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Le moulin des Laminak

On soir de RE lorsque vous m'apparûtes, Assis tout deux Sur la roue du moulin
Vous sifflotiez et jouiez de la flûte, A votre Cou suspendait un Vieux sac. Un voile opaque Couraït au fil de l'eau
Vous trottiniez sur Cette passerelle, Equilibristes d'un drôle de chemin Frélant d'un doigt la peau fine de l'onde Que vous froissiez en Clapotis de rondes. J'étais cachée derrière le vieux bouleau Au Clair de lune, Comme une pastourelle, Je vous épiais, VOUS, drôles de Laminak Bonnets au Vent Couverts de poudre blanChe.
Tour en rianc vous faisiez de tels bonds
J'avais si peur, on vous disafe malins, D'un caractère austère et furibond, Même méchants, Car les vieux du village
Faïsaient de Vous farfadets et lutins Pires voleurs de poules ! La belle image - C-LBF Les gens disaient, au bord de l'Uhabia Vie “Là sans crainte, famille de lamina,
Que ‘ Bassilour” suspendait du bon grain,
Le Vieux meunier l'aCCroChañc sous la grange
A là grand poutre ou dort le vieil hibou,
Et Chaque fois bougonnant Comme un fou
II replaçÇait le saC Comme ses pères, Des plaïsantins [ui Volant Chaque jour Ce qui devait le rendre plus prospère.
Mon Coeur battait Comme bat un tambour
Er daps le soir où plus âme ne Court, Ces petits êtres mi- génies mi-humains
Prirent ma main pour une farandole Oh! Je vous entends'Non je ne suis pas folle.