plus loides,
peu comme la ote au soir dun crépuscule. TÉntourer un soleil avec de la tenrese,
Éous l'écorce idée, looudhait de seuments Cluminer ses jours, lui qui n'est que faiblesse
ebenack d'émois ou se cache un printemps Éous l'exil de ces maux dont il connait issue TU était sa raison, son boer, son coucher ÉlBétait une vie dont ils était lassée, CF voulait son amour, l'en eut que livresse.
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CET Li CUT ma I entremes doigts. Elle me ac PTT 207 l VU
Celle CU DR le LT LE T2 ATEN COLIS CR à n'être na D) 0 dévergondée PAR CT 12 haut
pe 00776770 OR 0 TUE CEE
KA LOT CITE pas être. CCC sujel, T2 1140) ue 17 Mais! Je suis, lu disais-je non sans conditionnel,
Vas-lu d'un trait d'union comme un sergent major
Exiger que je sois ou que je Flûte, Alors !
OT LT LUTTE Souvent je TT; re son air de DH 202
TP ETAT ECC 2 000
Un lon primesautier CECILE Ce 0 DATI AA 2 d'unir nos discordances. J'aimais ! Sans CO A Us PTE Ter
CET] Du A PAUL LR
J'effeuillais les feuillets ef fouillais son V2 OL PAPA Alors CODEC CPE elle me trahissait
D'auxiliaire C4 me fis NL
D PRTTS exprimée, PTE Je lui 7721) les elles, car elle me volait... 7710
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
Rarchemin de papier plissé ous un fond de teint enjéleur, 4x main peaufine un portrait Sée dun printemps séducteur.
ec temps maguille les visages
COrimages vicillis d'infortunes,
Our les fronts ternis de vonages
Oc lit le passé de chacune. Orainées de rimmel noir d'orages
es cils roferment leur enclos.
Æorsqu il ny à plus de lmngage ous la paupière aux sanglots
cyoucs pâles, creusées d'infortunes ous la caresse du pinceau
Se colore une certitude . ‘Poudre de ris pour grain de peau. Rose bonbon, rouge cerise,
Éèvres aux frémissants contours,
ous une main de gourmandise
OGc dessine femme d'amour... CLBF
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Vous De. ? | Ay a Longtemps que je vous atme Pyesque un an me ve Vous A Cole me parait être hu, = vais écrire un poème. 4
JL Ne prenez pas cette peine ‘
rien mate dre Ce ne ferme plus mon térotr. Faites vous do une verveine... Cle
”
Déjà un an ! Vous trouvez long ?
À semble que c'était hier,
es avez une autre impression; Que D Soyez plus de dre ee FE a vrai paradis
Vous partez avec CMarie-« France
CRETE EN Vois nee contrartée,
BONES
pr
EE pas sur cs CLBF
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QUEUE UE RU UUUNIeNENENNNNeNneNneuennutautut
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Ah! si Vous Connaissiez ma tristesse
Ma solitude en ces lieux
Vous poseriez touche d'ivresse
Celle qui manque à mes yeux. C 7 Si Vous deviniez mon Chagrin
Celui qui échappe au regard
Vous Viendriez dans mon jardin
Comme Ça par hasard! es DZ Si vous saviez Ce qui m'importe Croyez à ma fantaisie
Vous seriez là deVant ma porte
Assis! 9 7 Du lundi au samedi
Mon cœur sur Vous s'épanChe,
Je vous aime et je Vous le dis, Même le dimanche. CLBF
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SANS L'ESPRIT... I
L'encrier est heureux
L'encre est amoureuse
Elle a la peau si bleue Un teint de voyageuse.
Il
Elle n'est plus boudeuse
Elle trempe son nez I
La trop belle aguicheuse Abeille butineuse
Fait de la belle ouvrage, Dans le nectar sacré.
D'une lettre pompeuse Elle habille la page … IV .
Allez, poursuis la main, Colore-moi d'azur,
Fais de moi un destin Amour ou imposture !
vV J'écris , j'écris, j'écris, De mots je suis en veine VI Jouez de vos savoirs
Des maux l'encre tu ris, Vous n'êtes qu'illusions
Quand ma plume est en peine. L'encrier, le devoir. Sans l'esprit, rien de bon !|
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£r k D LES 4 AL Sn À
# Je voudrais des amis, comme j'ai des tiroirs,
Pour y méftre dedans mes soucis mes déboires.
Les amis je Le crois, sont des ranges-histoires
Moi je n'en ai pas. mais j'ai de beaux tiroirs ! ULy a Le petit l'éproit Le délicat, il aime la lingerie
Qué glisse sous les doigts, dentelles ef rubans LL n'est pas très bavard, pas d'ami pas d'amant,
Cest Le firoir d'antan, celui des rêveries. Le second, pas l'amé, le firoir vous suivez ?
{L'est un peu bourru, sans aucun arfifice Le gentleman farmer, discret ef sans malice.
Souvent très renferme... Le firoir aux secrets. Le dérnier perd Le fond, il éfouffe, il grinee. SC trouve pêle-mêle, amis, amants, amours, Les cadeaux, les je Faime, les rubans, Les frujours
Les photos oubli£es, les ciseaux et Les pinces. Et pourtant sc un soir j'avais un bon copain,
Un amé tellement cher que j'ouvre Le premier,
Ma petite commore n'aurait plus de chagrin
Avec des jours heureux elle jetterait ses clés CLBF
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Je suis votre escalier, un peu tordu, vieux, dépassé
Vous caressez ma rampe, et grimpez quatre à quatre,
Car sans ménagement, mes marches Vous usez. Je grince, je rouspète, mais vous le savez bien LOC TEEC ÉE CU UC ET SLT LS LE TC J'en aurais vu descendre des pressés un peu fous,
De belles demoiselles en ruchers et froufrous.…
MERE A Eu E UTC ue Du EU ETC
Descendaient sans un bruit pour ne pas déranger. Aujourd'hui vous volez, courez, toujours pressés, De la fumée, des cris! Je dois le confesser,
Siune marche un jour vous mettait sur le cul “aus m'en verriez rate sans mal bien entendu. Je vous supplie encore, soyez donc raisonnables,
Descendez je vous prie en douceur estimable,
Mu eu ER CUT CU ES EE ETES Voulez-vous, SYP, m'emprunter plus légers. CLBF
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Encore
le même disque g Encore le même disque, une vieille rengaine,
Au rythme lancinant d'orgue de barbarie,
Sonate de sanglots au milieu de ma peine, Un prélude d'orage, annonciateur de pluie Le ciel laisse tomber ses tentures en loques,
Des trombes d'eau s’agrippent à la terre endeuillée,
Symphonie de nuages sans aucune équivoque, Du crépuscule à l’aube jamais inapaisés. Vieillottes mélodies qui traversent les âges
Du larmoyant crachin sur les feuilles jolies
A l’averse tueuse, aux flots de boue sauvage Balayant nos erreurs détruisant nos folies. Les lauriers sont coupés, nous n'irons plus au bois 2
Voir courir le furet, ne pleure pas bonhomme,
Les comptines sont loin, la nature aux abois, Nous voilà tous punis de la folie des hommes. Q CLBF 2
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Crois-tu que le fermier qui voit fuir l'hirondelle
Saïit en voyant son vol s'il fera grand beau temps,
Ou si rasant le sol en fournoiements bruyants Elle apporte la pluie assise sur ses ailes. Me diras-tu à moi fille du bord de mer,
Pourquoi le vent d'autan sur l'arbre 5 époumone,
Et comment le maïs dont les épis fredonnent Présagent d'un orage, cela est-il dans l'air 2? de n'entends plus de cris, le silence a bougé 2
Au loin un reflet gris vient marquer de sa haine
Le pauvre paysan qui sur les sillons peine Et les bœufs agités ruminent leurs fourments.
Me diras-tu enfin, toi homme de la terre Ce qui fait que ton temps est différent du mien,
Toi qui sais reconnaître le chant le plus lointain, Raconte ce savoir que Fa transmis ton père. CLBF Le silence a bougé J'aime être près de toi après {a nuit bien close,
Quand ton nez à l' affat bume l'air du à jardin,
Al, fera beau demain, me dis-tu -C'est certain! Juillet depuis frois jours s'est habillé de rose…
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Je voudrais un amant
D'esprit un peu fou-fou;
Qui me prenne par le bras
Qui me prenne par le cou,
Qui ne soit pas trop dur
Maïs pas non plus trop mou!
Un langage facile,
L'écriture docile Des lèvres amoureuses Qui me rendraïent heureuse! Je devrais préciser -J'adore les baisers qui furètent partout Sur le front, le menton AL Sur le nez, sur la joue Faudra-t-il suppler? Me mettre à vos genoux? Mais je peux aussi Gien, descendre un peu plus bas!
- Voulez-vous remonter!!! Sans me prêter ici une intention fubrique Sachez futurs amants je ne suis pas de celle Dont le genou se plie pour une bagatelle. J'ai quelques courbatures qui souvent se révèlent. Sur Le galbe d'un sein C'est là que j'autorise! N'envisagez méprise! Ce poème décide de ce qui me plairait. Je voudrais un baiser, juste derrière l'oreille. CLBF
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D'endornir le douleur qui m étieiné au matin, Presentey vous ce touble exhe mes mot foubus 2 Télme faut bs tetnter dinconsciente spéance, Ée houvera acc d'une telle inconstance.
Les pages ainsi écrites ne soné que & costume Dont se revét de page pour Comme de ma vie,
L'amour esé suypendu tout au bout de ne plume Télme faut d'un quatain labillèr na passion
Cia que son regard vienne arracher na page,
Price robe noire aux mille et un boutons
taf de papier dévoilent un mirage,
Ce vétivai mes veu de hapés érotiques
Ët d'un chapeau de paille ciconflaxe d'été,
Tous bs mot qui domaient, chases, dans lencrier…. CLBF
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If | Carte du lit de la solitaire désabusée… Comme on fait son lit on se Couche
L'adage étant bien vrai, pour que je ne découche J'ai entrepris matin toilette de mon lit.
Les draps sont sous la main, les taies sur la Commode. J'ai pris mon déjeuner avec ses vitamines,
La matinée m'inquiète mais je m'en accommode.
Il faut Changer les draps, l'affaire est assassine.
Apparemment simplet le duel reste vrai
La Couette dans la housse, c'est si simple pardit
Et nous Voilà partis! Soudain je disparais
Le fessier bien en l'air, bras en Croix sur le lit.
Et je reste coincée en soufflant Comme un bœuf
Cette housse P….... je vais lui faire sa fête
Chaque fois c'est pareil, mettre le lit à neuf Demande autant d'effort qu'un sérieux tête à tête.
Elle Va m'épuiser. C'est qui qui se ramasse? Boudine dans le centre, échappe à mes coins
Se refuse à mes mains dans un dur face à face Pensant être arrivée au tagada tsoin tsoin… Cinquante fois j'ai fait le tour du matelas...
Je suis passée dessus, autour, même en dessous ?
Parfois j'ai pris mon pied. pffff.. pour CoinCer Ce fatras J'ai “mal à la guegna” et si mal aux genoux ! Enfin, j'ai réussi, n'est-elle pas jolie
Bien à plat, étirée, lisse Comme mes fesses,
Avec sa taie à fleurs et Carrés assortis Quand je vous dis qu'au lit, moi je fais des prouesses...
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770 DE MAUX Ah, cher Monsieur! Que notre vie DER OM EN NOT OE ET ITLR
Chose ordinaire et banale Que l'on peut voir dans le journal. TT CU OUT CE TS
AUTONET 7)
Votre humeur soudain nécessite
Que nous écourtions la visite. COUT CRIE A TT Par quelques jets de vilains mots ? Seriez-vous donc le narcissique CNT UT UT RATE TES
Allons l'ami, soyez joueur !
Des mots connaissant la saveur
Nous les posons au seul couteau
Qui redessine le tableau. CLBF
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SEX-APPEAL: CSN ENCORE TOR LS
Je veux de vous un long baiser.
Avant que l'hiver ne m'étreigne,
LAPS PTE NC SE ETS DES ETS ETES
CAPOTE
Sortez-moi donc de cette impasse
Car ron sex-appeal ! Lui s'éffondre. Neige blanche autour de mes tempes
Corame des branches de lies Je ne bougerai pas, je camper Presse 'attente dans l'au-delè. Je partirai le cœur paisible Mais ou irais-ÿe bien sans vous?
