Au bout de l’allée

J'habitais [a maison tout au bout de l'allée ‘Une échoppe sans vie baignée d'obscurité,
Les murs se lamentaient d'être aussi peu blanchis Les tuiles s'envolaient au premier vent maudit. Ælle n'avait sur son dos qu'une vieille toiture
Qui lui rongeait la peau par les temps de froidure,
Cette porte maudite grinçait par tous Les temps £es charnières fiurlaient au moindre coup de vent Sa cheminée bossue toussotait à se fendre,
Les courants emportaient ses volutes de cendres
On l'entendait gémir quand sous des cieux cléments £lle s'enveloppait des rides du présent. £a neige lui pesait comme un manteau de laine
A lorée des grands pins cachant souvent ses peines. Brisée par Les saisons tout lui était douleur. Ft soudain le soleil lhabillait de rayons
£a coiffait de mésanges et de ses oisillons L'été la coloriait d'agréables couleurs. CLBF