> , Poème sous le beret"> <? bloginfo('name'); ?> » <? if(sk_show_category_name()==false){ echo "Qui je suis"; }else{echo sk_show_category_name();} ?>
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DL Suis Si Dissipée.. MOTTE TT LITE Ce EU PAT
Ombre il l'est aussi puisqu'il est mon soleil,
LC PTT [ST CRT TU Ft LÉ TES plus LOT a 710 J est dedans mon coeur la seule solitude
[CE (LS héris du moindre battement,
Maïs TO plus, UT AL LT (2 DE ET TT TUTO LTAET PATTES VENT que ruisseau qui coule dans mes veines
Son eau de liberté se murmure en caresses,
(OT “importe l'absence aux remous de mes peines Si SO UT CPL ET soupçon de tendresse. s£ PT PUIS FA CA PTT LT
QUE voudrait aussi pouvoir tout partager,
YA NI NT ETT TE [tn OCTO Ft PET AT ET) rt étouffe. DUAL TS EE UT CES
YA ON ET ET OL IE ET DIT
IST OS U ES ED Je suis st dissipée que j'oublie d'être sage CLBF
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Juste pour un moment. de demande t2 peau!
De face où de dos
Juste pour up moment
Dans Le creux de tes reins
Tatouer tous mes maux
deter l'encre en ce port
ÉD cofps à corps Je demande tes yeux!! Seulement un regzrd S2ps trop de certitude Pas pour une habitude Juste pour up moment Un éclat d'étincelle
SA corps des corps... de demande t2 maïn!
Pour une bague au doigt
duste pour up moment
Un 2ppezu s2ps histoire
fvec 3 l'intérieur Gravé ep lettres d'or … Encore, encorel CLBF
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la AB Mon cœur tu allais seul au fil de ces années
Pourtant tu as frémi jusqu’à l'incertitude, Tu as vu miroiter mille soleils d'été Quand sans ménagement tu faisais servitude . Mon cœur géant heureux aux ramures éperdues
Te voilà suspendu au crochet d'espérance Le temps a fait son œuvre ton écorce est à nue
Je ne vois que le doute au bout de cette errance. Mon cœur en ce temps là tu étais ma fortune,
Trébuchant et sonnant au blason de l'amour Tu étais le guerrier qui décrochaït la lune Quand tous tes battements se voulaient troubadour. Mon cœur tu as perdu le goût de l'aventure Je crains qu'à tout jamais ces doux frissons ailés
S'enfuient vers l'au-delà dans des forêts obscures
Car tu manques à ma vie comme un ciel étoilé. C.LBF
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cSragile écorce … CAL LATE OI ET ET 0077
OR Te CR 7 147708
OR RE LUE CRT AT D 21 0
(CPI TA ET AT QT AT ET 77 2 CLR LE ELA EE TELE LE 0
CO 7 UT ET RL CP 77/74
Se ceux que l'on avoue dans un moment de grâce it que j ai retrouvé. € amour laisse des traces. CLEA LOT EN ET 7 CE 0777
ENTRETIEN AIT
Ca 165 bras qui m entourent comme un réve oublié, OAI ER EE ET LE LA Tu manques à ma vie. L absence est si subtile.