LETTRES UE CS Je vous aime. ef toi fu t'en fous.
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UN REGARD DE SILENCE Les soupirs de l'automne frôlent encore l'hiver,
Les mèches des genets frémissent sur la lande Et le vent disgracieux penche leur tête d'or. Rongée par les marées la falaise recule
Le ressac lancinant lui arrache la peau. Stigmates d'une mer qui se veut victorieuse Falaises pétrifiées, usées par le limon
Bourdonnent de feston par le temps dessiné. Les sanglots ténébreux mordillent notre plaine. Et là-haut tout là-haut sur les branches glacées,
Les feuilles une à une détachent leurs tourments Echouant leurs adieux en gouttes de rosée. Le charme des saisons cause parfois des peines,
Sereine est leur beauté quand s'ouvre l'horizon, Alors que le regard caresse le silence. GEBE bleu dilersy Mort
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Nous, les gens de la terre saVons nous reposer, Il nous suffit d’un banc CaChé sous un tilleul, De savoir sous nos yeux le village posé,
Surprendre le pic-Vert, écouter le bouvreuil Le dimanche est sacré, il est jour du seigneur,
Alors le Chien <« Pipeau » ne Coure pas la gueuse,
Mais c’est aussi le jour où l'aiguille de l'heure, Arrête de courir derrière la trotteuse. Le jour est suspendu Comme le linge au fil,
Il se laisse bercer, secoué par le Vent, Quand me Vient une idée qui rôde sans péril, Je remets à demain….demain il sera temps! Dès l'aube le travail ! Une chose après l'autre,
Chaque heure à une odeur de terre si ConCise
Nous avançons ainsi faisant nos patenôtres. Egrenant nos deVoirs tel un homme d'église. Je Vous vois tous Courir Coinime furets en Cage, Cherchant au bout du monde un soleil, un hiver,
Un mois d'août enneigé, janvier en bord de plage, Je me dis que le monde va un peu de traVers. Dieu que je suis heureux assis sous mon tilleul,
J'ai parCouru le monde en regardant mon Chap.
Et les monts silencieux qui Virent mon aieül Font toujours les dimanChes de mes enChantements. CLBF
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J' n'ai rien d'mandé… Avez-vous lu une missive Ou une page manuscrite, A la teneur bien explicite?
Enfin une liste de choses ; . .
J'avais au pied de mon sapin Pour le vingt cinql Magi it,
PCI D RE PQ Bottes, pantoufles et escarpins, Pour les grands et pour les petits. _— :
J'avais laissé la F'nêtre ouverte, J'nai rien d'mandé, je n'ai rien eu
pourtant j'éspérais un peu plus!
Pomreernnet Et voilà une année nouvelle Mais cette nuit-là fut déserte.
Parfois on espère quand même
Que le père Noël nous aime,
Mais trop occupé je suppose.
Mais à qui dois-je m'adresser? oran) J'nai rien d'mandé, je n'ai rien eu,
Quelles divinités cruelles Pourtant j'éspérais un peu plus! Pourraient saccager mon année?
Je demande un peu de bonheur,
Aux épinards mettre du beurre Santé pourrait être la clause... Enfin tout ça c'est peu de chosel
J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu
Cette année je veux un peu plus!
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DAS ETS IN EE Seule une jolie fille peut m'allumer.
On doit me manipuler avec douceur Ne jamais me mettre en contact avec :
-La vaisselle
-La lessive
-Le ménage -La cuisine...
On fonction repos, entreposez moi sur le canapé du salon, devant la télé.
J'ai besoin d'une alimentation de qualité
ne jamais me bousculer, me contrarier 4
ou me démonter sinon la garantie ne couvre plus ce de technologie ! Ne me parle jamais des choses qui me fâchent
BEST ET EERERS TN EIONUEETTUER
SERRE TEST ee NES TETE CRT eo 10
Quand tu me Contraries, j'oublierais père et mère. EvVite de me dire que ma mère est parfaite,
Que mon père bien sûr ne la mérite pas,
LIRE UT RTC RTE Et ton anniversaire, insiste et tu Verras! Me dire que j'ai grossi que mes rides sont fraîches,
Veux-tu te retrouver dans le salon ce soir? HE UC Mau eue CES Tu “pèles” toujours le fruit dès qu'on est dans le noir! Je sais, je parle haut j'ai une voix qui porte, Et en parlant de porte tu risques de la prendre,
Me dire que j'ai la fesse triste Comme un Cloporte,
Tu vas gagner la Corde celle qui Va te pendre. Laisse mes illusions aux sommets de mes rêves,
Il y à si longtemps que le désir s'éteint, N'être pas un cadeau mais aVoir eu la fève! Je suis reine des C. ai trouvé mon desti
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Cri le temps des heurts, celui de lége mûr,
Ses étés verdovants, des hivers d'infortunc.
Apañséc d'un passé complice, d'un futur Poici que je respire, nuc dé loule rancunc. Rer quelques coups de vent que le souffle chagrine Sans Le calme muct de bien tristes lourments,
Ce dois apprivoiser, dans d'heureuses comptines es douleurs d'un présent les bonheurs d'un avant ous Le poids, Lx rancœur des ans fait qu'on s'incline.
Alors courbant la iéte, s'inhibant de vertu
assume la vicillesse, cette fleur sans épinc Cl un rempart d'amour, endurci d'imprévus Carré fi ct du temps ct dé ses inquiétudes,
Rorter sur les épaules son lot de châtiments, Ex femme ainsi courbéc par tant de lassitude
SOns La crainte d'aimer se meure du néant CLBF
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Les hirondelles se faufilent
Entre les rais venus du ciel. Elles s'en vont, quittent nos villes | Cherchant ailleurs d'autres soleils. Passent au-dessus des cathédrales,
Croisant au sud des minarets.
Sur des dômes ronds en pétales, Posent leurs plumes déchirées.
Cruel est le froid des vallées Lors, elles quittent l' Aflantique. A l'horizon, des grues cendrées Tendent leur cou, droit vers l'Afrique.
C'est un vol déchirant d'espoir
Suivant en un immense V
Vers l'horizon de leur mémoire
Un chemin nu déjà tracé. J'ai posé mon regard sur elles Du plus loin que l'aube se lève, J'ai vu dans un mouvement d'ailes, Une paix dont le monde rêve. CLBF
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EU RAUREURU PERTE EN EEET PERRET TEE TEE RETRO PRE REP R EURE TER PERRET EEE REITEEEREEI TEE
El 5 D SCUICE sr des larmes d'amour qui coulent de ma plume,
ET TT DATE TES LEA
Dans mon coeur oppressé aussi lourd qu'une enclume, VIRE TTUANT sanglot CAT TT OLA CORTE AT poursuit de sa PITCTA
UT ct l'oubli se disputent EPUTE CL
OPEN TR (IT Fe TLC [l CTI NE CAT ONZE CU SALE TE UE MIE Mr LUTTER de mes pauvres mains vaines,
Un essaim bourdonnant d'abeille retenues,
4e DATE TETE qu Enr peine
Des soleils de saisons [TTL ÉTAIT SÉ CENT ON ETS COTE LOUE par {F CA
HN PATIO pour revêtir ta peau,
TNT ET ET TT PL TT a en voyage Quand on aime d'amour on sait ce (LAS beau. MR mon recueil de ces mots CT L'TTOZ A
CDe ces verbes st doux dont on fait des WU
NL m COTE CAC TC l'anglaise, EEEIEEEENEEEEEEENEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENIEEEEEENEEEEEEENEEEENEENEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEENEENEEEENEENENEENEENEENEEEEEEEEENEENENEEEEEEEEEENEENEENEEEENEEEEEEEEEEEE EEE EEE TEE EPP PP PRE EPPPPPPPPMPPPPMPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPP PP PEN PP MFP FFF PP PP PP PFP PF PM FFF PP FFM FFF PP FFF FFF PP FPFPPEPEE SEC PTIT UrTT LR PIECE
EREERSEGEEEREEESEEEEESEEEREEREEEEEEREEGSEEEEESEEEEEEESEEESEREEEEEEEEESEEEEEESEEEEEEEEEEÉES ET
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CRT UT EN RAT EL ET ER ELU 2 EE 1777
Caimais, maille après maille, enrouler sa douceur.
Tout en tissant le fil d'une Ariane en déveine Aux rangs détricotés de énélope en pleurs. @uc faire dun printemps quand les ans nous rattraper,
@uand des cieux bien trop bleus éclairent notre cœur,
(CAC RS 07/2774 Cr) 2 NET A A) LL ALL 70 Gt un point à lendroit et un point à l'envers,
TE ET RC ELA 1172
CPR 77/17 e CORTE TE ECTS Ce tresse ma pcloté, ébouriffée d'ennuis,
CALCUL TUE EE 2 1/7
EE CT ET 2/7 12772 ec cliquetis du temps que faiblesse désarme. Gt un point à lenvers et un point à lendroït,
(O7 PTE 7 ES
(CT RTE ET 07 V7 KG vienne en LCR LE LT 07 0777
CLBEF
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…— Effeuillage d'automne... Jeunesse! Ta beauté s'est détachée de moi, Me fuyant chaque jour je n'y prenais pas garde,
J'avais hâte d'aimer, l'amour ce maladroit Laisse bien des années s'échapper par mégarde. EURE J'essayais d'oublier ombre du temps qui passe,
Chaque été azuré mettait mon cœur en joie,
Je saisissais [a vie comme le vent l'espace ÆEtour die de printemps l'hiver reste courtois £a vieillesse rampait tel un oiseau blessé Se posait sur mes yeux pour y creuser ses rides,
Au contour de ma bouche se lisait Le passé Æn sillons ciselés de souvenirs timides. DEEE IEEE EEEEEEE Mon cœur sonne Le glas de sa gloire vaincue,
Garder peine et douleurs ne pourront rien changer,
‘Mais reste au fond de moi, encore l'inconnu ‘Un automne en couleur qui reste a effeuiller. CLBF 27/07/2011
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Derrière un lourd rideau
Des mots de tous les jours
CCE ET TT ut Ut
Dorment depuis toujours.
ls attendent une oreille
Qui leur ferait écho!
Ces petits noms charmants
Çes tas de « roudeudous »
(CRAFT TOUT TS
(CRETE ENT TT
LC COTON Era
MOTO EU RE UT
OR OT ELA
ÉRIC SECTE Out
Et qui, par habitude
Disent n'importe quand
Souvent n'importe quoi.
Moi j'aime celui-ci ! Chéri,
Chéri. Cest un seurire,
On billet loterie,
(CCE TES
Récompense ou vétille.
Chéri, C'est un délice
Gourmande friandise
Un carambar paresse fondant sous la tendresse,
(est l'amour en vadrouille.…
Chéri si C'était toi, ETC CINE UE de le dirais avec Des baisers dans la voix.
SET SE TEL ES
Des soupers aux chandelles
Pour des soirs de éalas, Et aussi pourquoi pas:
LEE TOR UC
Des minous minaudants
Des reudoudeus” en peine
LOS CTICT ONE EONEUTS Des canards à l'orange Des poussins sans poulet
DERTERECES Qui se voudraient aimants.
CSC ETES)
ÉD CROSS Gh miracle d'un temps
Quand je parlais mour”. CLBF
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Envol de vers. CET CSS OT CT LOT 0
CCR CAE TES CETTE C0 CT
Semblable à des lettres lancées par le poète, CRTC TLC LCR Ivre de liberté, perennt le IAA
Ecartelant Le ciel d'un trait de plume LS
Saisissant l'infini bien au-delà des murs,
De sa pluime l'aède perce La blanche page.
Et d'un trait de lumière enchanteur, sur un fil,
L cl C0 CUT CLEA CT Le doute,
Essayant d'échapper à l'envol juvénile
De quelques vers légers croisant une déroute.
Je sais une aile sage et 0 en mon cEUT,
Des mots de poésie vivant d'obscurité,
Qui d'un élan frileux en muette douleur
ELA à LUN C2 CONTENT 007 CLBF
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CŸe ne saïs pas encore à qui donner mon cœur Ccrivez-moi | Qui le délivrera de l'ennui dont il meurt
€ approche de l'automne va méler ses couleurs À la mélancolie dont se parent les heures. AL cfféuiller d'amour comme un hiver précoce, SDemprisonner ses réves aux graphites grisailles, Le.
