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Moi j’écoute Vivaldi !

Robe grise et jupon de pluie sempiternelle,
Une écharpe de vent un chapeau de gisaille,
cf prolonger la vie d'une saison cruelle se prend poux l'hiver, ce printemps qui bataille. cveil au garde-à-vous ne s'était découvert.
Ne quitte point tes fils! arde tes vieux habits!
Cu sais bien que souvent, le froid est un pervers.
Le mois a écouté ce que les autres ont dit.
Dans leur robe de laine à la maille épaisse
Venues des monts voisins et des courants sauvages,
Let nues nous ont maudit sans beaucoup de noblesse
a terre vomitsait un trop plein de messages.
Œuis arriva Le lai un peu à cloche:pied,
U ne fut qu'un éclat de terribles orages,
Œrédisant du bonheur à qui voulait aimer
6on onde fût un choc, qui noyât nos villages.
Vivement le Quin celui des chauds partages,
eniflaxd de sanglots sous un soleil top haut,
De juillet il voudrait avoit tout le plumage,
Q fera de son mieux s'il ne fait pas Le beau?
c'lais ou sont Les saisons qui fait quoi en ce monde!
caut-il le souvenir de ces années aussi?
La planète s'entète et les mois vagabondent
cour que je me souvienne... J'écoute Vivaldi. CLBF