lb fige le cœur en un x de frasils EUD ACL EL CT RTE 72707
CLIC ZI CE RTL AE 277772 Tu es de mon brouilerd cette ombre qui sommeille,
(O7 CR RL 0070797272
277727080780 287777 COTE ACTES LL A CA
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see cela réver |. espoir peut sc nourrir de milliers d'impostures, À aimer sans l'amour, il faut être un peu fou,
CL OET ER EET C “our un instant un seul , me blottir contre vous. Vous dires que jai léme un peu trop ingénus,
(CPV AAA TTC // 27 27/207 El SLA TANT ER 7277 CAL AL ACOAL TEL EE 2707777700 Œt tous ces sons perdus parlant à mes orcilles,
CA LCOETCIE TAC 2 ZAC
(QUE TEET EN T T/722 On croit que le printemps va cffacer lhiver. COR ATP TEL ET LT CL
(CITE TS ICS LI LL LT
CRETE A LE LUE EC 22 CENTER ELLE TA CRETE TR 77 RE
Gt puis mes longs baisers qui ne sauraïent mentir
(CRETE ET AT ET 1 ste cela réver, ou bien est-ce mourir ? D D On: 2 | X TE
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COR 77 PT LC LT (OR ER LOL DATA TA LUAL 218 CAE TE EE 7/72
Rieusé, elle se moquai, oubliant mes tourments
(0727222000 ET 7 2 ous un terreau mouvant orgucil de tout lettré
RAT 07772
érdure de tendresse dun amour empétré
ET LT EN ET CA 11/2 002777272770 007 Ce Le
OCEAN TE) NE
es semis étouffaient serrés par trop de vers, DENT LL CL PR LR ALL OR AE 11 OT ET ET 77 77
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ous un cœur en jachère dansait x capucine
Ses mots un peu plus las, récitaient leur comptine...
EPP
CT RE EL 770 070 CRE CL EI I A LS 7 2771008 CLBF
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Vous sergz maintenant le meilleur de ma vie, Vous mes jours qui fuyez, qui échappez au temps
Que d’automnes pleurants gt rudes hivers si lents,
Gvez-vous dispersés à mes yeux éblouis. Qu de feuilles avez-vous fait danser sur Îg sol
€ïi de rosiers fleuris ont éelos au printemps,
Que de rêves avez-vous parsemés sur Mmgs ans,
Mon cœur souvent a fui à vivre egs envols. Libre eomme lg vent, être enfant dg la balle, Moi qui ai tant vogué sur des vagugs de souhaits,
Jai pareouru fIlisade du doigt d’un éeolier,
“inonnent les exploits d’un Ulysse en cavale… Suspendug à l’oréc des arbres où l’&mg fane,
J'aurais voulu graver sur ehaeun ma jeunessg,
Goûter à egs amours sur eanopég d'ivresse
Rire sur egs chemins que bordent les platangs. La routg de la vig met lg cogur aux agugts
Pe galoches percéss aux gsearpins Vernis,
L£ temps a façonné eg qui jamais fut dit,
Vous que j'ai tant aimé gt vous que j'ai haï…… CLBP
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Silence, quels baisers m'znvogez-voas ici ?
Qa'avez-vous done cugilli à poarsaivre le vent,
Vous semiez tant d'amour fout autour de mon nid ecrochant vos douegars en milliers de rubans.
ss
D'où mg rapportiez-vous ces parfams d'espérance, En qagl endroit sacré froaviez-vous ces senteurs,
Car vous mg les offricz sans autre exabéranec Vos geux et votre voix ont fait battre mon coear.
esse
De quel pags lointain étiez-vous mon sésame, Par qael envoâtement j'offrais, hamble trésor,
Mes bouqusts de caresses sans aacan état d'âme Vous chassicz mes nuages par vos si doux accords.
seseses
J'attendrai ang bise, an courant ascendant Quai viendra se glisser an jour sous ma fenêtre,
Je laisserai ouvert mon firoir de printemps, Voas brillez tant poar moi, maïs je ternis peat être ?
ss Ag fermez pas le livre, nos pages sont silence,
Personne n'oavrira ces vieux feuillets jaanis,
Mais vous soavenez-vous de ce vent d'importance, Quai balaga le temps et bouseala ma vie.
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Dis-moi, mon doux, mon cher et tendre ami, RETIRE TT EYE T0
Comment au détour des chemins de vie, L'amour s'en est allé comme un pendu. Mes lèvres ne veulent s'éteindrent,
Revivent encore nos mots d'hier,
ETOILES TA TN Na Ted PODELTOTEN TPE TUTEE PEN A TR BURN SATA AT OI UE TT a ET LA
Reste ma terre! Le grain de l'absence
COTE TONNES TONNES NOT TA A Ta AT NT AT TA Je garde en moi l'âpre désespérance
PORTO TOUT T0 es RTE DL 4 EN
Mettre un soleil au bout de mon errance, Avec des fleurs de vie pour mes chagrins.… CESR
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COPA TEE TEEN CT
Œuprès d'un andre où d'une source,
&L je pense à Leo faire Boucen
Œux frissons Lendres el grisando.