SE |
% Ca laissé mon crayon libre de tout négocc, VX avais la poésie pour livrer mes batailles. Le w Boss ; en
CE CS écrivais mes mirages auz brumes d'un écho \4)
4! Avec au bout des cils un imprécis désert, a CŸ écrivais mes tempêtes à l'ombre de mes mots Eaissant à mes soleils pou de portes entr ouvertes:
Cÿe vous voudrais ainsi, assidu de tendresse, QG proche dans le verbe qu'il serait à cucillir,
CŸe férais des bouquets dé vos mots en sourires SDessines mon bonheur, colors ma faiblesse. Œcrivesmoi Monsieur, je languis dé vos lettres,
Se douceurs si sucrées que j en mourrai peut étrc, Mais si je n'en meurs pas, je pourrais disparaître CLBF ar à vous espérer je voudrais bien renaître.
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CŸ écoute les secrets de l'unique pendule CKourrie DL LIL LE LE LE 7777
CT NEUVE EL 1/17 ORACLE T7 ET en Au soir d'hurlente bise épaissie de brouillard
res du feu la timide en duo somnolent
Gicrnise ses heures tel un gamin musard OP RTE EC 0 RAT 2 CRE LE VAT A UE 717
CCE CT ER ET ER C0]
(022277787707) ETAT ALLO 7 (CPR ETAT RTE A LILI 212
Os des vapeurs de thé, des flambantes soirées
Our LG marbre vciné où répose son or carre que lon oublie que le temps à passé.
CLBE ORRORO TOO OT TOO TOO TOO TOO TOO FAT OT TO T TT TO TOO T TT I ÉT IT TT T TT TT TT TT TE]
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ETTLCCAIL A A TR A1 OR CLIC LLC 702
CAT ET EL 7 7 2022 Afin de voir passer Le temps qui capte ELEC NICE UE 101
OT CT CEE 0
OR TR TE RL CURE ET ES 00 (110 767270770007 0007
Camais il ne recule, coure vers lavemir 1 trouve son comptant d'automnes à ternir,
Én pus À de ja dj RE ra ETAT ALT CR ET 22
CRT A LE La Le
Oachant que les printemps demeurent les couloirs
Où L'on cherche sans fin cet air d'été qui danse. CLBF
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ET ETS ER CEE I
Je remets aujourd'hui ma tenue de fonction,
CORTE EN EIRE ET)
CIEL TE ET RICE GEAR
Durant de nombreux mois, j'ai couru chez Casto
ETAT) A CALE A ETES EEE
RAR ENT EE TT TT ERTTET (Ne Eee 110
COUT AO CAES 9712
Ne CE CAT ER CURE AT EU TEL ES
NET CC TE AO IC AAC UT I
D'ailleurs j'ai un surnom:- Bricolo-Bricolette
Car souvent, voyez-vous je change de casquette …
J'ai les mains dans la colle et la fibre de verre. Je grimpe les barreaux, les descends, j'ai des ailes... RAT CNRC SCC AT ES) Mon inspiration est au bas de l'échelle... Si j'aime bricoler, je ne suis pas experte.
Quelques bases solides qu'un père m'inculquêt
S'il y a des travaux, je suis loin d'être inerte Vous avez la primeur de mon méa culpa... J'ai laissé les amours au fond de l'encrier,
Les montagnes, la mer, le vent et les nuées
J'ai les pieds dans la vie et s'il me faut rêver Rte ete CET TE Re Ne CLR CLBF
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CŸ& souri tant de fois pour bien cacher mes larmes Gt combien de bouquets jai lié sur mes mots,
Oouvent riches d'amour qui pliaient sous les armes, @uand mon âme étouffait le triste des sanglots. SOans mes peus, tant de fois j'ai peint un arc-en-ciel Et combien de soleils, des je t'aime cffeuillés
@uand de pétales usés on promesses éternelles
CE voyaient le matin à jamais sy noyer.
QG jé trempe ma plume dans l'encre de ton cœur
es mots trouverontils une douce musique,
OGcrontils si parfaits à chercher le bonheur,
écriture parfois oublie détre pudique.
Ce serai ce poète en mal d'intonations,
Aus pages versifiées de lignes à l'encre noire
SD ces brassards de deuil qui font l'écrivaillen,
Ocul le point sur lx page deviendra méritoïre. CLBF
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La Le nent files JL enfuil, de seplemhe Ee
Ur léger courant d'ain pénètre nee
SE cubes mreub de a cures ae one dus
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Dons Le qé dévnté, Le mia ande ne ponche,
Lois è
eee
Le cel emquponné de quiaille tunmune,
Le las sun Pagan que Ds naques sonfuiont,
Aa Ua mar Ranslante élu 0 fusnsunes Lun la plage glacée où tombe un cel de must
automne ment pas mot ko qui pure ce, de dis Belle saison comme Loutes Les aulres
ns ete
Nue andre dans non paf perd de na lonhomie
Le Longs & names na mmilance constante :
Kou qued, du sdilaine fanonk, comylaisante =
', esc_url( get_permalink() ) ), '' ); ?>
COUR MATINALE mêlent à l'odeur du matin
Entre café et confiture
Quelques traces d'une écriturel À croquer avec du bon pain. Encore un nuage de lei !
Êf sous fon peignoir enfrouvert
Mes nofs prennent un drôle d'air,
S''envolent en fumée de café.
Me main glisse sur le cahier,
Fraise des bois, doigts confitures
Couleur de miel quelle vertu
Je rêve peau ef encrier
Mon appétit de vous s'aiguise
Je reprendrai bien volontiers
Deux ou trois vers au déjeuner Anuse-bouches, friandises. Sucrette ou sucre mon amour ?
Un seul, hoche montêted fête,
Êtmes phrases softes s'entêtent À vouloir lui faire le cour. € €
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Trot pages endroit
Deux phrases detravers la douce grand-mère
Tutos écris
es rés de ads. DEV Onde rie te
CERCLE CRETE LE
DO ET uen T ie ere Le ee) Afin de tricoter telle une vieille fille. Entre deux point de riz, torsades CPE
Ma tête se souvient avoir eu de l'esprit;
En recherche de mots un peu pour m'amuser Je ne trouvais que maux détricotant [EXC Mon cerveau bourdonnait justifiant l'anarchie
DÉSERT STI UE 11e
Car après de longs moiïs, des carnets je remplis (ETC ES CURE TES ONTS ENCTCT TS UD TENTE TETE Ou fee E EE RATE ZE 1
M'offrit des mots nouveaux sublimant mon ŒxteS
ONE elec ice tt PNR ETC Ita E Tel TS CRE CE CR AE Tes DE DATE LEE ravie dans le jeu de l'amour
STE AE TIC ES EEE CE CET ETS
Pt ect) Mr IT Ts Je remisais mes vers le temps du bel ouvrage. CARE EUT Elu ITS CE
Parfois un souvenir se glisse entre les mailles
DST OU ES RC) Eee ESC TT
Cherchant dans mon silence accorte inspiration CLBF
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D las à es humeurs teintées de vert et bleue CORTE TETE TT TER DS OR I PTT EP ET E ZE
OPERA PPT 777
lus le vent de janvier qui souffle des ténèbres
@ fendillent les corps comme vigne endeuillée. Fine A frcidure hivernale inende nos collines ORPI PIE TT Faune plaie d'enfer coÿfée de fils d'or pâle.
den OPETE TP TPPTIE
EP I PPT IP ES a neige lentement met sa r6be de bal.
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TU PARLES TRISTEMENT AUX CAMPAGNES LOINTAINES,
COUVRE DE TA GELÉE LES TERRES DÉNUDÉES,
UN NUAGE GLACIAL VIENT LÉCHER LES FONTAINES FAIT GRELOTTER LES EAUX DES BASSINS ARGENTÉS. LE BROUILLARD, PRISONNIER DE LA FORÊT MURMURE,
L'ÉCORCE RACORNIE CRAQUÈLE, SE LAMENTE,
BLAFÂRDE, PARESSEUSE EN ÉTOLE DE BURE LA CANOPÉE FARDÉE À L'AUBE TRIOMPHANTE! ET LES MONTS ENDORMIS OÙ SE BLOTTIT L'HIVER,
DÉPOSANT SON MANTEAU IMMACULÉ D'AURORE,
PAISIBLE SÉPULTURE OÙ LE REGARD SE PERD
SUR SA PEAU LE ZÉPHYR INSIDIEUX, LE DÉFLORE. CES JOURS PÈSENT SOUVENT AU CŒUR DE NOTRE VIE, LE GESTE DEVIENT GOURD SOUS LA FROIDEUR DU TEMPS,
MALGRÈ QUELQUES RAYONS BLEUS DE MÉLANCOLIE
NOTRE ARMURE SE PLIE AUX MARGELLES DES ANS. CLBF
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Gare à votre cœur cher amour Le printemps met ses beaux atours
Méfiez-vous des chants qui s'envolent Du joli bec des rossignols. Gardez-vous mon très cher amant
De ses bourgeons jeunes et ardents
CYR CR EC TE CR CT TT Se cachent tant de ritournelles. Soyez prudent mon cher ami
L'oisillon pourrait faire son nid
OU ET EE ET TT Souffrent d'un je ne sais quoi? Cette musique buissonnière
A pour vous de douces manières
Si vos yeux butinent jardins De votre cœur ne donnez rien. C.LBF
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GTA ET Un amour s'est caché dans l'ombre de mes maux
PALAIS ZT RE 7 7 ET A
BL LI TI TI EE ET LITS L 120777 PARAIT I TE 770 PA LT LE IT EL STI AE 777702 Ne sachant où poser Le souffle qui l'inspire,
TROT TT RE LL 71 7
Dans Les moments de doute ou sombre Le poëte. 772 faites-vous Les mots ! Etes-vous donc ailés
CORTE LT CT I EE 2
J'aperçois sur La page un amour délaissé, PRET I LL TRI LL EI A Alors je vous écrés par ce triste dimanche
Séduite jusqu à l'encre à me vouloir aimée
Me vient une passion pour cette feuille blanche CPL TE TT A I LOT TER 7 7 EUR a AE TE AL ER 0 260
ER EE LE ALT LE PLIS 177173
EE D LT TEL LE LL LINE TRE 72717718 Mais Lest-il donc vraiment quand il porte costume ? CLBF
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ANNE NET OI En ouvrant mes persiennes CD Ur bruit de branches ef d'eaul
Le nature s'éveille
J'entends comme unécho.
L'orchestre du printemps
À nis ses beaux habits Les abeilles bourdonnent Le soleil est ravi.
La rosée du matin
Blanchif le haie sauvage, Je rêve encore de foi © Les petits éfourneeux ©) Pieillent: -Alez dégage! De regardis aux fenêtres Deer Entourée de tes bras Souffle sur le prai Un concert en duo RP US Rier que pour toi ef moi, Redresse ses épis Quand les violons du vent Cesseront leurs ébats. Alors! Et dans cette harmonie … C.LBF Je deviendrai printemps...
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DTA qui jusqu ÉTAT AUTO (O7 D(I4 viendra où sur ma bouche T postras léger, farouche, és
Sans que ferveur ne m'effarouche. DT PLTETAO visage ACT CETTE TE Te présage, Sur nos lèvres, PLUIE Brûle un nectar pour un LUTTE TA
Morte POCLET ÉTAT
Seul un baiser [USA PL EUR DAS TOURS TS OT Quand PAS de toi BAT m'étendre..
ai de velours bouche docile
Sensuellement se faufile 2 VAUT LU (y EL OO a \ BYE CETTE ETS
ec CR UT ON (tes LITE mais si bon VE d'amour léger CSA > ©
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AINSI S'EN EST ALLE … Ft de ces jours sans fin qui ont fait une année
Ft que j'ai vu passer pourtant comme un OTAE,
Qui soudain annoncé par de sombres nuages Vous quittent promptement sans vouloir s effacer. Il fût des ciels sans joie, des soleils d'allégeance,
De ces nuits dans l'espace à jamais englouties, Privées de confidences aux matins alourdis Ainsi s'en est allée une année sans partance. Flux et reflux du temps, marée d'heures infinie
Va et vient de silences, de peines, de gaîtés
De montagnes de bruits sur des chemins blasés Par ces remparts de vie, certes, l'on s'affranchit. Encore une à venir, peut être une tempête
Dont on ne sait souvent qu'elle en sera le chant,
£a prudence voudrait que l'on suive Les vents Æt qu'emportées ainsi les saisons soient conquêtes. Soyez tendres, mes ans, voyez ce qu'il m'en coûte
Jour après jour j'avance en mordillant l'ennui De ne vous voir passer sans hasards ennoblis Je ne vous comrterai au'en pions que l'on rajoute... CLBF
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Au soir d’une belle saison Ils sont entrés dans la maison.
