Des humeurs de silence

I{me semble pourtant que vous êtes méchant ! Vous avez des fumeurs de silences oppressants,
Cruel, vous m'infligez la torture des larmes, Æn blessant mon amour de silence, votre arme. Mon esprit s’effilocñe de pensées vagabhondes
‘Une peine est entrée comme un torrent qui gronde,
Pourtant c'est encor vous qui au travers des pleurs, Redessinez ma vie d’impensables bonheurs. Mes jours comme les vôtres ont besoin de bonté,
S'il nous faut plus de temps pour pallier aux hivers, Espérons du printemps qu'il nous scelle à jamais. Je ne berce d’espoirs que dans ce peu d’instant,
Dans cette solitude qui alourdit Le temps, £t rappelle à mon cœur que sans vous il s'enterre … CLBF