Le sève fleurit sous ma peau CON PE PPT REP PP
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Sans le fond de mon cœur 1 Ce voudrais qu'il s'apaïse..
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CALE ATEN ET T7 772 Ce bi tisse des joies au fil de ses espoirs. OUALLA ET E 0002
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(CRT TT PR 2/72 CNT TE ET CCE CE 70/7102 A est amant fidèle que je ne puis comprendre,
CORTE TT CT EC CEE 00
DURE CRIE LE 27 Voves donc sa candeurl il se croit votre écho. (C7 NT CPE
A parfime mon étre de ces pierres d'encens,
CCE CUT LPO OR AS
Gn volutes charnelles que fréle l'indécence. (CPE ET TE 7 AE
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CPRE ETAT DT TE TRE 77777772
otre cœur mon amour voitil donc assez clair ? CLBF
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IL A PAIT PLUS QUE SON PEVOIR... Laisse mon cogur dormir tranquille,
Il a fait plus que son devoir.
GCommg un vol d'oisgaux qui grapillent
Il a parcouru tant d'espoir.
Laisse mon cogur sg reposer.
Get âtrg où rougit la souffrance
Mourra faute de destinée.
Il ng veut plus de ses romanegs.
Laisse | Laisse pour qu'il oublig (l
Get élan fou qui lg torture.
Qu'il soit eg moi que je ne suis,
Un cœur habillé d'ang armure.
ÿ Laissg-le donner du tambour,
Gogner mon sgin d'incertitudes.,
Pais-lg vibrer sans voir l'amour Sa sçulg gt unique aptitude. urtout ng viens pas lg chercher, aché au-dessous de ma robe.
Il pourrait soudain s'arrêter | Pourvu qu'il battg encor’ à l'aube? CLBF
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entends un Liste chant en man cœur jsrouné Uysg, fe ne sais pas nous aimer autrement
2277777777777774 Dites-mar au leu #as, déspenssg nes Haisers, ue ne seret jamais aussi pris de lameur débééhééhééééhé par dencre l'oubli D Cest que hien madpré Lui il ue sentait Hlessé
Ahhhhhhhhhhhh hé Le sateil it le fou, l'aube it Le cripuseute ai dentoléma aie aux contaurs de Li aêtre Has désirs ne sont plus, mais il demeurent nôtres. Ahhhhhhhhhhh héhé Sakrouue ane ishe aux frais matins d'hines,
Le Bais à astre saunres, Éélautsante dl elaire
aide de aus seul je crée man atmosphère CLBF
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Brâôle de tie | nr nr cp
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i sout G, silencieux, pénétrant bans La fair
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ÉBerais-je conbemmée à vivre dm Borfeur
CORPORATE CLBF
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Rainture Se Brigitte Cfacques @u lle Peut 1% CHMon cœur, 16 voilà vieux, que me demandes-tu,
Peuz-tu encor souffrir, mettre à nu Les Serments,
ors qu'au jeu de l'amour toi qui sais ce qui fut “Rour un bout de ciel bleu, nicrais-tu nos tourments. Toi ma mélancolie qui pêse sur cé cœur
CNE seras-tu jamais qu'une ombre fügitive,
@u un souvenir errant, un affabulateur Mais qui sans autre but aide tant à survivre. @uelle est cette douceur qui calme les sanglots
Gn de sages pensées dès qu arrive l'aurort,
Gt puis ces battements qui montent aux créneaux Cl un ennemi sourd qui s'empare dun corps. Ce sais de ts silences l'impensable mémoire
4 douceur dé ce temps où battre était heureux,
SD un soul petit bonheur tu brodais tant d'histoires CHMon cœur, parle à ma vie, dis-mot ce qu'elle veut DPPPPPPP PP PP PDP PP PP PDP PP PDP PDP PP PDP? CLBF DppppDpppDP op monnppopnne0) Déc cocotte