Lentement la porte fut close
Quand le soir s'est vêtu de rose. L'arbre majestueux dominait la prairie ‘Un superbe noyer caressé par la Grise, Dès l'aube son feuillage enchantaïit toute vie Œt ses rameaux tendus n'en faisaient qu'à leur guise. L'hiver Le dépouillait sans grand ménagement,
Tourmenté par Les vents l'arrachant à sa terre
Son tronc rude scellé comme mère à l'enfant
Se fendit sous l'assaut d’un terrible tonnerre. Le lit se fit ainsi passant d'âge en âge, Il fut Le nid douillet des tous jeunes époux, De joies et de mystères il sait les heures sages,
Œt Les ardentes nuits d’un vent de sud très doux Le père a le sourire, la pipe au coin des lèvres,
Lui qui jeune gamin un jour le vit couché Ce noyer parfumé délicat comme un Sèvres
S'eveillera un jour aux cris d'un nouveau-né. C-LBF
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Laisse moi m'envoler, garder ma liberté
Laisse le vent du sud m'arracher de ces sentes Etle vautour porter l'embléme de ma voix. A déchirer le ciel tes flèches cathédrales
Au-dessus de tes monts au drapeau de nuages
a ne te Et tes frissons d'espoir là ou l'herbe se meurt
Où tu caches en ton sein le lait de l'espérance
J'ai marché sur le fil des rocailles amères Terre il n'est de loi qui te ferme en mon coeur
Et ployé tout mon coprs sous l'arbre horizontal
Celui-là même qui , survit à tes colères.
Laisse-moi m'envoler, garder ma liberté
‘Accroche à tes sommets mon coeur et ma passion À jamais cher s demeure ma raison.
EE CLBF
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nu Au milieu des grands bois oubliés du soleil,
Là où l'écorce nue s'est teintée de verdure,
Sur le vieil arbre froid s'offrant une parure, L'automne a fait pâti jusqu'au moindre arc-en ciel Pris entre les contours d'un chemin de fortune,
Il est un gai ruisseau au chant trop dissipé,
Venu d'où ? Qui le sait ! Jailli d'un clair de lune, Bourdonnement lointain d'une eau roue cuivrée. eu uisant, un peu sait aussi jeune que vif, Aussi clair qu'un cristal, bien plus malin qu'une ombre,
ourd d'un très long voyage, le ru coule plaintif,
Pe perd dans le sous-bois naturellement sombre.
j I vient de là; Très haut; Des pleurs de grands nuages...
Tout au-dessus, là- haut, au-dessus de l'écho
Là ou traîne le ciel sans plus de paysage. Savez-vous qu'il s'endort quand passe le troupeau. ère, tonnerre et rumeur,
Tva, fuyant les bois de village en village, mportant avec lui mille et une couleurs Le vent le suit, parfois le pousse, le bouscule
Et sur sa jeune peau cent rides le menacent,
Ondulant de remous sur la roche, il bascule. Voyez comme il grandit aussi fier qu'un rapace... Aurait-il oublié la douceur des vallées Sous l'appel du grand fleuve, insoumis qu'est l Adour
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b’aube muette a dela peine, RER EC EE n IC
CRIE EEE EE Un bout de nuit qui le camoufle.
Elle s'éloigne des ravines CO ET EE CE
OT ESEL CU EE TR ENEUT 4 S'enfuit, avec reéret, amère.
Sur le sentier, élisse l'aurore, CRETE CE Ut ua
En OC TC EL COS De sa pénombre ouvre les pans. (CALE ETES
CEE ET SES ER EC
IDR RERO ETS OS OEEONTOT ETAT CUT SET CA
b'éclat des lames effilées EC ITE elErO
bes LUS EUR CSS A aiguisées Mordent la terre sans remord.
be jour s'est levé, érand seigneur, Un vol d'oiseaux fous le salue
Îl n'est meilleur festin du cœur Qu'un chant d'acier sur les blés nus... CLBF
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lei, dans mon village aux teintes bicolorgs Lg temps use sa vig sur les toits qu’il décore.
Pans mon humble foyer quand l’aubg vient d’éelorg On voit dg la fumée courir après l’aurore. Il n’est dg cheminée qui ng sache, confuse,
Fairg rougir lg bois. erépitant des excuses.
Sur la table vigillig, veinég per la céruse, Le café gst servi, la tisang infusg… C'est qug l'heure est fuyante et les bêtes nerveuses,
Mais la nuit eouvg gncorg gllg fait sa eurigusg, Se dégaise de bramg au matin, racoleuse, Frôlant l'aube amusée de farees an peu douteuses Qui voudrait bien sortir par eg temps de broussaille
Si eg n’est des corbgaux qui entre gux sg chamaillent, Ils eroassent gt fuignt voyez done lgs eanaillgs Pour ang branehg un ver souvent ils sg harpaillent Puis an silgneg tombg ou bign est-eg un jaron ?
La nuit digng noiregur fait voler sgs japons,
Quand lg noir de son deuil du haut de son baleon Laisse apparaître en pleurs, des milliers de flocons … CLBF
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CRE CRE LT ARE 7 Tordue comme le dos d'un vieil homme bourru, ERA TE ET 7 CE 0777 Recherchant un soleil à chaque coin de rue
(PPT PUR CT NRA
ET NL 12 T 24
QT CE D 7 ER PRE 2
CO LATE CI EI A A7 À EUR A ELEC ECC) ALL 12 ‘Rromène son rayon de lumière perléc, CLEO TA ET ET LE CE 0) Ce pourrais mendormir sur une herbe dorée.
CAT GC ET LAETITIA ELA T0 CLEA ET RE 7
“Roindrent sur des tigelles encore ilusoires 2277778708 020072770778
‘Aus épaisse à l'ombre, RAT LE LOLCA es ornières, sas plaies au marcheur solitaire,
@ui voit à l'horison silencieux et muet
CLR ET EN TENTE 07/12 CLBF
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Chuchotis {Je Pluie ciel froisse ses blancs nuages
En lourds sanglots mystérieux
U teinte la mer de naufrage
Sa colère le rend furieux. Sous des milliers de fils de pluie,
Πtisse des perles de strass
4e métier à tisser ravi Œait la navette dans l'espace. Quand sous la terre qui sommeille
es chuchotis de ses sillons
Pareil à un essaim d'abeilles
anguissent de leur moisson. Dans un frémissemnt d'ivresse
es arbres offrent leurs ramures,
4 ciel retrouve sa paresse Œt la nature ses murmures. CLBF
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Grâce à sa lampe d'or, la lune aguicheuse _ Deson aura magique fera cesser tous bruits.
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Randonnée De gouttes de rosée la terre était couverte,
Une brume distraite s’accrochait sur les pentes,
Couronnant ça et là quelques cimes désertes Muette, la montagne de rayons s’impatiente. Ce silence fait d'ombres, de bruissements légers É S'éveille quand l'écho des vallées alentour
Offre un concert de cloches aux fougères bouclées Dans l'instant arrêté, s’élance le vautour. Je sens tout un passé qui me tient enchaînée,
A mes pieds cette terre à l’accueil chaleureux,
Apaise les tourments tant il y à de beauté, L'âme trouve la paix car le coeur est heureux. Crantés et découpés dans le ciel azuré
S'élançant vers les nues, s’abîmant d'abandon,
S'elèvent au lointain les monts des Pyrénées La caresse des yeux se noie vers l'horizon. CLBF dans (a forêt d'Iraty et ses re
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UN CERTAIN NOE... Es Le Pays basque intérieur immergé ARTE CT ECC TNT 4
ETES LI AT TE)
Sur une terre trop obscure
Noyée par une pluie fidèle. JL
Chaque feuillu dans le bois sombre
Recroqueville son dos nu
Œt dans la plaine gît une ombre
De nuages gris méconnus. AA EEE A EC TA)
De ramures au vent tombées,
Cette folie de la nature Me rappelle un certain Noë... I
J'ai vu un champ tel une mer
Roulers ses rictus de douleur
Cueillant au passage l'enfer
BAIL EL TT A
sue
Avec ses paupières EU COZ
Le ciel se meurt a petits feux
DÉCLIN TT AT) Qui changeront ce temps affreux, CLBF
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ET DA
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Un goût d'herbe verte. PR NT ETAT EI TRES ET TT er Bu à grandes gergees l'air glace du matin?
a Du fond de & vallée qui de coiffes couvertes ECS ICT TOUS ENS Ce TS ST NE AA Ce A doue avec les grands bois d’an automne enfantin,
EE IA AA ANS NEC EST 07
Ua ete de el ENT CS Tel Le café que l'en boit à un gout d'hierbe verte,
ACC QE TEE STE or ie
Alors le cœur soupire, grandit de découvertes,
RON AT ET CCE TE ET II CCE SEE Eee er
OCT CEUN LULU) CR ERA D TE NEC EEE A @) CRT NE ENONCE ttes CLBF
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Ce sais un soir d'été où lntements endert
CPP LT LL ART PA
CETTE TE LT CL
CPE CP LIL LV 07022R RE TT IL CRT D TTL
y avait un air... param d'espérance!
CETTE LL TS de ces ou qui flambeient QFautomne outancier épatigné de vent
TR LL LL 722
Éans doute auva-til craint quelques emportements
CLIENT ETAT
Cigé dans bur carcan de neige et de glace
Par ces colles pendus aux arêtes étain,
aise de ces slence parce W carapace.
CAT 77772077
(CARPE
COL ALP
COTE 277 CLBF
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‘frissons CD'embruns. AE ee SJ fallait s'archouter pour grimper Le sentier,
Pour atteindre (à-baut Les vignes suspendues.
{a mer se reflétait dans le ciel aguré, out n'était que senteur et douleurs retenues. Les, cailloux se : fetaient sous mes chausses dormantes,
Le pas se faisait lourd, le souffle me manquait.
De cette eau tout en bas, de torpeur aguichante, L'enivrante fraîcheur attisait mes pensées. Ft l'on monte et l’on monte, perdus dans (a broussaille.
Le vin doux odorant fait danser Les abeilles.
Sci chantent l'amour, (a terre et ses entrailles À vignoble s'étend sur le mont en sommeil... Le vent a des frissons d’embruns qui s’éparpillent.
Inots au plus profond, Les fantômes de bois
Flancent leurs corps secs, raidissent leurs ramilles, Pas un ceps qui ne boive au calice des rois... Le temps vient se poser, il faut bien qu'il s'arrête,
Qu'il offre son soupir que l’on garde pour soi.
ui sculpte la mémoire que la paix rend secrète, Fn laissant sur le front [a trace d’un émoi.
CLBF
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IE OTAUTE PLU PTT Que saisit le regard envieux de liberté.
Plus rien ne Le retient dans cette mer immense. GC GS LIT l'encre des marées. GIE a ce soleil, cette arme redoutable, Qui ne peut se cacher en son azur profond (ELU Di CURE UDC rl PPT TETE its LT LUUT ES
Mir ET a les monts, les LUDO rigtdes,
RETTATTE ergots, PTLITEUTE du silence,
Qui se (PET poudrer CA nuages frigides, (ONE NET ea Cire 1 allégeance. Cy a notre terre, écartelée d’effroi
(ITA pilori CAE TETE OL ETAT PAL cle à chaud, elle a froid, ONCE COTE TL (DETTE CULOTTE peines. His ily ACCRO CAE étangs,
ei LI ily a mes yeux maître CARTE)
Qu'il FOUT emporter par un four CA PEL vent :
BOT A ETETORLETT EC CT ES CLBF
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Quand PETITE) LAN L112 Le PEL silence,
OT CCR LUZ UTER LÉ DR CRT Cou dansent.
PAT ET A CET ut ut LÉ sanglots ë C0 CET (5 un vol d'oiseaux blancs occultant la falaise.
BOT P T's des eaux , Vomissant ses CTIPEA
077 DUC TEE impossibles et
Vient cseler le Flysh* PTT ON ETT TA
er “horizon, perdus, se lève, PELLE
Sous l'aile des PET E CROIRE |
Où l'épaisseur d’un del caresse de ses nues,
CI CAT CRI A TIITER
OL s’abandonne à ces lourdes crinières,
GTA devient prisonnier de (a lande côtière,
BUT CT UE CRETE TT CDépose des saveurs qu'une brise effarouche.
31 1 (5 au PU CET [tn T0 PLU ICS
Mit 0 (5 un chant de silence CULLUTR
TURC gémissement PATRON torture, {es vaques PEU NT CT UT CLBF
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Un Ciel De Solitude... Quelques buissons errants tenus en tapinois,
ln chemin chaotique à peine dessiné,
Deux, trois eairns posés plus ou moins de guingois
Sentinelles figées de brume encor‘ voilées. Le regard ne peut plus atteindre l'horizon,
un recherche d'appui, il se meurt de froidure,
G eourt vers la vallée, épie le moindre ton, Puis las de ne rien voir, aux pieds, se fait morsure. Rien n'est aussi gracieux qu'un filet d'eau chantant.
Japi dans la bruyère, un jeune malappris
S'aceroehe aux flanes abrupts, abime des géants,
Ooyez comme il se bat pour atteindre l'oubli... Le brouillard est l'ami des grandes solitudes.
G happe tout esprit, le traîne en son sillage,
Oébuleuses pensées sommées d'incertitudes, C'est iei, sous les nues, que vivent les r Le ciel ouvre l'espace et nous lance ses os.
Le soleil vient offrir ses rayons oniriques,
G se lève là-bas, nous offrant des trésors
Sous le grand chapiteau fait une entrée magique. CLBF
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ENTRE COLLINE ET MER vue de Bidart
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L’hiver est souvent doux dans les maisons natales
Les ombres sont chez elle avec tous leurs secrets,
Elles accueillent le soir, timide, réservé, Alors que le frimas aux ailes de nymphales Vient lécher les vieux murs sans aucune pitié. Un bien pâle soleil perce le moindre ajour,
L'heure est à la froidure en manches de gelée, Quelques bûches dans l'âtre à la tombée du jour, Qu’importe alors le temps quand tout est verrouillé. Que les ombres s'amusent et danse le buffet I Existe un sentiment profond de nostalgie,
De passé englouti, de repos mérité, Passe devant les yeux un cortège d'oublis,
Une vague d’émois, une paix méditée. 11 naît un pieux silence, un monde de pensées. L'ombre s'est incrustée, au mur elle s'allonge Puis soudain disparaît quand la bûche s'enflamme,
Elle devient voilier, cordage qu'on élonge, Le soupir d'une nuit; le trait fin d'un calame. Elle devient conscience abstraite vie d'une âme. CLBF
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LEGENDE AU COIN PU FEU 1 est maintes légendes entre monts £t forêts
Vivant de brame gt d'ombre aa beau miliea de lacs.
De petits Êtres frêles malins cf dissipés z vais vous raconter, ce sont les Laminaks. Je saïs semear de blé tout comme mes ancêtres
C'est poar vous mes aïzux, ceux qai nous ont vas naître
€t qai nous racontfigz assis autour de l'être De terribles histoires de génies ct de pâtres. Contears de nos vallées traversant nos frontières
J'écoatais terrifié st si soavent pea fier
Des récits d'un aatre âge de ces êtres earicux Que le soleil lai même évitait de ces feux. On disait lzars orcilles pointaes comme ang lamg,
Pe lears pieds on ne voit que sabots oa bien palmes
Les femmes étaient belles ct filaient avec art Pa linge aussi blanc qag lear regard est noir. Les hommes racontfaient biens des choses affreuses
Que des ombres sournoises sg glissaient silencicuses
Emportant les enfants dans des grottes si noires Que les plas courageux n'osaient q aller voir. Je me souviens c'est vrai de toutes ces légendes
€t encore aajoard'hai certains m'zn redemande
Je vous raconterai peat être bien demain, L'histoire des laminek cf da très vieux moalin…. CLEF
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“Rarfois la nostalgie, appel d'unc mer bleuc,
CLEA CECILE 910017777772
ire leurs jambes nues 1 horison sc déploie
PUR PE LCL AT LL 2200 (O7 EE EI ET
ec souffle des courants, le vol des tourterelles
TE EE CA À l'affût d'unc proïc sur les vagues émoussées CŸe mc souviens alors , dans la forêt dé chênes,
CT RL CC CE RL NL 20111704 SAC ACZE ER eV LOL 70710)
1 des voiles de brume de lempétes prochaïnes. BUT LC ALT AN ET 17 ET CET TETE 702
CR LT 1 ECS 21/7017
(OL D TETE D CRC 1188 bouriffés dembruns la pinède rougcoïe,
OSélencieusc vigie au coucher flamboyant,
Ce garde les odeurs dune enfance en émoi,
OZ 7 ET CA CE AU CLBF
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m'assoir sur le vieux mur L'écho des solitudes vient peupler mes regrets.
C'est là que par temps gris je viens revoir l'azur Celui des jeux d'enfants de mes jeunes années C'est au milieu des bois sans doute par soucis
Que grand'père et grand'mère sans argent ô combien
Savaient pouvoir cacher leur misérable vie Car l'on manquait de tout sachant manquer de rien... La terre les tenait en grande affliction
Donnant ce qu'elle pouvait sans être regardante,
Loin dêtre des terriens, forts de leur distraction, Poules, gentils lapins avaient vie trépidente.… Chaque vacance offrait la fraiche odeur de crème
De maïs égrenés et de café au lait,
Nous allions dès six ans mon frère et moi-même Le carnet noir en mains voir le vieil épicier… Mais le soir sous la lampe près du poêle rougi,
La richesse mettait ses habits du dimanche.
Elle avait un doux nom, anodin aujourd'hui, Sur la table trônait l'Amour en avalanche CLBF
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FOUGERES Fougères, sur les monts recouverts de vos palmes, La bise se prélasse décoïffant vos frisures.
Si de mauvaise humeur, les nues alors vous calment, C'est grâce au chant gracieux d'une pluie d'égoutture. J'aime vous contempler sous-un ciel larmoyant
Accrochant des diamants sur vos ailes graciles. Tendue entre vos feuilles, une toile d'argent Perle en gouttelettes sous un rayon fragile. Lorsque ébouriffé remontant la vallée
Le troupeau de brebis sur les sentes se presse
Dans vos jupons fripés par la brume écrasés, Le petit matin frais lentement vous opresse. Parmi les roches nues où s’aiguisé le vent,
Revêtu du manteau lourd de l' épais silence,
Juché-sur un piton, sentinelle des temps, Un vautour lance un cri, dans le vide s'élance.. CLBF
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J'habitais [a maison tout au bout de l'allée ‘Une échoppe sans vie baignée d'obscurité,
Les murs se lamentaient d'être aussi peu blanchis Les tuiles s'envolaient au premier vent maudit. Ælle n'avait sur son dos qu'une vieille toiture
Qui lui rongeait la peau par les temps de froidure,
Cette porte maudite grinçait par tous Les temps £es charnières fiurlaient au moindre coup de vent Sa cheminée bossue toussotait à se fendre,
Les courants emportaient ses volutes de cendres
On l'entendait gémir quand sous des cieux cléments £lle s'enveloppait des rides du présent. £a neige lui pesait comme un manteau de laine
A lorée des grands pins cachant souvent ses peines. Brisée par Les saisons tout lui était douleur. Ft soudain le soleil lhabillait de rayons
£a coiffait de mésanges et de ses oisillons L'été la coloriait d'agréables couleurs. CLBF
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Le vogue la phs houte d'Europe sur la côte Bosque Vase “chevouchée par Péyo Lizarazu LE CA Comme fourmi sur une feuille
IP Jambes pendortes. GEMIEECESSECCCS CENTS SRE CCR ESCORT PS Font glisser comme une île errante RE COTE CS CCE LPC Batman! Imberbe de latex Tanqve, roule e+ se pavane LOT TE EN PRE ETS Gardian de douleurs océanes. En mousse de colère e+ d'écume
Redressant son dos de fureur Déroule en parchemin de vagues
LOMME EEE
Dont il sait lire la moindre faille.
LESC ET EI CS PO EE SEE
PAPER ER
SEC Le surfer n'a rien d'autre à faire!
CARNET RE
DE ol DE NCENI L'uniquel Géanrtel NS
Vas LES STE DETTES AN
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Toujours éblouissante, elle refait peau neuve,
Cette dame blessée entourée de remparts,
Comme pour protéger son ventre des regards,
Devient au fil des ans plus belle que jamais. Et si le château neuf, accroché tout là-haut,
Domine de ses tours l'église St André, Les vieux troquets d'antan avec leurs volets clos,
Vous mènent fièrement vers l'université. Les ruelles serpentent comme pour respirer, Vers le lit de la Nive qui traverse ses flancs. C'est le quartier ancien, c'est le petit Bayonne,
Qui, dès le soir venu, s'emplit de ses enfants, De folles farandoles et de mille lumières, Font vibrer dans son coeur les deux fiers monuments.
Les pierres centenaires s'éveillent doucement,
Demain, il sera temps de fermer ses paupières. CLBF
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ONE
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Elle était la maison des mauvaises années Souffrant du vent d'autan et des pluies en bourrasques,
E Ile était au village l'âme du pays basque Et par = ET OMR ES Jamais, les amoureux y venaient s’abriter,
enr) EL Pen tte) pâmoison
Maison de ÉTÉ ENS de lamentations, Souffrait de l'abandon des ombres du passé. (ONCE CEE TUE ECUTR ECS
De faible condition, timidement, émerge,
(ON CEEETES ACTES EE CS EESTTE ST ERC FOTO ES Qui s'accroche à son mur pour gagner sa survie. IR grimpeur ETES) aux doigts crispés,
PCT ENT EE PET ee TT TT En
Habille chaque plaie, cachant leur moisissure Sous un écran feuillu verdoyant de reflets. La façade revit d'une épaisse verdure, DÉTIENT ER Et ET tee EEE) LEUR
Le vent n'a plus de prise, glisse dessus son dos, TT Euler el ile L'avancée de son toit s'anime d'oisillons,
Du printemps à l'été sifflent les entrelacs,
L'automne couvrira d'un manteau de gala CRE RE DE CLBF
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LIT N 7
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A2 2 .
Rare est l'occasion de le croïser au bourg Le berger n'aïme guère cet endroït mfertile.
Maïs 1 luï faudra bien pour seulement un jour Se mêler à la foule d'un endroït st hostile. Alors.
Il quittera les toïés. l'asphalte des ruelles. On troupeau noïr vêtu. agglutiné d'ennuï
La ville. ses trottoirs et la sombre avenue. pw En rOulis de mouvance secouant leur clarmes.
Zombis des deyantures aux têtes connues En un flot uniforme une foule moure
Suivant le mouvement de la mode actuelle. One marée humaine de lécheurs de vitrines.
Il aîme tant le ciel étoilé de cristal IL est l'ange gardien. le pâtre de l'espace
Et la mer verdoyante de montagnes esseulées. Loïn des cacophonïes des rubans gris acier. Le lourd silence blanc d'un nuage impérial au Au milieu des prairies et du vol des rapaces Qu'une brume du soïr rejomdra au coucher. Capitaine des vents. 1 est homme oublié. 1 s’en tra marcher là-haut dans les alpages.