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I{me semble pourtant que vous êtes méchant ! Vous avez des fumeurs de silences oppressants,
Cruel, vous m'infligez la torture des larmes, Æn blessant mon amour de silence, votre arme. Mon esprit s’effilocñe de pensées vagabhondes
‘Une peine est entrée comme un torrent qui gronde,
Pourtant c'est encor vous qui au travers des pleurs, Redessinez ma vie d’impensables bonheurs. Mes jours comme les vôtres ont besoin de bonté,
S'il nous faut plus de temps pour pallier aux hivers, Espérons du printemps qu'il nous scelle à jamais. Je ne berce d’espoirs que dans ce peu d’instant,
Dans cette solitude qui alourdit Le temps, £t rappelle à mon cœur que sans vous il s'enterre … CLBF
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SDavoir trop attendu la tendresse promise,
CHoi qui nignorc rien d'un cœur longtemps dégu,
CAO LE TT RTE 77/2
C7 7e RCE PE 772 vous qu'simer semble étre un amour impossible,
CAC AL CETTE CE 2777
CEE PORTE ET 1072
277082777007 77870772 OR EC 07 LICE ET 78
274227704072
craït commerce vain de l'évidente erreur. ET LATE AL ETT EL AC
CRT TR CT CE 077 2 CLBF
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1 KE He
XX ÿ à fprès m'avoir aimé qaclques jours, pour me plaire
Je n'ai plus que les cieux témoins de nos amours,
C'est dans eet horizon où, fermant mes paupières Je dépose mes songes an peu plas ehaqag jour. finsi je touche £neor' da doigt de l'éeritare
Pans an nuage blane mor immense chagrin,
Poar an vent de folig an vent de déchirares Ae restent qag mes geux gt ma tremblante main. Les uns me sont courage à chaqug aubg naissante.
L'aatre, je la fais mienng au canevas des mots.
Les deux me sont témoins d'un désir qai me hante €erire à l'£nerg morte dans la paix d'un fardeau. €s-ta dans lg repos, toi qui durant l'orage
Oabligux des avants, les demains improbables,
fi erée an gxil aa miliea de tes pages. Voaloir an peu d'amour me rendait done eoapable... CLBF
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Gomme un vol de phalènes
————————— Épordument blessés, je viens vers loi tristesse,
Découvrant ta bonté. tes aimables laideurs.
Vers toi où les douleurs doucement disparaissent, Tout au fond de mes yeux en réves de couleurs Corte de ce cocon où sc complait lx peine
ŒRôde chaque pensée en des réves sans fin,
Rour que le vie éclaire le vol dé mes phalènes
Ces papillons de nuit avides dé matin @uand, épris de bonheur le temps à tire daile
crée le souvenir où lentement, sans peur,
Ce oiscau migrateur dune saison nouvelle, Orouve on ma main le nid qui retiendra son cœur CLBF
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avais écrit lamour comme on parle du temps
Avec des vents d'orage ct de bien douces brises
avais écrit l'amour avec un ton charmant @uc Le lemps fait passer avec sa mine grise. avais dit des je l'aime” tout comme lon respire,
Cette conjugaison flattait les cœurs batiants
avais dit des je l'aime aux ponts dé mes soupirs Afin de voir glisser de fapants sentiments Our Les pages rodait tel un roflet dans l'eau,
x mort désespérée d'un frémissement pâle.
CYaimais plonger ainsi dans lencre dé mes mois,
Ce lissais mon langage en de roses sépales
ec silence est un bruit qui hante lécriture,
Ccantôéme du passé qui jamais nc mourraït
es mauz nc cicatrisent que dans Lx déchirure,
Ce n écrivais l'amour que pour micuz vous quitter. CLBF