Grisé par le parfum de “crus” millésimés
Par l'air chargé d'effluves de ses verés pâturages En suivant ses brebis et son chien” Liberté” CLBF
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LA PORTE ROUGE DRE NC PTT Avec son huis en fonte on se fait annoncer,
Et les premiers rayons réchauffent son bois tendre,
Pour chaque visiteur qu’elle ose faire attendre, Elle fera grincer ses gongs pour l’inviter. La porte tout le jour demeure grande ouverte,
Baïllant à la fraîcheur réveille sa belle âme,
Aux petits matins frais sous les pleurs de ses lames Son humeur attentive frissonne, en alerte! Jadis quelques mendiants s’arrêtaient devant elle,
Ils Connaissaient les lieux réclamaient du bon pain,
Parfois le maître offrait un Verre de son vin Quand le ciel au plus haut faisait fuir l’hirondelle. Elle voyait passer les hommes et les bêtes,
Chez nous Chacun vivait du bien être de l'autre,
Comme le champ de blé avec le Champ d'épeautre L'étable et la cuisine avait ce tête à tête... Bientôt le soir tombait sur Cette maison sûre,
Repoussant les menaces des ombres de là nuit
L'heure était imprécise mais j'entendais le bruit, De l'énorme clé rouge tournant dans la serrure. CLBF
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BE ROI DE Le chien le savez-vous, est le maître des lieux
Les bêtes n'aiment pas cet animal morose,
Zélé, un brin servile, avec l'enfant il cause
Obéit 3 la voix et 3 l'œil, c'est curieux! Il ne recherche pas dans les près l'herbe fraîche,
Ni la paille craquante encore moins du fourrage
Jamais on ne le voit attele 3 l'ouvrage Avec son compagnon le chat, il est de mèche. Les vaches s'en méfient quand prés de l'abreuvoir
Quelques unes s'attardent à l'heure de la traite,
La menace est sérieuse, il attend et il guette, Dës qu'un coup de sifflet l'envoi à son devoir. 1l à pour lui tout seul, une maison de bois, Se promène à loisir à toute heure du jour 1 porte lui est ouverte, il mendie de l'amour
Et couche devant l’âtre, sous la table parfois ! Aucun de nous ne l'aime, car ici l'on se doit
De servir, de mourir, d’être utile sans cesse,
Les bœufs, les chèvres même la vieille ânesse
Resteront des sujets alors que lui, est Roi. CTP
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Dans les allées du magasin
LATEST Le
CLÉS EURE CLR AAA TE TICR Vous entendrez de ci de là
Bribes de mots des oh ! Des ah! Des phrases mises bout à bout ONCILET OI TA Re TNT à 4 Connais-tu l'affreuse nouvelle,
Jean-Charles quitte Isabelle.
J'en mets aussi dans le coulis, EAU ENS No ET E BELLES ELEC EEE) CL mn Mes oreilles sont des bourdons Butinant des phrases sans fin
ONCE ETAT ES LES (on
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Mes amis sont Îgs bois, la rivièrg si doueg
C'est l'écho deg lgars voix qui vers lg eigl mg pousse,
Epuaisant mon regard sur lgs pentes sereines. Sur Igs monts écorchés aux millénaires peines. Puis dans son océan afin dg disparaître,
De ses follgs ruades je veux bien mg repaître
Je chavirg, mg noig à poursuivre s£s vagues, Atlantique furig. avee toi je divagug.. Je connais l'horizon, qug nal ng peut saisir
lors je mets ton nom sur ma peau de désirs
Dans l'iris dg mgs yeux j'acerochgrai son eigl Pour d'angéliques nuits où cacher mes solgils. Lorsqu£, pays dg cogur malgré tgs blanes nuages
Je pins de nostalgie quelque oisgau de passage,
J'acerochg mon amour sur leurs ailes fragiles, Aux traces de leur ombre elles seront mon île. lors je m'en irai, avge, sous mes paupières
Un peu dg egttg terre qui m'a rendus si fière, du cogur, ang ehanson pétrig de liberté. Je crigrai de 1là-hautl :- Voyez mes Pyrénées. CLBF
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LL » cg a” a
Hg mg retirez pas toutgs mgs espérances Hg laissez pas mes vœux courir sur lgs chemins,
Prêtez-moi sgulgment ang oreille d’enfaneg
L'asilg dg eg temps a des parfums divins. La soureg dg egs jours eoulg gneorg dans mgs vgings
J'aimg à mg voir courir après les papillons, L'école a ses galoches, pêlering de laing, Mais ng vous sauvgz pas |! J'entends tous vos prénoms! CETTE EEE ANNE ET tOr Dre T2) Jambes nues, rires fous, qu’ils soignt fillzs ou garçons,
Un si léger sourirg au eoin d£g lèvres sages, Lg vertige revient avge les émotions. Ginsi qu’un voyageur j’aimg egs gseapadgs DTA ARTE tee IP te reel (iTe)e RME TTIT Acte
Dans lg Wagon d'été je revois gn cascades Mes amours dg jeungsse, le mystère des pleurs Je peux courir ainsi,nal besoin de péage
Je m'assois un instant au bord d’ang « dizaing »
H'étant pas loin dg eroirg à eg très vigil adagg,
“Regarder l'avenir fait bzaueoup plus dg peine’ CLBF
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1° CO177 0e 24 à RTE ET EE 0 EL ESC E CS CARDIO RE TL ENT ET CU ES
CCR CRE DIET RSR TE
he LE D TETE B UN EN TD) AE EEE 221 EL C'est aa cœar des vilages entre monts ef vallées Que bergers, maquignons knfement s'apprivoisent
LT TA Au TE CR 2101
RAD OT ONE EIRE 2 CRETE TE COTES ENCCE Cd
DR EC OCR IPN BEC PTT
Ketient an cFant d'amour qui ne peut k quitter
Sembhbk à l'Ugokn d'un Pagnol magnifique ; DORE OR CT CERN CA CESR CE IT EE ES BA IT ET ET ET NE VIRUS LÀ Que fa polyphonie fouche nos âmes fières . CLBF
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L'harmonie de la ville a séras Pom mode nee STÉÉTETION TE TÉRTETS MST Ft [a ville ce soir chante comme la mer,
‘Une nuit pâle et douce où s'invite Le vent, ee 3
Frôlant maisons, pavés jusqu'aux portes cochères. à Des ombres bousculées s'accrochñent aux murs blancs. +6. Premier soir de printemps, collerette entrouverte,
Sous Le cie[ étoilé qu'une [une déserte, La ruelle pavée mène au jardin public »
ds juidant les promeneurs vers Le kiosque à musique. ä
é G à A 4 4 ES
< S'évente ainsi {a nuit le {ong de la rivière, € » ‘Un couloir de fraîcheur qu'empruntent les passants,
Ce soir sur [a grand place [harmonie printanière Offrira un concert sous d'ombrageux géants. œ @-& Les notes courent ainsi de balcons en terrasses
Le fifre à [a gaîté d'un bel après midi, Sur Les branches fumides pas un nidne menace,
Ce n'est pas si souvent que des notes s'enfuient. A
VV
A. VV @-&
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OR IE TT ELU A Son cœur pat au LT 0772
LT CEE ES AT
0200700007 AS LA
CT CAUSE CT OT ES DATT il LPS 11122) LA 07
Ou verts ou bleus sur l'onde LE LA
Dansent Les murs à CSC
La Nive a le LE LL ELU LOT CS 047009770570
Quand ses ruelles nous accueillent,
Fardées du bon air qu'elles cueillent
Dans La douceur de nos campagnes. Le soleil s'installe, dépose Les rayons d'or sur les OS
DOTE CE AT US LE 2
offre LT teintée de poses. L'Adour éclate sous Le 147
FPaienne où dansent les eaux CUS
CE 0000 707
DOTE TETE PEER CET D Qui houderait La nonchalance
DOTE RCE PTE OUR TETE
C7 6000000607 20087 710770 0ES
CU TES LECTEUR LE d'Espagne CT 007
6027 CE CLS Guand de ses chants Le cœur serré Le chœur des hommes nous surprend …. Can S x
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LE PORT Is gléscent, lentement,
Ces géants qué entre deux rêves,
pans les marées qué les enévrent,
Font danser de si beaux pésenux.
valent au-dessus Les goétands, Au gré du vent qui les batance,
Emportés par les éléments,
Plongent soudain pour leur pétance
J'alme Le son des remous sombres,
Des grues qué gréncent aux aborde,
Des camions qué roulent encor,
Dans le solelt imbibé d'ambre, Et dans l'obscurité naïssante, Les feux de La ville Le sotr,
jettent sur sa cape d'argent,
une pluée d'or, qu'avec Le temps, La nuët engloutét en méroër. Les lanternes des gres bateaux
Bercent l'émmobile sélence Alors que posées tout Là haut J'entends le cré des mouettes blanches. CLBF
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Saïs-tu que mon pays a l'odeur des moissons,
Des fougères bouclées aux odeurs de verdure.
Que les blés se marient avec le vent fripon La mer saura te dire l'horreur de ses blessures; DCE RETENU ut Ce A
LE Ta Rd A 0 ET
RÉTOOOPMLETEC ON A CCS
DT TT TA) EN are TETE EL 2114 CAT a de CT Reel u LT LU LR CAT CA Les villages t'accueillent aux sons des tambourins,
CPL CET UT ENT ET UT EE Et aux boules de neiges des hortensias divins. CT EEE ER TEL TE TEA TTL (Tr
NE EU Tr CU UT UN NU
PS EE CU ATEN A Un jour quand tu viendras, un jour si je suis sage... CLBF
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VIEUX CIMETIERE Et seul le cimetière aux stèles discoïdales
Ecoutera le chant de la terre sous ses dalles Près de la vieille église, aux murs couverts de lierre
Où la porte cloutée est noircie par le temps, Le pas lourd des badauds passant dessus la pierre
Effrite le parvis devenu presque blanc Accolé tout autour le très vieux cimetière
Planté de stèles rondes aux emblèmes divers,
Où pousse en farandole la divine trémière,
Qui s'accroche au soleil, corolle vers la mer. Ici l'air est serein poussé par les embruns Passant entre les tombes comme un souffle léger,
Faisant une rumeur douce dans les allées C'est un souffle d'amour sur nos très chers défunts. Au centre du village les rangées de platanes,
Dont les ramures s'étendent en toile d'araignée
Abritent la grand place et l'antique café. Aux volets une corde maintient un très vieil âne. L'automne alors frissonne en ce jour de Toussaint
D'un dimanche tranquille où le chant des oiseaux, Se mêle au final du chant des pèlerins.
La place alors s'emplit de rires et de mots. CLBF
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Trot pages endroit
Deux phrases detravers la douce grand-mère
Tutos écris
es rés de ads. DEV Onde rie te
CERCLE CRETE LE
DO ET uen T ie ere Le ee) Afin de tricoter telle une vieille fille. Entre deux point de riz, torsades CPE
Ma tête se souvient avoir eu de l'esprit;
En recherche de mots un peu pour m'amuser Je ne trouvais que maux détricotant [EXC Mon cerveau bourdonnait justifiant l'anarchie
DÉSERT STI UE 11e
Car après de longs moiïs, des carnets je remplis (ETC ES CURE TES ONTS ENCTCT TS UD TENTE TETE Ou fee E EE RATE ZE 1
M'offrit des mots nouveaux sublimant mon ŒxteS
ONE elec ice tt PNR ETC Ita E Tel TS CRE CE CR AE Tes DE DATE LEE ravie dans le jeu de l'amour
STE AE TIC ES EEE CE CET ETS
Pt ect) Mr IT Ts Je remisais mes vers le temps du bel ouvrage. CARE EUT Elu ITS CE
Parfois un souvenir se glisse entre les mailles
DST OU ES RC) Eee ESC TT
Cherchant dans mon silence accorte inspiration CLBF
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Qui je suis : Christiane , allant allègrement vers mes 75 automnes. Maman de
ÉCOLE REMOTE EC CET CUS 000000000000000 J'avais quitté mes Pyrénées pour vivre ailleurs, dans un autre monde, une autre
CMOS EEE EEE CUT PRET ET ENTREE OEEMENES
d'odeurs, de racines. J'ai alors remonté le temps avec mon arbre aux souvenirs. De retour chez moi au Pays, je n'ai plus eu besoin de mon arbre, jusqu'à cette année
2008 où un grand vent venu de  Je ne sais où me fit prendre le chemin de la poésie. BEA CA TE EL CE EC TO EU EU CET CCE CU AU
Pourquoi! Rostand, Molière ne sont pas étrangers à cette inclination:  Les souvenirs sont des pétales que l'on arrache délicatement afin d'en ressentir à nouveau le
CUT
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g6tileN
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CSulle de pensées. OA CL AT TE ET 77
CT ET ALL EL A 2
Œn informel instants, fantasmatiquement
CAR RTE LE AU Ras
(OR CE ROTTNT T C
(OZAP 7 CCE 0772
Carrondirai ces formes à devenir maflresse
ETAT ELU CRE AL CE 01
Quand, méme avec tendresse, avec le cœur ami
D'amour cnvéloppé, les contours s illuminent,
OT AT PE 0/1 70774
CPR TR RC 007
CET CE RTL TE CT ET CA
à ou plus rien neiste que linfini émoi
Pient à se révéler comme rose à Ronsard
essentielle présence qui me fait crofre on toi
OST TL LE ET AE 8 71/1
Cÿe sculple lon désir de belle courtisanc,
“Rour que tu te balances érotique catin
CETTE LATE 7/7 Let 07772
CLR TR 7770
CT CRE RTE 1777764
(e77202777780070070020 707 00 7e OL D ITR TELE 77 à CLBF
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Vous ai-je dit monsieur combien vous me flattez
Et combien à mes yeux vous avez d'importance,
Par vos fleurs si jolies vous savez me charmer, Car vous comblez mes vœux de votre bienveillance. Vous ai-je dit monsieur, puis-je encor l'avouer
Que sans votre présence, chassant mon indolence
Dans d'infinies tristesses je me serais noyée. Votre amitié est chère à ma convalescence. Vous dirais-je encore et ce malgré les ans, Les miens assurément! Vous; êtes de jeunesse, 
ne = :
Je vous trouve très beau, cela dit sans accent, C'est qu'il me faut garder un ton de pertinence. Moi qui aime les mots... vous me savez bavarde,
J'écris pour oublier ou pour me souvenir,
Mais vous-même, ami, à cette cabocharde Que diriez-vous Monsieur sans la faire rougir ? Veuillez donc pardonner cet écart de langage
Je m'ennuyÿais un peu à n'écrire plus rien,
Et j'ai trouvé prétexte à quelques bavardages Encore me direz-vous ! Pourtant, je me contiens! Des images oubliées viennent et me chatouillent
J'ai le verbe inventif, parfois un peu grivois,
Si vous me pardonnez cette triste bafouille Me mettrais à vos pieds dès la prochaine fois CLBF
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2 RUN TAN 9 mènera d'un point LEUR o ET TT NAN Ra FARTOCE J'aime avoir le coeur aussi gai qu'un pinson,
Mais vous me connaissez, je suis un peu timide,
Certes vous sifflotez tout près de ma maison Vous me semblez fervent, pourquoi pas intrépide. Pourriez-vous s'il vous plaît pimenter votre prose
Mettre dans mon cerveau des idées de bonñeur,
De celui qui nous tient quand … -vous savez, on ose Quand il fait bon aimer loin des yeux et du coeur... Je me meurs de langueur et suis là comme un phare
Au milieu de l'amer aux remous cornéliens
Je n'éclaire plus rien j'avoue que j'en ai marre De chercher ce bouton qui n'allume plus rien... Mettez un peu de vous, bousculez ma personne
Secouez-moi Monsieur, renversez ma pudeur
Soulevez mes jupons que [a cloche résonne Que derrière l'église vous redoubliez d'ardeur.…. Je lance un s.0.s en de vagues soupirs Y aurait-il un poète au tangage imprudent
Qui pourrait une fois me parler de désirs
D'être muse ou statue ça va bien un moment CLBF
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A Ng Pas Pire : Je T'aimge.… A Les peines dg nos cogurs sg ressemblent, sont mêmes.
Dès que l'amour s'en mêle et ne peut s'exprimer.
Il gst un mot précigux que l'on tait, eg : Je t'aime Qui oublie dg franchir un eogur trop esseulé. L'âme 8£ trouble alors, maussadeg, vagabonde
Plus aueung chalçur ng sg mêle à la paix
Kotrg barque s'emplit de tristesse féconde Gogur gt âmg 8£ font compliegs des années. Que faire alors, qug dire au soir crépuseulairg
4 son appel latent de désirs insolites. Quand la ehalgur d'un corps sg veut être ang terre, PARU R UE UT RE RU LU RUE UN UE EURE EU LU EEE U EEE RU LU RE RUN UE RUN U UE EU L UE EU UNE ELU RUE URL U UNE AU U RER EU UN EE EEE Que faire d'an seerçt que la raison invite. PASSAT EN NU NAN IUT ANT) LIT A
Ung ombre de tendresse au bord dg la mémoire
Je t'aime est ecttg portg ouverte a l'insomnig GC£ seul mot que l'on tait sgrait-il dérisoire ? C'est un moregau d'amour ung part de soi-même
Un bijou sur les lèvres, un caméeg sur lg cogur,
C'est un mot, un parfum ang fleur que l'on sème Cest an rai de lumière, an ragon de bonheur. (SEL
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toute ! (6 sont Elles … 5 arbres dans leur flanc ont des frissons de sève,
L'hiver va sêrement déserter Les Prafries.
NW restera pourtant ce Dlanc de fébrie, Dur Le névé de glace, fout appelle à la trêve. L fond des jours se perd au creuset des ravines. D l'aube se déploie sous un Fleu larmoyant, Ce que L Lemps n Est (pas un bout de & Prnlemps
Que Pan voudrait Voir, que : parfois L'on devine... Cu est balbafiements, fait de si” ,de peut Ere” !
<, pelisse da froid 5 en vient d'un ton plaintit
Etendre son manteau gui retiendra apéit L moindre 74yon d'or que L'on croyait renaifre. Fasle gémissement, L vent “gonfle Les nues. < smbonpoñnt est soudain aussl gris que L'ennur.
amer a des moutons Hottants dans Le mépris D un océan fougueux, sur La grève, abattus. Œioukz La dameur gui vient de l'horizon
Cétun vol perda, Loucttant L'atr de leurs afles,
Dans d'immenses rubans, Écoute, sont elles ! 5 ofes au cou tendu sont au-dessus des monts Cu argé de frofdure, éfernuant de brume,
Cassant sur Les vallons sa brumañlle pague,
Dans sa nuit solitaire en immense bivouac Cu couvert de gelée, L'btver cache son rhume. CLBF
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Chut l Silence, l'heure fraiche inonde le cid pâle. Magicien crépuscule découvrant de son voile
La un verger frileux, au loin Le noir cand.. Les arbres 5e sduent étirant leurs ramures
Les bruits du quotidien reviennent peu. à peu Les nues cachent encore quelques recoins obscurs Sur l'herbe et sur les bois le vent laisse sa trace,
L'oissau bien matind le sit à l'areuglette, Vole aprés un ragon qui transperce l'espace Puis les murs 58 réveillent recouverts de froidure,
Le toit rosé de pluie perle sur la gouttiére, Le coq chante, il est l'heurel Réveillons la naturel La porte qui s'entrouvre avde une lueur
Aube en catimini qui S'inflltre secréte, €t la nuit se retire sur la pointe des heures. Et la vie recommence, inonde les matins, Dépose son sourire sur Le monde des ombres, Que le, jour est joli quand s'ouvre son destin.
CIBE
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ŒENVOL DE JOUR... Coiffée de vents de mer, la colline soupire,
DO LOO EE ET A TAI ETT
L'herbe encore engourdie par le calme infini
Respire l'océan et ses flots en délire. PR AT EN ET UT TE DENT DTA
Sensibles au ressac, Les falaises s'irritent.
Œn mouvante blancheur les vagues si cruelles Brisent les feuillantines de ses strates ophites
ÉTAIT 17 OR PTT A LL TL O2 1 DE
CORTE ET TOO ET TT TA l
er OUR OCTO EE TA T2 
Mon âme en son néant se fige me extase, ET CO LACET ETES OA ETC TT 02 Dr LAS ATARI A
TL OT LOUE CE TU Lazur,
DIT ORNE TT OR ET TA
DOUTER ON TE AL CE 212 Il laisse dans l'écrit une empreinte tenace …
CLBF
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Pour toi, qui comme nous, aime à courir les champs
Afin d'y voir l'automne dérouler ses couleurs,
Le jour est incertain, vois l'orage méchant Laver l'air de l'été en son contentement. Nous savions en partant dans l'aurore indécise
Que le regard du ciel, troublé de grands tourments,
Rafraichirait le jour de quelques vocalises Faisant de la journée un compromis charmant. Il a plu tout le jour ! Le ciel s'est mis en tête
D'épousseter les toits, de laver les ruelles,
De faire au potager sa plus grande toilette. En cette fin d'été, la chaleur était telle. Roussis par le soleil, fougères et feuillus
Chantent à l'unisson sous l'ondée mirifique.
La terre, elle, titube, ivresse bien connue, Avalant par lampées cette boisson magique. Tombe des pans de pluie en grande cascatelle
Les éclairs, le tonnerre ainsi que des grêlons
Petits œufs de pigeons aussi blancs que cruels Recouvrent la vallée jusqu'à plus d'horizon. L'air sent le champignon, la châtaigne dorée.
La clairière aux grands pins à un parfum d'amande,
Et dans l'humus moelleux, grouille ainsi chatouillé Un monde silencieux où naissent des légendes.
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D ‘impossibles chemins. Cest un sentier creux dans la vallée étroite
Qui ne sait où il va, à qauche ou bien à droite, Qu'importe! En le suivant j'ai trouvé des trésors, Presque en apesanteur, des perles d'eau astrales..
(omme l'aigle elle tend sa wdlure guetteuse,
Dentelée de vapeur, inégalte, brodeuse.
Dessous [a fougeraie ses branches en vige Offrent un lieu de paix aux toisons des brebis... D 'impossibles chemins, celui-ci est unique
P 4
ST s'accroche au versant, sy suspend, lunatique (ourant comme un éclair pour tracer sa colère, (orseté de gencts ct d épaisse bruyère.
Ses me à La caresse du ciel a ouvert la nature, Fougère Aigle dés pyrènées Respire promeneur, écoute [a verdure,
Œntends, elle grésille animée de frissons, \ Trd son gel de froidure aux tous feunes rayons... CLBF
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RC EE TC
COL Malicieusement sans-un:brüit- ROC CUIR
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1 Une terre dormeuse... Quand les fleurs da printemps ont recouvert la plaine.
Que le fleuve s’est tu en ses rives sereines. Il flotte ang lourdgar d’ingxprimables choses Comme un parfum salé qug les embrans déposent. Comme ang mer de sable tremblent les blés jaunis.
Sur ma terre natalg dans les champs infinis, Et le eigl sg dévoile au-dessus des labours, Dans la lentg tiédgur d’an soir de dernier jour. Cest ang terre grasse, belle comme ans fille, En courbes gt rondeurs aux senteurs de myrtilles,
Comme an gssaim d’abgillgs dans ang haie de mûres
Les blonds épis eraqugllent étouffants de murmares. €llg gst ang dormeusg au plus haut dg l'été,
Captivant lg soleil elle demgure en apnée
Aspire les rayons eommg la paille l'eau
Dans lg pli de sillons gllg rêve. e’est beau !
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D xÉ
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Des matins embaumés ” .: Les voici revenues nos journées embaumées
Sous un ciel de crépon elles hésitent, fripées Imbibées de nuages trop souvent délavés, FE
Este Te Propres comme un sou neuf aux matins, éveillées. Au travers de la baie le vert de nos montagnes Vient heurter la mémoire où bourdonne l’enfance, Un souffle blanc et or colore la campagne, Ah LL
LES Boutons d'or, marguerites, improvisent une danse
» » Le spectacle est puissant, sage d'un grand silence
PRE Si Fotos L’aube s’est préparée à tant de renouveau, Cela fera un mois que les nues en vacances Ont élu domicile inondant nos coteaux L’astre se met à nu, Mai” rappelle ses troupes A2 LL
CAE Fini l’hibernation ! Etirez vos rayons !
Caressez la forêt, cicatrisez les coupes, L’hiver a mis du tempsil quitte la région. LRO Nous laisserons nos rêves couchés dans la luzerne Lorsque vos rais brûlants voudront bien caresser Nos collines en fleurs et nos bêtes de ferme Soleil relève-toi ! Laïsse-toi embraser…. LUE à
CT CLBF
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De vous je me souviens et mes yeux sont fiumides,
‘Vous semiez à tous vents d'un geste si fimpide,
Les semences volaient de votre main géante,
Comme des fiirondelles essuyant [a tourmente. Notre terre souffrait comme souffrait le monde,
Ridée par ces malheurs à des lieues à {a ronde,
Vous imploriez le ciel supplant une ondée
Sous le soleil vos yeux s'emplissaient de rosée. J'aimais cette maison et ce coin de misère, Car de mon horizon, peu avant [a barrière, Je voyais votre champ épouser les nuages, À dix ans les enfants croient toujours aux mirages. Fallait-il que son cœur fût envañi de ronce,
Rongé par [a douleur et les coups de semonces,
Ilquitta sa maison sous une pluie timide, De vous je me souviens et mes yeux sont fumides. C£LBF
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Ce EE dit...
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Sous Le soleil brûlant se dresse la demeure,
Tout au bout des chemins recouverts de gravier,
Les massifs de rosiers d'insolentes couleurs
Embaument l'air léger en ce doux mois de mai. L'orangerie en fleurs, pétales en beauté,
À l'odeur entêtante de sucre orangeade,
Laisse dans le jardin une douce traînée,
Diffusant leur parfum jusque sur l'esplanade. Si vous fermez les yeux à la tombée du jour,
Alors que les étoiles s'allument une à une,
Derrière les massifs d'hortensias bleus de flour
COUT NT RTE LE CURE RIT A Un souffle nous effleure tel un léger discours,
DOS ARE LS 1 NA ITA
Au balcon deserté par l'oubli qui condamne
La plus belle des fleurs au silence. Roxane. Si vous sentez soudain le frisson d'une étoile,
Un léger courant d'air, une ombre qui se voile,
C'est le bruissement d'ailes d'un baiser éternel
CIE ECTS 7 IA CLBF
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ALORS MOI, JE M'EVADE... Je rêve bien souvent d'avoir une maison
LITERIE EE TE TA UTC Tr
Où deux rails en goguette envahis de chardons,
Iraient traîner ailleurs entre deux horizons. Je rêve de sillons qui n'auraient pas de fin.
EEE ETES CITES CEST ICS LATE TRE TETE NOTE ETC CRETE
Dessinant un tracé d'étourneaux en cavale.
J'aurais pour seule horloge un coin de ciel errant,
Me disant tout du temps et des heures précises.
Un tintement de cloche me parlerait du vent,
Les aiguilles de pins, de tempête ou de bise. Je verrais ma maison chatouillée de buissons
Des collines autour comme une mer tranquille
ACC ETES CEE TORRENT TT Ne TELLE
Peut être pour ce vert qui en ferait une île ? SCA TETE et CP TT a AC TEL)
D'admirer sur l'étang les cols verts en balade, Aigrettes et passereaux, les oiseaux des moissons
J'aimerais voir cela, alors moi je m'évade …
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Je me souviens encor’ non sans quelques souffrances,
D'avoir bien peu appris des choses du français, Je connais ma faiblesse et en fais pénitence. Une tante pourvue bourgeoise de surcroît,
BRU OT TRES OR TETE CT A ET M'offrant en fin d'année un livre à chaque fois. CRE AT TT LES
Me montrant des chemins où je vagabondais CIE OUT CRUE AT ENT CET C2 BUS COUNTER ETC OISE LT CE
Cherchant dans les feuillets où je savais glissé, Un billet qui avait une bien belle image. Cinquante francs tout neuf, lisse comme la peau
Polychrome de ciel de mauve de lavande, Le livre était alors le plus beau des cadeaux. L'enfance avait ce goût amer de plaies de bosses,
De voyages enfermés derrière Les volets Qu'un fin rai de lumière valait plus que négoce... Je devenais Gretel au fil de ma lecture
Abandonnant chaussons pour des patins d'argent, J'entrais dans l'univers des grandes aventures... (EE
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Sous un tapis de mousse et vilaines broussailles
On la devine encore l3 maison des aïeux.
LCR A CAO TEL Are le Est envahi d'ortie, de lierre, de chiendent.
VE der CL nIl en E) gravas,
OPEL ER ET CRE 72
RTS ECTS 72 V1 rappelle l'odeur des lessives sous l'arbre. A force de courber ses branches ET TE Ce complice des ans perd encor’ quelques feuilles, Qui par enchantement dans la gueule du puits TROT CRETE OR UE EE URI T1
D'un maret éventré, couvert de salissures.
AIR A TETE PEL 1 PET EE EPICERIE OT S TEL ACTE qui ont une Pétae)r)
UT RAR EI le coeur d'une terre,
De retenir en elle malgré tant d'abandon
Ceux que l'on à aimé et CUITE, 1e lumière. CES
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AE TETE CO OUEST A UT 4 LT TA Lg chemin gnsablé raidg à vous faire mourir,
Pans l'enchevêtrement de ronegs gt de liangs J£ suivais mon gnfaneg, étonnés dg grandir. Quand Ig cœur est pareil à l’oisillon peu sage
Isa mémoirg revêt de euriguses tenues
Un petit short d'été an tout léger eorsagel Plas d'ornigre a braver , dg raeings ehenugs GARE UT A Are ANT STE TNITAUT TE
€t soudain on gntend la roug du puits grineer,
€t l'on marehg pigds nus tout en eugillant des baigs. €t la erèmg du lait sur Îg pain qu'on savourg.. Il est des ligux d'amour, orphelins de jeunesse ,
De vigilles pigrres noires éeraségs dg doulgurs,
Pans Ig pesant sileneg la ruing sg redresse, €t l’on eour jambg nugs avge lg rirg au eogur. CES
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MIROUMEE PETIT CHAT Je suis un petit chat Je m'appelle Mirou, J'ai des poils angoras Je regarde partout. J'ai deux grands yeux perçants
Deux perles d'un gris bleu,
J'ai de petites dents Mais je n'ai pas de queue.
Mon très grand ami Qui se nomme Andoni BOT L CALE TE EL Alors je suis heureux
Puisque dans la maison Ily a de la place pour deux... CLBF
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LE GRENIER Elle s'est installée à l'étage au grenier, La souris vit ici au milieu des objets, Quelques bribes de mots lui parviennent confus,
Le rire des enfants courant dans [a maison Les aboiements du chien traversent Les cloisons. Parfois hors de son trou, elle passe la tête,
Les sens en éveil car à [a moindre alerte Elle quitte [a pièce. Vous ne [a verrez plus!
Elle file à langlaise au moindre bruit de pas, Se souvenant qu'un jour elle eut affaire au chat. Les combles ont un destin qui souvent nous ravit,
Bric à brac poussiéreux racontant bien des vies,
Chaque génération vient déposer son dû; Là un berceau rouillé, un cheval à bascule, Bibelots sans valeur parfois bien ridicules. Quand le vent souffle fort, secouant [a lucarne
Ils'infiltre, sournois, glacial et il s'acñarne,
Trainant derrière lui la grisaille des nues.
Tout tremble, tout frémit, l'arbre gifle Le toit, Jaillit alors [a pluie comme à chaque fois Les nuages pesants crachñent leur désespoir Sous un rideau sinistre une eau d'épaisse moire
Tourmente les chemins embourbant la charrue.
£a maison fait silence quand le tonnerre gronde. Et là-haut plus un bruit durant quelques secondes. £a souris s'est enfuie. ça je vous l'avais dit! C.LBF
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C’est par un beau matin de mai,
A laurore naissante, Que de son bec tendre strié Il vient se faire entendre. Plongée dans un demi-sommeil
Mon rêve se rebelle, Derrière la baie qui s'éveille
Danse une tourterelle. L'ingénue sans aucune gêne Sur Le toit se pavane, Mais j'aperçois Le chat « Gégène »
‘Un dur à cuire, un fan. Rrrou… Rrrou chante Le bel oiseau
Lissant ces douces ailes, Que fait ici ce gros ballot ? Fuis donc ! Fuis donc ma belle. L'affreux aiguise ses babines
Tapi comme un lézard,
Son œil sournois tel une épine
FEgratigne mon regard. (e 17
KL 2
F7 Se C2 Sonne la corne du laitier,
SRE Tiens ! L'heure de l'école 1 J'ai 10 ans, « Gégène » est fâché! LA CORNE DU LAITIER Le gel oseau s'envole
CLBF
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ul Se AÉRRENEE
À Ex Olone aux Rpullrur S
À courir dans Les champs, jambes nues sans sandales, Serrant fort dans nos mains ume prison de tulle, Nous chassions en riant des papillons xélés. Le vent d'un souffle doux faisait coucher Les trembles, Par cette après midi de sieste retenue. Les parents allongés sommeillaient sous un chêne, Le regard éffacé sous Les chapeaux de paille, Surveillant leur couvée. Sautillant ça et Là, Les traces de nos pas gravés dans l'herbe folle Où L'on jetait souvent nos corps fourbus ct Las, Dans ce tapis moelleux d'odeurs et de verdure. Alors tenant très haut nos filets inutiles, Comme de grands oiseaux nous Les balangions, Traçgant dans Lair sù lourd La queue d'une comète, Comme danse voilée dans le bleu de Uété CLBF
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UN REGARD DE DIX ANS ATEN CEE Eee)
Sans vraiment le vouloir elle traînait les pieds,
Le cartable était lourd sur ses frêles épaules, Elle enviait les oiseaux qui prenaient leur envol. Toujours sur le qui-vive, essayant de bien faire,
Mais dans chaque devoir, survivait Une cour,
De peurs au creux du ventre, de tensions arbitraires De regards de dix ans appelant au secours. N'élevez-pas la Voix, ne faites aUCUn reproche,
OH MIO OUILEN
Quand vous haussez le ton ses fantômes chevauchent, CEE AE ENT ONE ENT ILE OEIL ET EL RATES
On vide, une absence, un trouble qui la gifle,
BETETE OIL TN ONE NE NET EEN ATEES SUOER EACUTE CE EES
Rebondi sur le poing des accords de grammaire
Quand désarticulée l'enfance apeurée Garde ce goût de plaie infligé par le père... CE
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Cÿe suis allée là-bas voir l'ancienne maison,
CŸa di férmer les yeux pour revivre l'enfance,
Has tout avait changé, jusqu à cet horison, Croublant désert de pierres aux mirages d'absences.
SSSESSSSESESSS En coup de vent du soir à pris tous les parfums, EC où j'avais vécu d'insouciantes VACANCES, 4 terre s étrançglait d'épineuz importuns, ec puits avait longtemps gagné l'indifférence.
SSSSSSSSSSSSSS Ge n est plus qu en révant que je revois encorc, Oc tenant par Lx main mes aieuz qui avancent, OGur les ruines d'un champ que leur marche ignore, Aus lôvres leur sourire ravonnc d'espérance.
SESSESSESEESES
4 nostalgie du cœur peut enfoncer ses griffés, O accrocher à ces joies qui troublent la pensée,
orsque les souvenirs s'animent, ébouriffent Ces cheveux vicillissants aux portes du passé
SSSSSSSSSSSSSS
Gn haut de la colline au milieu des grand bois Ce n irai plus grand-mère, les lauriers sont coupés !
CGrand père je voulais récntendre 1a voiz, Gachecache, un deux troisl Où étes-vous cachés? CLBF
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AISRARS À DR PE d AR.
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Un écran cinéma Vois mes douces collines tapissées de gelée, Etxéa” la maison berceau ou tout s'éveille, Mes montagnes pour qui mon regard s'émerveille,
Vous faites mon coeur tendre et mes larmes coulées. Vos veines de bitume flânent dans les villages, Les sous-bois cachotiers aux arbres si feuillus Effleurent la peau rude des vieux chênes bourrus, Se penchant pour mieux voir l'ombre de leurs feuillages. Sur le flanc des vallées quelques vaches ruminent,
Les rayons capricieux réchauffent les coquettes,
Au loin de blancs moutons, pétales paquerettes
Eclatent en bouquets quand notre oeil les devine. Un vent d'ailes a soufflé sur les cîmes là-bas,
La plaine se parfume d'une brise volage, Mes yeux gardent encore vos si belles images,
Mes Pyrénées se voilent d'un écran cinéma...
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La Rhune dresse son col entouré de nuages,
TN RAT AT EE TALR
YPO ET CDTI TON NE NTI PET ONNONTPEEES
Elle peint un décor sous de glacials frissons. LOAIONONIN TT EAN TT CAEN TAN
Laisse planer tes ailes d'un doux balancement,
Contourne les sommets des neiges du levant,
LOT ET MOT RO TE IT LA PDT PORTO TU BIRT ANT AL Ed LA A
TT TR AE AE TEA TIR
Sur les vallons frileux engourdis de paresse
L'onde d'un bruissement fige les moutons blancs. Frôle les vains soupirs des âmes solitaires,
Pousse le vent gonflé aux saveurs d'Atlantique,
PAPTPNTANOTIN PE EPA NTI ON TE TUT2
File droit vers le sud au-delà la frontière. PARENT RTS TNT TT EN ETS
Les palombes se glissent entre les Pyrénées,
PATRON MONT ET ENT OI ITS
PORTO TT ENT TT IT ER